En Israël, il y a une barrière de sécurité.
Depuis sa construction, les kamikazes ne peuvent plus se faire exploser dans les autobus de Tel Aviv.
Le monde appelle cette barrière de sécurité « Mur de séparation ».
Et bien, à ce propos, en voici quelques uns dont le monde ne parle pas…
« Les murs » de part le monde sont très nombreux …..
Pourquoi seul Israël est critiqué pour « le mur » sécuritaire qu’il construit ?
N’est-ce pas scandaleux, écœurant et ridicule ?
Dr Zvi Tenney

Israël n’est pas le premier pays à construire un mur, une clôture ou une barrière de sécurité. Il en existe un nombre appréciable un peu partout dans le monde. C’est cependant le mur isralien qui retient toutes les attentions et les critiques, minimisant de fait l’enjeu : éviter des attaques terroristes.

On n’entend pas ces mêmes critiques à l’égard d’autres pays ayant construit des murs de séparation afin d’éviter par exemple l’immigration clandestine.
Comme pour le mur entre le Mexique et les Etats-Unis, une barrière contre des millions de Mexicains illégaux qui veulent pénétrer au pays d’Oncle Sam et trouver une réponse à leur misère. Construire un mur pour se protéger d’immigrants en détresse est-il plus légitime que le faire pour empêcher l’entrée de kamikazes ?



« La grande muraille du Maroc » connue sous le nom de « ceinture de sécurité », est un mur de défense, long de 2.720 kilomètres, érigé par le Maroc dans le Sahara marocain dans le but de protéger ses territoires et sa population contre lesinvasions hostiles du Front Polisario.

La Corée du Sud se protège de la Corée du Nord par une barrière.


L’Inde aussi, a construit une barrière de 3.300 kilomètres afin de marquer sa séparation du Pakistan voisin, qui la conteste.

Le Botswana construit des barrières électrifiées à sa frontière avec le Zimbabwe, officiellement pour empêcher les animaux de ferme contaminés d’entrer dans le pays; elles servent surtout à empêcher ceux qui fuient les troubles d’arriver au Zimbabwe.

L’Arabie Saoudite, une des voix majeures à critiquer la barrière de sécurité israélienne, en construit une, en béton, avec caméras de surveillance. Un projet d’un peu plus d’un demi-millilard d’euros sur la frontière poreuse avec le Yemen, afin d’empêcher les infiltrations. Ce qui provoque la colère de plusieurs tribus locales qui affirment que la construction lèse le territoire yéménite de près de sept kilomètres.
L’Arabie Saoudite met également en place une barrière ultra-moderne sur les 900 kilomètres de frontière commune avec l’Irak.


Autre lieu de tensions, où s’érige un mur, Chypre, dont une partie du territoire est contestée par la Turquie. Cette dernière, candidate à l’entrée dans l’Union européenne, a construit une barrière afin de délimiter le territoire qu’elle revendique sur l’île chypriote.

Reste le cas fameux de l’Irlande, où, depuis plus de trente ans, des dizaines de murs séparent catholiques et protestants. Des rues ont été coupées afin de mettre un terme aux jets de projectiles, pierres, cocktails Molotov, grenades, etc. Des quartiers entiers de Belfast ont été défigurés, des maisons rasées et des habitants expulsés pour permettre la construction de ces murs.

La Thaïlande a annoncé en 2007 son projet d’édifier une barrière physique le long des 75 kilomètres les plus inaccessibles de sa frontière avec la Malaisie.
Le but, selon Bangkok, est d’empêcher les « terroristes » de traverser les provinces agitées, à majorité musulmane du sud de la Thaïlande.

Le Pakistan construit actuellement une barrière de 2.400 km pour être séparé de l’Afghanistan. L’Ouzbékistan a érigé une clôture le long de sa frontière avec le Tadjikistan. Les Emirats arabes unis sont en train de mettre une place une barrière sur leur frontière avec Oman et le Koweït renforce le mur de 215 km le long de sa frontière avec l’Irak.

L’Espagne de Javier Solana a érigé une barrière électrifiée gardée par des soldats, aux enclaves de Ceuta et Melilla à la frontière du Maroc. Elle fait rempart aux travailleurs illégaux, qui, par centaines, tentent d’entrer en Espagne.



* Source du texte :
« Salomon, vous êtes Juif !?, L’antisémitisme en Belgique du Moyen-Âge à Internet »
Viviane Teitenbaum – http://www.veitelu.be/?p=8

Pour Israël, le bilan* est sans appel : entre 2002 et 2008, le nombre de victimes d’attentats « kamikazes » sur le sol national est tombé de 451 à 7 !
Cette chute de 98.5% épouse autant le rythme (baisse suivant l’avancée de la construction, dès 2003) que la localisation des derniers attentats en date; en janvier 2007 et janvier 2008, deux « kamikazes » ont frappé respectivement à Eilat et Dimoma, dans la longitude du désert de Judée, ultime zone non encore circonscrite par le dispositif.
En savoir plus – cliquez ici

* Source :
« Atlas géopolitique d’Israël »
Frédéric Encel, collection Autrement
Source : www.amazone.fr

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