Armes du Hamas : qu’a le groupe terroriste dans encore dans son arsenal ?
Depuis des décennies, la bande de Gaza est devenue un véritable nid de guêpes terroriste, où le Hamas et d’autres groupes armés ont constitué un vaste arsenal dans le but de nuire à Israël. Malgré les efforts incessants de l’État hébreu pour démanteler ces infrastructures meurtrières, la menace persiste.
Les récentes opérations militaires israéliennes dans le couloir de Philadelphie, zone stratégique entre Gaza et l’Égypte, ont permis de perturber les chaînes d’approvisionnement en armes des groupes palestiniens. Cependant, ce succès partiel ne doit pas occulter la dangereuse réalité : le Hamas a patiemment accumulé depuis des années un arsenal conséquent, disséminé dans la quasi-totalité des bâtiments de la bande de Gaza.
S’il est privé de nouveaux renforts, l’ennemi n’en demeure pas moins redoutable avec les armes qui lui restent. Les attaques récentes et les revendications des groupes palestiniens, même si elles sont parfois exagérées, témoignent de leurs capacités destructrices résiduelles.
Que ce soit avec des drones abattus à l’arme légère, des missiles antichars comme le Yasin 105 visant les blindés israéliens, des mortiers de 60 et 107 mm ou encore des roquettes, les milices palestiniennes disposent d’un large éventail pour frapper Tsahal et les civils. Sans oublier les pièges explosifs dans les tunnels et bâtiments.
Si le Hamas semble actuellement contraint d’épargner ses précieuses munitions face à la supériorité militaire israélienne, il n’en conserve pas moins une force de frappe significative. Particulièrement dans la zone centrale des camps de réfugiés, véritable plaque tournante où les groupes armés peuvent aisément se réapprovisionner et même produire certaines armes localement.
La menace demeure donc bien réelle, illustrant la détermination du Hamas à poursuivre son combat meurtrier contre Israël. Une situation qui appelle une nouvelle fois la vigilance et la fermeté des forces de défense israéliennes pour éradiquer durablement ces foyers terroristes.
Jforum.fr
En octobre dernier, en démarrant l’offensive terrestre sur gaza, les stratèges israéliens ont commis une bévue lourde de conséquences. Ils n’ont pas pratiqué la stratégie classique de l’encerclement de l’ennemi, pour l’annihiler. Ils se sont contentés d’attaquer au nord, sans prendre immédiatement le contrôle du couloir de Philadelphie, pour empêcher tout approvisionnement en armement à partir de l’Égypte. Ainsi, pendant les 8 premiers mois de guerre, le hamas a continué à s’approvisionner par le Sud. Quand on veut éliminer l’ennemi, on l’enserre dans un nœud coulant, et plus il lutte pour s’en échapper, et plus il hâte sa destruction. Nos sages nous ont enseigné qu’il suffit de mettre un singe dans une cage et il devient comme un porc, non pas parce qu’il n’est pas intelligent, ni rapide, mais parce qu’il n’a aucun endroit où exercer librement ses capacités.
Pourtant, en octobre 1973, quand Sharon et les chars d’Adam ont traversé le canal de Suez, ils ont réussi à encercler les 20.000 h de la troisième armée égyptienne dans le Sinaï, amenant Golda Meir à chercher à exterminer ces derniers, et Sadate à paniquer et blêmir. Tsahal actuelle est bien inférieure à Tsahal du yom ha-din d’octobre 1973, qui avait pourtant 10 fois moins de moyens. Golda Meir, la matriarche d’Israël, était une gagneuse, bien plus forte que les demi-portions qui mènent l’État Juif actuellement.
Il faut que les Juifs encerclent le hamas dans un nœud coulant jusqu’à ce que les arabes paniquent et fassent dans leur froc. Il faut que les gens du hamas reconnaissent leur défaite au fond de leur cœur. La Bible ne nous l’enseigne-t-elle pas?