Dans un but électoraliste, le parti d’extrême droite en Allemagne (AfD) masque sa xénophobie et sa politique anti-migratoire en se présentant comme gardien de la mémoire de l’holocauste et le défenseur de l’État d’Israël. Siègeant désormais au Bundestag, il contraint les autres partis à rejoindre ses positions en les anticipant.
En affichant leur hostilité à l’égard des musulmans, les partis Front national (FN), Alternative für Deutschland (AfD) ou Freiheitliche Partei Österreichs (FPÖ) se présentent comme des amis d’Israël. Mais ils n’en sont pas moins antisémites pour autant.
La solidarité témoignée à Israël ne doit pas être considérée comme un changement d’attitude. L’AfD et le FPÖ se présentent comme « les meilleurs amis d’Israël », mais tolèrent dans leurs rangs des membres comme Björn Höcke, actuel chef de l’AfD dans le Land de Thuringe, qui a qualifié le mémorial de l’Holocauste de Berlin de « mémorial de la honte ». Pour Heribert Schiedel, spécialiste de l’extrême droite et de l’antisémitisme, l’hostilité frénétique à l’égard des musulmans apparue au tournant du millénaire ne supplante pas l’antisémitisme, mais vient s’y superposer.
Cette constatation peut s’appliquer à la plupart des partis de droite hostiles aux musulmans et possédant un héritage antisémite. Le FN ne fait pas exception, bien que pour des raisons tactiques, Marine Le Pen cherche à se distancer de la ligne antisémite dure de son père.
Les années à venir diront si, pour la première fois de son histoire, l’Europe connaîtra le développement d’un extrémisme de droite libéré de ses relents antisémites. En tant qu’historien, je ne peux qu’être sceptique. L’antisémitisme et l’hostilité à l’égard des musulmans sont non seulement les héritages les plus sombres de l’Occident chrétien, mais ils sont aussi étroitement liés entre eux, comme en témoigne la concomitance des croisades et des pogroms.
L’Allemagne a suivi les bon conseils des Verts et de la gauche! Résultats échec sur toute la ligne.
- Fermeture des centrales nucléaire, pour faire le choix du gaz russe. Echec total, le gaz russe ne rentre plus, réouverture des centrale à charbon, surcoût de l’énergie, perte de productivité.
- Mondialisation ! Echec total, avec la mise en place de taxation et retour du protectionnisme plombe la machine allemande de l’exportation.
- Immigration de masse ! Echec total, avec une montée de l’insécurité, une perte d’identité. Chaque attentat booste l’AFD
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Destruction de la famille ! Echec total, avec une forte dénatalité, alors qu’il y a eu une promotion de l’IVG et des couples bisexuels.
Moteur de l’économie européenne depuis des décennies, l’Allemagne est désormais en crise. En 2023, son économie est entrée en récession, et les perspectives pour l’année 2024 sont mauvaises. La mondialisation s’essouffle, et avec elle le modèle allemand, basé sur le libre-échange et une relative stabilité géopolitique.
La première puissance européenne voit ses exportations ralentir, ses prix augmenter et sa population s’inquiéter de son déclassement. Le réveil est brutal pour la quatrième puissance économique mondiale. Particulièrement pour une partie de la population, qui parvenait à s’en sortir en occupant des emplois à temps partiel et qui, à cause de l’inflation, bascule à présent dans la pauvreté.
C’est le cas de Xenia, mère célibataire de deux enfants qui est réduite à aller à la banque alimentaire de Berlin pour parvenir à s’en sortir. Symbole de ces difficultés, le secteur automobile avec sa myriade de sous-traitants est aujourd’hui en souffrance. Les voitures allemandes sont concurrencées, … par des véhicules électriques chinois. En trois ans, ces véhicules asiatiques ont grignoté 6% du marché germanique. Résultat, de la casse sociale pour de nombreuses entreprises du secteur qui sont contraintes de licencier.
Des éléments qui contribuent à l’inexorable progression de l’AfD. Le parti d’extrême-droite allemand enchaîne les succès électoraux. Nous avons suivi Florient, jeune militant du parti dans sa campagne permanente contre les immigrés, un discours qui jusque là était cantonné aux groupuscule néo-nazi. Au Lion d’or, à Kloster Vessra, les militants d’extrême droite les plus radicaux osent désormais s’afficher au grand jour. Dans ce restaurant, la clientèle peut commander des bières qui célèbrent le Reich ou acheter des mugs à l’effigie de Hitler.
L’Allemagne qui se croyait vaccinée contre les dérives radicales, y est de nouveau confrontée. Sur le plan énergétique, l’Allemagne, qui se rêvait chef de file d’une Europe plus verte, est aujourd’hui son plus gros pollueur. Le pays misait sur le gazoduc Nord Stream 2 et sur le gaz russe pour baisser sa facture d’électricité. Mais aujourd’hui, à Lubmin dans le nord du pays, le robinet du gaz russe ne coule plus à cause de la guerre en Ukraine et le coût de l’énergie explose. La transition énergétique allemande, tant vantée, se grippe. Le pays qui a fait le choix de l’arrêt du nucléaire, est obligé de miser de nouveau sur le charbon particulièrement polluant et ses gigantesques mines à ciel ouvert comme celle de Garzweiler qui dévore des villages entiers pour s’étendre. Le pays du consensus et de la stabilité économique tangue. Le modèle allemand semble à bout de souffle.
Elle monte, elle monte, l’AfD, le parti que l’on dit frère du Rassemblement national et qui siège à ses côtés au Parlement européen dans le groupe Identité et Démocratie. Selon un récent sondage, cette formation politique est créditée de 22 % des voix pour les prochaines élections européennes. Une telle percée inquiète les partis dits de gouvernement, que ce soit le centre droit (CSU-CDU) ou les partis de gauche, SPD, Die Linke ou les Verts.
Élections en Allemagne: « Depuis que Merkel a ouvert les frontières à tous ces étrangers, on vote pour l’AfD »
À une semaine des élections, 64% des Allemands se disent préoccupés par la question migratoire. L’extrême droite ne cesse de monter. Retour à Magdebourg, lieu de l’attentat du marché de Noël.
Saaed Saaed a donné rendez-vous sur sa place préférée, devant la cathédrale de Magdebourg. Un lieu chargé d’émotions. C’est là que s’est tenue, après l’attaque à la voiture bélier sur le marché de Noël de la ville, la messe œcuménique à laquelle assistait la quasi-totalité de la classe politique allemande, en soutien aux victimes et à leurs familles. Le parvis, deux mois après l’attentat, est toujours jonché de fleurs, de bougies, de peluches et de messages déposés par des inconnus.
« Pourquoi? », revient le plus souvent… La capitale de Saxe-Anhalt, à 150 km à l’ouest de Berlin, en ex-RDA, a du mal à retrouver le calme, après l’attentat qui a fait six morts et plus de 300 blessés à la veille de Noël. Depuis l’agression, le fait d’un psychiatre saoudien, un réfugié opposé à l’islam, connu des services de police et présentant des troubles psychiques, la question migratoire est revenue en tête des préoccupations des Allemands, devant la situation économique dégradée du pays et la hausse du chômage.
Pour les quelque 40.000 réfugiés de Magdebourg, la situation est devenue intenable. « L’ambiance générale est très tendue, explique Saaed Saaed. Les personnes issues de l’immigration ont peur de sortir. Particulièrement de nuit, après 18h. Si je dois sortir le soir, je m’arrange pour me faire accompagner en voiture, j’évite en tout cas les transports en commun. Plusieurs familles nous ont dit qu’elles quitteraient la ville, en juillet après l’école, parce qu’elles ont peur pour leurs enfants, à cause du racisme dans la ville, en particulier depuis cet attentat horrible. »
Avec d’autres réfugiés engagés, il a mis sur pied un service d’aide d’urgence pour les personnes victimes d’agression. Il accompagne des enfants à l’école, qui auraient peur de faire la route seuls, donne des conseils à des femmes se faisant insulter à cause de leur voile.
Climat de racisme
« Je ne fais pas partie de ces gens qui sont arrivés à pied, par la Turquie, la Hongrie, l’Autriche. Je n’ai jamais été en situation irrégulière. Si je compte rester en Allemagne? Ce n’est pas sûr. Tout dépendra de l’évolution de la situation. L’Allemagne a besoin de personnel qualifié d’origine étrangère. Du travail, il y en aurait pour moi avec un diplôme en informatique. Mais qui a envie de rester dans un pays avec un tel climat de racisme? »
En un mois depuis l’attentat, la police a enregistré 26 agressions contre des migrants à Magdebourg, comme cette femme voilée qui s’est fait cracher dessus dans le couloir de la gare, un soir, en compagnie de son mari. En 2024, 2.520 agressions ont été enregistrées rien qu’à Berlin, toutes imputées à l’extrême droite. Début février, deux inconnus ont attaqué à quelques heures d’intervalle un jeune militant arborant un pin « Anti-Fa » (le signe de ralliement de la gauche radicale en Allemagne) sur son sac à dos et un Canadien d’origine asiatique, agressé au cri de « Heil Hitler ».
Cette semaine, la police a « déjoué un attentat » à Senftenberg, en ex-RDA, contre un foyer de réfugiés. De nombreuses armes ont été retrouvées chez un suspect de 21 ans, proche de l’extrême droite.
« On vote pour l’AfD »
La place du Vieux marché de Magdebourg – le lieu de l’attentat – est dominée par l’impressionnant hôtel de ville qui a, comme miraculeusement, survécu aux bombardements de la Seconde Guerre Mondiale. Les baraques des forains ont été démontées depuis longtemps. Mais le parvis de l’Église St-Jean, toute proche, est lui aussi toujours jonché de fleurs et de bougies.
Un couple de retraités se promène par ce froid matin de février. Doudoune aubergine pour elle, sur un élégant pantalon noir, veste parka et pantalon fonctionnel à multiples poches pour lui, le couple n’a rien de ces Allemands de l’Est aigris de la réunification, généralement présentés comme le cœur de cible du parti d’extrême droite AfD. Longtemps, Lutz, un ouvrier spécialisé de 69 ans et Ute, une comptable de 66 ans, ont voté pour la CDU d’Helmut Kohl, qui les a » débarrassés de la RDA ».
Tous deux avouent ne pas connaître le moindre étranger. « Tout notre entourage, nos amis, notre fille, toute la famille votent pour l’AfD. Notre fille enseigne dans le primaire. Il faut voir la situation! Comment doit-elle faire, pour apprendre quoi que ce soit aux élèves allemands avec tous ces enfants qui ne parlent pas un mot d’allemand? Ça ne peut plus continuer comme ça… », précise Ute, qui explique ne s’informer que par les réseaux sociaux.
Installations en ex-RDA
250.000 personnes ont demandé l’asile en Allemagne l’an passé, essentiellement en provenance de Syrie et d’Afghanistan. « Le nombre des demandes d’asile a reculé par rapport à 2023, explique Gerald Knaus, spécialiste autrichien des migrations. Par ailleurs, le nombre des expulsions a augmenté, tout comme le nombre de renvois vers d’autres pays européens, en raison des accords de Dublin. Mais au final, on ne peut parler de recul que par rapport à 2023. Le nombre des arrivées est toujours supérieur à 2020, date à laquelle l’accord migratoire avec la Turquie a de facto cessé de fonctionner. »
« Pour les électeurs, ça veut dire que la coalition d’Olaf Scholz n’a pas tenu ses promesses de 2021. Quand les trois partis de sa coalition sont arrivés au pouvoir, ils avaient promis de réduire l’immigration clandestine. Elle n’a pas réalisé ses objectifs. L’Allemagne a raison quand elle dit avoir fait plus que ses voisins pour les réfugiés. Au cours des dix dernières années, les Allemands ont accueilli 46% des demandeurs d’asile enregistrés dans l’Union européenne, pour un peu moins de 25% du PIB et un peu moins de 20% de la population européenne. »
Faute de trouver un emploi ou un logement bon marché, et à la recherche d’un niveau de vie plus abordable, nombre de réfugiés s’établissent dans les régions défavorisées de l’ex-RDA, ont constaté les chercheurs Jonas Wiedner, de l’institut WZB, et Merlin Schaeffer, de l’université de Copenhague, qui ont étudié les déplacements de 2.400 réfugiés au sein du pays entre 2015 et 2019. Ainsi à Cottbus, ville défavorisée du Brandebourg (la région qui entoure Berlin), où la proportion des réfugiés est passée de 0,7 à 7,2% de la population pendant la période. Dans l’ensemble de l’ex-RDA, la part des réfugiés est passée de 0,9 à 2,9% de la population.
Déceptions et frustrations
Les efforts d’intégration ne sont souvent pas à la hauteur dans ces communes plus défavorisées que bien des villes de l’ouest du pays. « Plus le taux de chômage est élevé dans une région, plus la part des réfugiés dans la population augmente, constatent les auteurs de l’étude. Ces communes, déjà confrontées à de gros défis socio-culturels, sont ainsi exposées à un défi plus grand encore, du fait de la nécessité d’intégrer les réfugiés. La situation sur le marché du logement fait qu’il est impossible pour eux de trouver un logement dans une région bien portante. »
À la veille des élections, à Magdebourg, les déceptions, les frustrations et les attentes de la population, traumatisée par l’attentat, sont palpables. « Ça m’a beaucoup énervé, ce samedi où toutes les célébrités sont venues à Magdebourg, Scholz, et les autres, explique Knut… Ça m’a beaucoup affecté, qu’ils aient fait comme s’ils étaient désolés. La vérité, c’est qu’ils auraient pu empêcher l’attentat! Ce type n’aurait jamais dû se trouver en Allemagne! »
« Seule l’AfD est vraiment prête à faire quelque chose contre l’immigration. Nous, les Allemands de l’Est, on n’est pas prêts à se laisser faire. Les politiciens qui mentent, on a tous connu ça du temps de la RDA. Et on est descendus dans les rues pour les faire tomber! Heureusement qu’on peut vraiment s’informer, grâce aux réseaux sociaux! Les chaînes de télévision publique, elles font de la propagande pour le gouvernement, pour les Baerbock et Habeck, pour les Scholz… » Très en colère, Knut s’exprime d’une voix posée, convaincu que le parti de son choix, le parti d’extrême droite AfD, arrivera un jour au pouvoir.
Stefan sort de sa voiture sur la place principale. À 46 ans, ce fidèle électeur de la CDU, de haute stature et tout de jeans vêtu, attend avec impatience l’arrivée au pouvoir de Friedrich Merz, le patron de la CDU et le favori des sondages, avec 30% des intentions de vote.
« Lui, il dit clairement ce qu’il pense, et je crois qu’il fera aussi ce qu’il dit. Pas comme le gouvernement de Scholz. L’auteur de l’attentat, on savait qu’il était psychiquement malade. Les gens comme ça, on ne peut pas les laisser se promener librement. J’attends du gouvernement qu’il enferme les gens qui sont dangereux. »
Le discours se durcit
La tentative de Merz de faire adopter une loi restreignant le regroupement familial avec le soutien de l’AfD, considérée en Allemagne comme une césure, voire la fin d’un tabou? Stefan voit là une manœuvre en accord avec la démocratie, « puisque les deux partis ont été légitimement élus au Bundestag ».
« Nous savons qu’on ne peut pas du tout faire tourner ce pays sans personnel étranger. Mais il est très clair qu’il faut prendre des mesures contre l’immigration clandestine. » Rüdiger Erben Député social-démocrate du parlement régional de Magdebourg.
Après l’attaque contre le marché de Noël, en pleine campagne électorale, l’ensemble de la classe politique, à l’exception des néo-communistes et de l’aile gauche des verts, a durci son discours autour de l’immigration clandestine. Il ne fait guère de doutes qu’un accord sur un nouveau cadre migratoire fera partie des priorités du prochain gouvernement. Surtout si, comme le laissent penser les sondages, Friedrich Merz, succède au social-démocrate Olfa Scholz.
Une alliance des deux partis est possible à l’issue du scrutin. « Nous, au SPD, nous sommes clairement pour une réduction de l’immigration clandestine, souligne Rüdiger Erben, député social-démocrate du parlement régional de Magdebourg. Nous sommes bien sûr favorables à la venue de personnel qualifié en provenance de l’étranger. Nous savons qu’on ne peut pas du tout faire tourner ce pays sans personnel étranger. Mais d’autre part, il est très clair qu’il faut prendre des mesures contre l’immigration clandestine. Ça a d’ailleurs déjà été fait. La CDU et nous, nous ne sommes pas si éloignés que ça sur le sujet, pas autant que ce qu’on pourrait croire en voyant ce qui se passe au Bundestag. »
Montée de l’AfD
La crispation du débat politique autour de l’immigration a des effets tangibles sur le paysage politique. En 2013, le parti AfD, né en 2011 pour protester contre les plans de sauvetage de l’euro, échoue au Bundestag. Avec 4,7% des voix, il ne passe pas la barre éliminatoire des 5% qui exclut du parlement les très petits partis.
En 2017, deux ans après le « nous y arriverons » d’Angela Merkel (l’Allemagne venait d’accueillir 477.000 réfugiés en 2015 et 745.000 en 2016), l’AfD fait une entrée fracassante au Parlement avec 12,6% des voix; puis, de nouveau, 10,4% des voix en 2021. Depuis, l’AfD s’est installée dans le paysage politique.
Fin février, le parti – qui bénéficie du soutien ouvert du milliardaire américain Elon Musk – pourrait doubler son score avec 20% des intentions de vote. Comme lors des régionales de l’automne dernier, où l’AfD avait enregistré des scores de 30% dans le Brandebourg, en Saxe et en Thuringe, le parti pourrait arriver en tête du scrutin à l’est de l’Allemagne, avec plus de 30% des voix.
Ce serait pour Saaed Saaed un signal clair qu’il lui faut quitter le pays. Avec son diplôme informatique, il pense pouvoir trouver assez facilement du travail dans un autre pays européen, plutôt qu’en Allemagne.
JForum.Fr et L’Echo
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Joli procès d’intention à la mode de gôche.
Petit rappel,
Suite aux attentats du 11/9/2001,
L’europe appuyait un sondage qualifiant Israel d’etre une menace pour la paix dans le monde.
Depuis a été ouvert le concours europeens des courbettes face a l’islam.
Maintenant la question est de savoir : »depuis quel pays europeen ca va peter ? »
Il est temps pour l’europe de s’inspirer d’Israel si elle veut continuer a exister
VIVE L’AfD ! ! !
TOUS NOS VOEUX DE SUCCES POUR L’AfD ! ! !
En guerre, on ne tire pas sur ses alliés ! ! !
C’est infect et inadmissible !
Surtout quand les vermines gauchistes qui polluent Jforum, parlent avec emphase, des délires de tous les déchets antijuifs de leur bord ! ! !
L’auteur de cette déjection ne doit pas s’en tirer comme ça ! ! !
HONTE A JFORUM D’AVOIR PUBLIE CA ! ! !
Disons que l’AFD me fait plus confiance que l’AFP !!!
Un fait est c’est que le commun des mortels se rend compte que qualifier un parti d’extrême droite, signifie « on en a plein le cul des bougnoules » rappelons nous que Forza Italia parti d’extrême droite de Berlusconi, était le plus pro Sioniste de tous les autres partis. Donc vive L’AFD qui jusqu’à plus ample informé manifeste contre la gangrène islamiste et non contre les Juifs
Exact