À la lecture d’un article sur un lycée privé musulman, Jforum a voulu vérifier le contenu de l’article.
Nous sommes donc partis sur le site de l’Éducation nationale qui confirme bien les résultats repris dans l’article ci-dessous. Nous les mettons sous l’article de référence. Alors, bien qu’une hirondelle ne fasse pas le printemps, il faut convenir que cela peut nous interpeller. Les 100% de réussite, sont une réussite à plus d’un titre. L’ancienneté de l’école, l’absence de sélection, et surtout l’intérêt porté aux enfants sont des éléments importants qui mettent en relief ce résultat. C’est très certainement une école subventionnée, mais avec un écolage faible et des locaux modestes, la réussite reste incontestable.
Plus surprenant, les résultats des lycées juifs paraissent beaucoup moins bons et, si nous mettons en face le coût de la scolarité, et le niveau culturel des familles, on pourrait dire que les résultats sont très moyens. Cerise sur le gâteau, si l’on considère la sélection faite dans la plupart de ces établissements et, d’une certaine manière, la non-prise en compte de l’intérêt des élèves au bénéfice de la réputation de l’établissement, la chose devient grave, voire inacceptable.
Non seulement l’école juive est loin d’apporter de meilleurs résultats que les écoles laïques en matière d’études profanes, mais plus encore, les études religieuses sont loin d’être de qualité, alors que les coûts de scolarité sont prohibitifs pour les familles modestes. Bien sûr, il y a des rabais, tous les élèves ne paient pas la scolarité complète. Il n’en demeure pas moins que l’on est en droit de remettre en cause la gestion de ces établissements, qui, pour des raisons de taux de réussite, traitent souvent les élèves de lycée avec une relative indifférence. De plus, l’absence de transparence, voire l’opacité des gestions financières et comptables, alors que ces établissements sont sous contrat avec l’État qui prend à sa charge les salaires des professeurs, et des directeurs, à quoi s’ajoutent aussi d’autres subventions, devrait nous interpeller.
Posons-nous la question : à qui profitent les écoles juives ?
Certes, les enfants restent, d’une certaine manière, à l’abri du monde extérieur, et vivent dans un judaïsme pas toujours exigeant intellectuellement. Mais ils sont élevés dans la tradition. Par contre, l’exigence morale impose aussi une exigence de résultat, et là nous sommes loin du compte.
Alors qui va nous les donner (les comptes) ?
Nous avons mis les résultats des lycées parisiens en pied d’article.
Que les directeurs d’écoles et lycées juifs se remettent un peu en cause. Et surtout que les parents d’élèves, dont les représentants sont souvent de connivence avec la direction, se manifestent avec plus de rigueur et plus de vigueur.
JForum
Oubliez les très chics Henri IV et autres Louis-le-Grand : en 2013, le meilleur lycée de France serait un lycée… musulman, de la banlieue populaire de Lille. C’est en tout cas le résultat du palmarès 2013 du Parisien, qui place le lycée Averroès, seul établissement secondaire privé musulman sous contrat avec l’Etat depuis 2008, en tête du classement hexagonal.
Passons sur la pertinence toute relative de ce genre de classements. Ce qui nous intéresse est ailleurs : depuis une semaine, une pluie d’éloges s’abat donc sur ce lycée, que l’on présente plus que jamais comme un modèle de réussite scolaire.
L’UOIF, Union des organisations islamiques de France, à l’origine du projet, a bien pris soin de placer son lycée modèle en tête de gondole de son dernier rassemblement au Bourget, le week-end dernier.
L’affaire du voile, le déclencheur
Drôle de paradoxe, à l’heure où les débats sur le foulard reprennent de plus belle sur d’autres fronts. Car c’est précisément l’exclusion d’une vingtaine de lycéennes voilées de lycées publics lillois au milieu des années 1990 qui a servi de déclencheur à la création du lycée Averroès, en 2003.
Niché au sein-même des locaux de la mosquée de Lille Sud, le micro-établissement accueillait alors une dizaine de lycéens, dont certaines jeunes filles voilées exclues du public, que l’imam des lieux, Amar Lasfar, membre de l’UOIF, avait pris en charge dès les années 1990.
Soupçons de fondamentalisme, peur d’une école ghetto née paradoxalement de l’exclusion de filles voilées au nom de la laïcité ; parmi les Lillois, y compris musulmans, le projet était loin de faire l’unanimité.
50% de boursiers, 100% de réussite au bac
Dix ans plus tard, changement de décor. Finie l’époque des salles de classes coincées à l’ombre de la mosquée. Le lycée a déménagé dans des locaux flambant neufs, 5 000 m² d’un ancien centre de formation dans le quartier de Lille Sud, et affiche des chiffres de réussite à faire pâlir plusieurs lycées cathos de la région :
– 100% de réussite au bac, dont 70% avec mention ;
– des frais d’inscription de 800 euros par an et par élève, avec une moitié de boursiers ;
– au total, ce sont 290 lycéens (filières L, S, ES et STMG) qui sont scolarisés à Averroès.
L’établissement, qui mise sur l’encadrement et le goût de l’effort, a d’ailleurs ouvert une cinquantaine de places en collège à la dernière rentrée, et le succès est tel que l’équipe enseignante n’aura que l’embarras du choix parmi les 300 à 400 dossiers de demande d’inscription attendus pour la rentrée prochaine.
Entre-soi communautaire
Dans la cour de l’école, en fin d’après-midi, les gamins sont boutonneux comme ailleurs, un garçon et une fille un peu gauches se taquinent, les deux tiers des lycéennes sont voilées, certaines bien plus couvertes que d’autres, quand le reste des élèves portent la tête nue.
Samia (les prénoms des élèves ont été modifiés) est en 1ère. Comme beaucoup de ses camarades, elle vient d’une école catho.
Sa copine Nadia vient quant à elle surtout pour pouvoir porter son foulard… et pour le niveau :
Entre-soi communautaire et intégration
Ici, les garçons et les filles mangent dans des réfectoires distincts, et les cours de sport ne sont pas mixtes. Les lycéennes racontent :
Mais le lycée ne vit pas non plus renfermé sur lui-même, les sorties culturelles proposées aux élèves sont nombreuses, de la visite de musées majeurs à la signature d’un contrat avec la Rose des Vents, principal théâtre de la métropole, permettant aux élèves d’assister aux spectacles et de rencontrer les artistes.
Ecole d’excellence, cadre musulman, ambiance d’entre-soi communautaire doublée d’une volonté d’intégration : c’est ce mélange particulier qui fait le succès du lycée aujourd’hui.
Génération réislamisée
En 2010, un rapport de l’EHESS (Ecole des hautes études en sciences sociales) et de l’IISMM (Institut d’études de l’islam et des sociétés du monde musulman) dressait un tableau des écoles privées musulmanes de France (il en existe plus d’une vingtaine aujourd’hui, mais pas sous contrat avec l’Etat).
Il pointait globalement trois facteurs de développement de ce type de structures, qui collent parfaitement à la situation du lycée Averroès :
L’offre idéologique : l’action des Frères musulmans
Les Frères musulmans en Europe, représentés par l’UOIF, sont à l’origine d’au moins la moitié des projets d’établissements dans l’Hexagone, mus par une volonté de préserver l’identité musulmane des communautés immigrées et de « réislamiser » les jeunes générations, pour créer une « citoyenneté musulmane », à la fois intégrée dans la société et gardant sa spécificité religieuse.
Leur action militante s’est traduite d’abord par la construction de mosquées et l’organisation de séminaires religieux. La construction d’écoles est vue comme une étape supplémentaire dans cette dynamique de réislamisation.
La crise de l’école publique : produit d’appel
Pour les auteurs du rapport :
Dans ce contexte, les écoles privées s’affichent comme des lieux d’excellence, même si, au fil du temps, « le dilemme extension versus élitisme » se pose.
Le voile : le déclencheur
Dans beaucoup de cas de création d’écoles privées, la loi sur le voile, en 2004, a servi de déclencheur ou de catalyseur à cette réflexion. Mais le problème généralement observé dans ces structures, c’est le manque de moyens et souvent aussi le manque d’ouverture.
Et c’est ce qui distingue aujourd’hui le lycée Averroès d’autres établissements musulmans : en développant de bonnes relations avec les politiques et pouvoirs publics locaux, en prônant l’ouverture à tous dès sa création, le lycée a pu signer un contrat d’association avec l’Etat, ce qui a fait passer son budget de 120 000 à 400 000 euros.
Et le directeur de l’établissement, Hassan Oufker, tient à garantir cette ouverture :
« Ce n’est pas la lecture du Coran qui va nourrir votre famille »
L’équipe enseignante accueille d’ailleurs quelques profs non musulmans. C’est le cas de Mme Houdinet, prof d’anglais, arrivée en septembre dernier.
En ce qui concerne les cours d’éthique musulmane – 1 à 2 heures par semaine, optionnelles, mais suivies par 85% des étudiants –, Hassan Oufker insiste sur le fait qu’il ne s’agit pas de traiter de religion pure, et de ne pas imposer telle ou telle position aux élèves :
Faire oublier les dérapages
Soucieux de conserver son image d’ouverture, le lycée Averroès tente aussi de faire oublier un coup de canif dans son histoire modèle. En 2004, Hassan Iquioussen, prédicateur de la mosquée d’Escaudain, dans le Nord, et aussi professeur d’éthique musulmane à Averroès, avait enregistré une conférence sur la Palestine, dans laquelle il traitait les juifs « d’avares » et « ingrats », et les voyaient comme des comploteurs contre l’islam.
Depuis, le prédicateur s’est excusé, et la direction de l’établissement estime le sujet clos. Hassan Iquioussen accompagnait encore les élèves en voyage de classe en Turquie en mars 2012, et des élèves de Terminale suivaient une de ses conférences en décembre 2011. Mais « il n’intervient plus désormais à Averroès », selon Hassan Oufker. Motif invoqué : « Il s’agit de raisons d’emploi du temps ».
Et dans la cour de récré, rien qu’à regarder la longueur des différents foulards, on perçoit en filigrane qu’un autre défi de l’équipe d’Averroès aujourd’hui est de faire cohabiter un public varié dans ses attentes religieuses, tout en poursuivant son ouverture aux non musulmans, qui boudent encore ce lycée.
Chloé Andries – Rue 89 Article original
LYCEE PRIVE AVERROES
LILLE – Établissement privé
Les trois indicateurs présentés permettent d’évaluer les résultats du lycée par rapport à ceux des établissements comparables dans l’académie et au plan national. Ils tiennent compte des caractéristiques scolaires et sociales des élèves accueillis par l’établissement : profession des parents, parcours scolaire, sexe.
– Taux de réussite au baccalauréat 2012
– Taux d’accès de la seconde et de la première au baccalauréat 2012
– Proportion de bacheliers parmi les sortants 2012
Taux de réussite au baccalauréat 2012
Part de bacheliers parmi les élèves ayant passé le baccalauréat.
Année scolaire 2011-2012
Dans l’établissement, 100% des 43 élèves présents au baccalauréat ont obtenu leur diplôme. Le taux de réussite attendu était de 83% par rapport aux établissements comparables dans l’académie, et de 87% par rapport aux établissements comparables au plan national.
Le taux de réussite de l’établissement est supérieur de 17 points au taux attendu en référence académique et supérieur de 13 points au taux attendu en référence nationale (valeur ajoutée).
Taux d’accès de la seconde et de la première au baccalauréat 2012
Probabilité qu’un élève obtienne le baccalauréat dans l’établissement s’il y est entré en seconde ou en première
Année scolaire 2011-2012
Un élève qui est entré en seconde dans ce lycée a eu 99% de chances d’obtenir le baccalauréat dans l’établissement. Le taux d’accès attendu est de 73% par rapport aux établissements comparables dans l’académie, et de 75% par rapport aux établissements comparables au plan national.
Le taux d’accès de la seconde au baccalauréat de l’établissement est supérieur de 26 points au taux attendu en référence académique et supérieur de 24 points au taux attendu en référence nationale (valeur ajoutée).
Proportion de bacheliers parmi les sortants 2012
Proportion d’élèves qui quittent l’établissement avec le baccalauréat
Année scolaire 2011-2012
– 100% des élèves, tous niveaux confondus, ont quitté l’établissement avec le baccalauréat.
– 100% des élèves de terminale ont quitté l’établissement avec le baccalauréat.
Source Education Nationale
Article original
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Vous avez eu la malchance de tomber sur les plus cons des juifs de ce monde…Il en existe bien trop à mon avis aussi et je ne les fréquente justement pas….Mais c’est aussi souvent le cas de ceux qui justifient leur désertion….ou leur antijudaisme. (Je hais le terme de W. Marr….)
Je suis un juif athée et marié à une athée (d’origine luthérienne) . Mais je reste un Juif….ethnique-culturel si vous voulez; assez sachant en matière de savoir juif……mais je ne déserte pas pour le camp des ignares et mangeurs de balivernes d’une insondable sottise.
Pardonnez la franchise; Elle est fondée sur une fort solide expérience…..73 ans.
Les Ashkénazes ont atteint en 6 siècles une forme d’eugénisme en sélectionnant malgré eux souvent, les meilleurs des Juifs et en laissant les crétins et les faiblards sur le bord de la route de la charité. Qui s’est converti croyez vous avant le 19e siècle? les faibles les gens de peu de valeur les prêtres espagnols s’en plaignaient même : les sots viennent à nous mais les marchands et les docteurs nous fuient…..disait l’un d’eux dont j’ai perdu la référence bibliographique. la suprématie ashkénaze n’a pas d’autres sources car l’expérience montre que les 20% de nécessiteux se recrutaient toujours chez les pauvres d’esprit et les malades mentaux….Les autres doués s’en tirent toujours….
Si vous trouvez le moyen de ne fabriquer que des gens sur doués, donnez nous le filon, car les Juifs en ont besoin…pas pour les Nobel mais pour tous les autres qui rament…..
juste mon experience personnelle
Arrivé d’Algerie à l’age de 12ans,deux ans plus tard,j’étais grand prix de la ville de Marseille,puis dans un college catholique(ils ignoraient mes origines) ou j’étais encore parmi les meilleurs.
Aussi je montais à Paris confiant,je suis rentré dans une école juive dirigée par des asch.,et moi qui n’avais jamais fait de difference,je vis qu’il y avait les asch; et les sef;ces derniers allaient aux éxamens en candidats libres,c.a.d sans aucune chance.
Bien plus tard un ami asch.me dit,mais pour nous vous étiez des arabes.
Degouté,je me suis converti au catholicisme.
Je garde quand meme l’amour d’Israel,et je réponds à toutes les demandes de dons.
Je ne garde aucune rancoeur ni animosité,mais beaucoup d’amertume.
oui, très vrai.
Ma fille a fait sa terminale dans un établissement de Paris. Le premier jour elle est revenue « ils sont tous blonds! » m’a t elle dit. Ma fill est très brune, sa mère est séph.
Blonds et catho et bobo….et alors?
Cela dit, super et bac avec mention, aujourd’hui à l’école de la Magistrure.
C’est quoi ce racisme Ash/séph au juste ?
Il faut se réjouir que tous nos jeunes de France, juifs, musulmans et autres réussissent. C’est que je souhaite à tous.
Quand va-t-on arrêter de nous prendre pour des vaches à lait ? !
J’habite en province dans une ville où il n’y a pas d »école juive. J’ai mis mes enfants en école et collège privés catholiques principalement pour des raisons de sécurité. Le coût de la scolarité (hors cantine évidemment) dans ces établissements est fonction des revenus. {{Le maximum est fixé à environ 80 € par enfant.}}
{{On est TRÈS LOIN des tarifs exorbitants des écoles juives qui sont pourtant conventionnées de la même manière.}} Cette différence démesurée des tarifs entre les écoles juive et les écoles catholiques me fait penser à la cacheroute.
Je m’attriste qu’aucun dirigeant religieux ou communautaire ne se mobilise vraiment sur ces sujets.
Intox ou info ? A voir. Est-ce pour nous faire « gober » des constructions futures d ‘écoles musulmanes ? Pauvre France !
Trouvé: L’erreur est à propos d’ un effectif de 43 élèves, ce qui est impossible, cela ferait des classes de combien d’élèves par série littéraire, économique et scientifiques ? Une {{dizaine}} ? pour quels effectifs d’enseignements ? cherchez les cancres
Les gosses du lycée musulman sont filtres peut être , ceux des lycées juifs le sont avec certitude!
Le problème est : que fait on des autres ? On les abandonne à leur sort ? On pend le risque de les laisser rejoindre des établissements catholiques ( c est le secret de polichinelle de la communauté )?
Ce qui est gênant dans cette affaire , c est que les élèves » exfiltres » de nos écoles juives ont pour la plupart été formés dans ces mêmes écoles . La responsabilité de ces établissements devrait à tout le moins etre soulevée .
Pour votre gouverne je vous signale cette définition superbe de Jean d’Ormesson sur le monde où nous vivons. ( Ici et en Israel aussi…!)
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d’un nombre de producteurs en diminution continuelle.
L’ENQUÊTE de JForum sur le Lycée musulman ressemble à la mentalité de la Propaganda Staffel du Parti Socialiste Ambiant…Un attrape-nigauds.
je suppose que les gosses de ce lycee sont filtres et que seul les meilleurs sont acceptes
Prenons comme ex le lycee מדעים ואמנויות a Jerusalem seul les meilleurs sont acceptes et mon fils a ete parmis eux et la nous avons 100%d de recu au bac
Ratfucker, Vous êtes un Exemple de probité intelligente et nos lecteurs critiques qui parlent d’extermination des faibles (!) devraient se relire avant de poster des inepties idéologiques idéalistes. En effet, je suis d’accord avec vous pour faire remarquer à nos critiques, que lorsqu’on sélectionne rigoureusement les meilleurs à l’Entrée, on a en effet bien plus de chances d’avoir de très bons résultats, à la Sortie….!!!!!!!
Vous ne comprenez rien car vous ne voulez pas comprendre le Réel.
Je n’accuse personne mais une statistique: Je ne sache pas que les Cohen-Tanuggi ou Haroche soient des « »débiles séfarades » »?????
Vous êtes un crétin « socialiste » qui n’a pas d’autre solution de destin pour les sous-doués que l’extermination….?
C’est votre violence politique utopiste qui ici est en question!
Les réductions accordées aux enfants de milieu modeste financièrement sont infimes, mais les pauvres gosses ne peuvent pas se permettre d’être mauvais élèves ou même moyens, ou sinon c’est le redoublement ou le renvoi, alors que pour les plus fortunés c’est le passage d’office.
Voyez-vous on paye sa condition sociale !
Quant aux écolages, oui il faut le dire l’école juive devient « une entreprise » et c’est bien triste car cela ne favorise pas plus l’intellect de nos enfants, mais ç’est le prix à payer pour éviter l’assimilation et les chefs d’établissements le savent.
Bravo à la réussite scolaire de ces lycées musulmans, espérons que la culture ramènera le chalom parmi eux.
Votre article a un mérite , celui de (re) poser la question de la qualité des écoles juives.
et pour toutes personnes partie prenante , c’est à dire ayant actuellement des enfants en écoles juives , il s’agit d’un vaste problème…
de la qualité des programmes en Kodesh à celle (si j’ose dire) des enseignants auto-proclamés de kodesh , du sérieux des enseignants de Hol dont l’aptitude est quelquefois discutable et qui donne l’impression d’être là faute de mieux .
Votre évocation des représentants des parents d’élève est également pertinente , je pense à cette présidente d’association en place depuis 20 ans dont les accointances avec la direction sont connues de tous..
tout cela mérite une enquete sérieuse n approfondie , auprès des parents ET des enseignants , enquete qui relève du FSJU , je pense à M PETIT OHAYON, mais cela semble un rêve.
a moins qu’un journaliste courageux ne s’y attelle.?
« supprimer les peu doués de la courbe de Gauss » vous pensez les noyer à la naissance ou peut-être utiliser le gaz?
quand a votre référence aux qualificatifs ashkénazes/ sépharades , elle est pitoyable
certain que sur la courbe de Gauss de la bêtise , vous êtes au pic.
Les taux de réussite au bac spectaculaires de l’enseignement privé s’expliquent prosaïquement par un tour de passe passe: les élèves peu doués sont contraints de se présenter aux examens en « candidats libres », ce qui épargne à leur établissement la honte d’assumer leur échec. L’enseignement public ne peut pas se livrer à ce petit jeu, mais en trafiquant la carte scolaire ou en orientant vers les bacs pro, les proviseurs arrivent à créer des « zones d’excellence » au prix de la concentration des cancres dans des établissements poubelle. 80% de réussite au bac au niveau national, couplé à un taux d’analphabétisme de 25%, cherchez l’erreur.
Reponse a maman68 :
vos remarques laissent à penser que vous feriez baisser la moyenne des lycées juifs si vous étiez encore scolarisée!.
la jeunesse francaise est au top niveau ! le taux de réussite au bac est deplus de 80 % en france ! arretez de nous prendre pour des » c… » ! il n ‘ y a qu’ a voir le taux de rebus a l ‘université ou plus de la moitié ne savent aligner une phrase sans faire des fautes de francais ou d’orthographe et je ne parle pas du niveau general secondaire ou plus de 20% DES JEUNES QUI ARRIVENT EN SECONDE SAVENT A PEINE DÉCHIFFRER UN TEXTE ET COMPRENDRE UN PROBLEME MATHEMATIQUE ! le taux normal il y a une decenie etait plus bas mais solide , aujourd’ hui on nivéle le niveau pour ne laisser personne » a la ramasse » ….. On voit le resultat apres ou ils sont confrontés a la realité et laissé pour compte dans les poles emplois et autres agences pour l’emploi , ou ces soit disant diplomés ne trouvent pas de travail meme avec leurs diplomes obtenus dans des cornets surprises ….. Et je sais de quoi je parle , ma compagne est enseignante et moi chef d’ entreprise ……
Les lycées juifs étaient excellents avec des Ashkénazes dont Harpending et Cochran (Université de Utah- USA) montrent qu’ils ont en moyenne 11 points de QI de plus que la moyenne des peuples (sauf les Chinois qui les égalent…). Or ce que les Lycées juifs ni l’Education Nationale ne réussissent, c’est de supprimer les peu doués de la Courbe de Gauss séfarade dominant. Les Ashkénases peu doués n’allaient pas à Yabné ou Maïmonide dans les années 50……où ces Lycées avaient des résultats dont les Goyim ne rêvaient même pas, sauf deux ou trois Grands Lycées Parisiens. On ne peut amener 100% des jeunes au Bac à 125 points de QI et Mention, si la population nantie de ces 125 points de QI n’est que de 15%, au grand maximum…..!
La prétention délirante, socialiste, et juive… est donc inepte et vouée à l’échec, sauf à faire baisser le Bac au niveau de la Débilité Mentale moyenne.
c’est normal puisque les juifs en France ce font assassiner par les musulmans, c’est normal qu’il y’ait plus d’écoles musulmanes que d’écoles juives.