« Shimon Peres était le dernier des Mohicans israéliens. Le dernier à être né dans un ghetto polonais. Le dernier à avoir changé son nom pour lui donner une consonance israélienne (…) Le dernier héritier du fondateur du pays, David Ben Gourion », décrypte Éric Zemmour. Il rappelle aussi que l’ancien chef d’État, décédé à l’âge de 93 ans, a été « le dernier à avoir connu la grande époque de l’alliance entre Israël et la France, quand Shimon Peres avait un bureau à Matignon à côté de celui de Guy Mollet ».
« Shimon Peres était le dernier représentant de ces fondateurs du sionisme qui avaient adopté la forme de l’État-nation pour conjurer la malédiction du juif errant », poursuit le journaliste. « Il a fini son existence alors que l’ancien affrontement d’États-nations entre Israël et les pays arabes est redevenu une guerre de religions« , analyse Éric Zemmour. Il conclut : « La guerre de cent ans se transformait sous ses yeux impuissants en conflit millénaire ».
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Ne pas oubler le rôle capital de Shimon Pérés dans l’armement d’Israël en 1948 et 1967
Par contre il s’est opposé au remplacement de la monarchie et la disparition de la Jordanie pour en faire un état pour les arabes qui s’appellent mensongèrement palestiniens sachant que les vrais habitants de la Palestine sont juifs car la Palestine en question est le nom donné par les romains du royaume de Judée Samarie qu’ils avaient conquis avant de faire une guerre de cent ans contre les Judeens et de la gagner apres des massacres dignes des nazis allemands : souvenons de Bar Kochbah en l’an 133 qui a tenu tête à plusieurs légions romaines
Les juifs ont toujours étaient présents dans leur pays en minorité certes mais toujours là pour rappeler aux générations que ce pays leur appartenait et ce quelque soit le temps qu’ils attendront pour le restaurer :1948
Il a neanmoins eu le bonheur de voir renaitre Israel. (Moi aussi)