La Russie reprend les frappes aériennes de Daraa, dit que la sortie de l’Iran de la Syrie « absolument irréaliste »

 Poutine cherche à obtenir plus de flexibilité israélienne

 

L’offensive syrienne de Daraa avait généralement été réduite au silence, jusqu’à mercreid et les préparatifs pour attaquer Quneitra sont suspendus. L’exode des réfugiés a ralenti.

Les sources militaires de DEBKAfile révèlent que les Forces de l’armée syrienne, du Tigre et 4 e division, qui ont dirigé la poussée sur Daraa pour imposer la loi de Bachar el – Assad sur la Syrie du sud – ouest, ont baissé les bras pour le moment, ainsi que les combattants d’élite Radwan du Hezbollah. Des préparatifs syriens sont également suspendus pour déboucher ensuite sur la région de Quneitra, en face de la frontière d’Israël avec le Golan.

Nos sources révèlent que l’accalmie des combats a été ordonnée par les commandants russes, en raison de leur faible opinion sur la capacité des forces syriennes et du Hezbollah à conclure l’opération Daraa-Quneitra à temps, avant le sommet Poutine-Trump le 16 juillet à Helsinki.

Cette offensive syrienne a été interrompue pour deux raisons :

  1. Des actions militaires extraordinaires lancées très calmement par les Etats-Unis et Israël, comme le montreront de prochains articles, à partir du vendredi 6 juillet.
  2. Les relations diplomatiques russes avec Washington – et les approches secrètes à l’égard d’Israël et de la Jordanie en vue de chercher un compromis – n’ont abouti à rien. La conversation téléphonique de mardi entre le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo et le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov n’a pas non plus représenté une percée. Les Etats-Unis sont catégoriquement opposés à la volonté de Poutine d’affirmer de force l’autorité du régime Assad dans les deux provinces du sud-ouest sur les frontières jordanienne et israélienne, sachant que cela ouvrira la porte aux forces iraniennes et au Hezbollah. Une tentative visant à forcer Israël à se montrer plus flexiblee sur la présence iranienne en Syrie, dans l’espoir de persuader indirectement l’administration Trump, a également été lancée, mardi dans une conversation entre le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Ribakov et l’ambassadeur d’Israël à Moscou, Gary Koren. Poutine a invité Binyamin Netanyahu à Moscou le 11 juillet, afin d’essayer à nouveau. Pendant ce temps, le sort du front syrien reste un problème non résolu entre Washington et Moscou – en grande partie, à cause de l’acceptation par Poutine de la présence iranienne et du Hezbollah en Syrie.

   ,  ,  ,  ,  ,  , 

Pause in Syria’s Daraa Offensive amid Putin-Trump impasse on its goals. Putin seeks Israeli flexibility

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

2 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Jeremie etsesjeremiades

L’Iran ne craint que la Russie et la craint trop , donc n’osera toucher même pas un cheveu de assad . La Russie n’abandonne ra jamais la Syrie qui sera un état de la fédération de Russie si elle ne l’est pas déjà . La Russie dit qu’elle partira si assad le lui demande ce qui est complètement faux .la Russie ne quittera jamais la Syrie . Assad n’a aucun pouvoir pour demander le départ des troupes russes .

Les traîtres de lotan sont allés jusqu’à demander à Trump la non intervention de l’organisation pour défendre Israël en cas d’attaque de l’Iran . Stolrenberg est lamentable . Comment des pays comme l’Allemagne peuvent se taire face à une telle démarche ?

Ixiane

L’IRAN finira par se débarrasser d’ASSAD , la SYRIE sera chiite !!!