Véritable association islamo-terroriste, complicité juridique directe (1er degré) dans l’intention de tuer ?

Attentat de Conflans : le parent d’élève qui avait critiqué l’enseignant a échangé avec le terroriste sur WhatsApp.

Abdullhak Anzorov aurait livré son intention de « venger le prophète », ce qui laisse peu de place à l’ambiguïté

Des fleurs ont été déposées ce samedi devant le collège où travaillait Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine. (capture écran vidéo Clément Lanot)

Le terroriste a échangé avec le père de famille, Brahim C., qui s’était plaint de Samuel Paty dans une vidéo diffusés sur les réseaux sociaux.

 

 

Les policiers en charge de l’enquête pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroriste criminelle », après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, poursuivent leurs investigations, alors que seize personnes sont actuellement en garde à vue.

Brahim C., le père de l’élève qui avait diffusé une vidéo dans laquelle il mettait directement en cause le professeur Samuel Paty, a échangé avec le terroriste, Abdoullakh Anzarov, selon BFMTV. Des échanges qui ont eu lieu les jours précédents l’attentat, sur la messagerie WhatsApp.

Les propos que ces derniers ont échangé ne sont pas connus. Les enquêteurs cherchent à déterminer si Brahim C. a donné des informations au terroriste de 18 ans et notamment s’il était informé de son projet d’attaque.

Le père de famille s’était rendu avec le prédicateur Abdelhakim Sefrioui chez la principale du collège du Bois d’Aulne de Conflans pour exprimer leur mécontentement contre le professeur d’histoire-géographie, car ce dernier avait montré des caricatures du prophète Mahomet durant un cours sur la liberté d’expression.

 

 

En garde à vue, Brahim C. a affirmé aux enquêteurs qu’il n’était pas radicalisé, qu’il culpabilisait et qu’il réclamait uniquement des sanctions disciplinaires à l’encontre de Samuel Paty, indique la chaîne d’informations.

Un collégien de nouveau placé en garde à vue

En outre, le collégien qui avait été remis en liberté en début de semaine, a de nouveau été placé en garde à vue ce mardi selon Le Parisien. Le jour de l’attentat, le terroriste est arrivé devant le collège où travaillait Samuel Paty, vers 16 heures. Il a alors sollicité des collégiens afin qu’ils lui désignent l’enseignant, et leur a proposé 300 euros au total en échange de ces informations.

Les adolescents se seraient alors partagés l’argent entre eux. Les policiers cherchent à déterminer leurs responsabilités réelles. Cinq collégiens sont actuellement entendus par les fonctionnaires.

Attentat de Conflans : le parent d’élève qui avait critiqué l’enseignant a échangé avec le terroriste sur WhatsApp

Professeur décapité : le terroriste aurait écrit son intention de régler le problème «à sa manière» à Brahim C. et Sefrioui

Des policiers implantés sur le périmètre de sécurité ce vendredi soir à Conflans-Sainte-Honorine. (image Clément Lanot)

Le terroriste, Abdoullakh Anzarov, aurait affirmé ses intentions à Brahim C. et Abdelhakim Sefrioui.

 

 

Les investigations se poursuivent dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine. Selon Le Parisien, Les policiers de la SDAT et la DGSI qui sont en charge du dossier, ont découvert que le terroriste Abdoullakh Anzarov a passé un appel téléphonique à Brahim C., le père d’une élève de 4ème qui avait Samuel Paty comme enseignant, et qui est à l’origine d’une vidéo sur les réseaux sociaux critiquant le professeur.

Un appel peu avant l’attentat dont on ne sait pas à ce stade, si le destinataire a répondu. Brahim C. avait laissé son numéro de téléphone dans sa vidéo afin d’être contacté facilement.

Un message où il évoque ses intentions

Le terroriste serait allé plus loin. Selon LCI, il aurait écrit, avant l’attaque, à Brahim C. mais également à Abdelhakim Sefrioui, cet homme fiché S et inscrit au FSPRT qui avait accompagné le parent d’élève au collège pour se plaindre de Samuel Paty, et qui s’était lui aussi exprimé dans une vidéo, traitant l’enseignant de « voyou ». L’assaillant leur aurait fait part de son intention de venger le prophète et de régler le problème « à sa manière ». Les deux hommes n’ont jamais alerté la police à ce sujet. Ces derniers sont toujours en garde à vue ce mardi matin.

Par ailleurs, des proches d’Abdoullakh Anzarov ont indiqué que ce dernier avait changé de comportement ces derniers temps et qu’ils évoquaient régulièrement les vidéos de Brahim C. et Abdelhakim Sefrioui relate Le Parisien.

Deux fois 150 euros pour qu’on lui désigne Samuel Paty

Le tueur se trouvait déjà devant le collège du Bois d’Aulne de Conflans, vers 16 heures le jour de l’attaque. Il a abordé au moins deux collégiens pour leur proposer deux fois 150 euros précise le quotidien francilien. Le terroriste souhaitait savoir à quoi ressemblait Samuel Paty et donc pouvoir l’identifier en vue de son acte macabre.

L’un des élèves, âgé de 14 ans, a expliqué aux enquêteurs au cours de sa garde à vue qu’il avait pressenti qu’Abdoullakh Anzarov avait des intentions malveillantes, car il a évoqué les caricatures de Charlie Hebdo. Il n’imaginait toutefois pas que cet homme avait l’intention de tuer l’enseignant selon son récit.

Avant d’être remis en liberté, le collégien a également raconté qu’il avait partagé cet argent avec des camarades. Ils auraient ensuite désigné Samuel Paty au terroriste, devant l’établissement, alors que le professeur prenait la direction de son domicile. Les adolescents concernés ont été placés en garde à vue à leur tour. Au total, quinze personnes sont actuellement interrogées par les policiers.

Professeur décapité : le terroriste aurait écrit son intention de régler le problème «à sa manière» à Brahim C. et Sefrioui

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

3 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
chajes

Sefrioui, marocain d’origine, a fait un mariage arrangé avec une française convertie à l’islamisme, et a ainsi pu acquérir la nationalité Française. Quand on se rappelle les difficultés de François Hollande à faire passer une loi sur la déchéance de nationalité, à cause de l’opposition d’extrème gauche des Taubira et autres (il a fini par abandonner), cette ordure de Sefrioui a encore de beaux jours en france, hélas!

LE CHAT DORT

« Brahim Chnina et Sefrioui ont échangé avec le tueur sur Internet
20 octobre 2020 380 vues  »

c’est ce qu on peut appeler des échanges fructueurs

alexandra

J’espère que le sort de ces deux abominables pervers sera définitivement réglé par une expulsion du territoire après qu’ils aient purgé une très lourde peine pour complicité d’assassinat terroriste.
Que cela serve d’exemple pour tous les parents d’élèves chouineurs qui s’aventureraient à remettre en cause un professeur en le désignant à la vindicte islamiste.