Mise à jour ou avant-première avant développement : SkyNews annonce de nouvelles frappes (que le site semble attribuer à Israël) sur les entrepôts iraniens de Djebel Azan près d’Alep, au soir du samedi 14 avril… (à suivre)

Les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne lancent 105 missiles de croisière contre les sites d’armes chimiques syriens.

13 missiles interceptés par la crème de la crème des systèmes de défense S-400/300, Pantsir russes, la propagande russe va jusqu’à prétendre en avoir abattu 70… 

Centre de « recherches » en armes prohibées en plein centre de Damas

Lors de leur première vague d’assaut, les trois alliés ont pris pour cibles l’aéroport militaire de Mezzeh, à l’extérieur de Damas (fréquemment la cible des expéditions de l’armée de l’air israélienne), la base aérienne d’Arzza et le fameux « centre de recherches » (chimiques) également précédemment frappé par Israël à plusieurs reprises, ainsi que deux sites chimiques près de Homs. Le Pentagone parle aussi d’une base chimique dans le quartier de Barzeh à Damas. Le Président Donald Trump a déclaré avoir approuvé les frappes de missiles de précision de l’armée américaine contre la Syrie, en collaboration avec le Royaume-Uni et la France, en représailles d’une attaque chimique qui a tué plus de 70 personnes la semaine dernière. Trump s’est exprimé lors d’un communiqué télévisuel, très tôt samedi matin 14 avril, alors qu’on entendait des explosions à Damas. La Syrie s’est vanté d’avoir réussi à intercepter 13 missiles grâce au matériel russe dernier cri, soit un très faible pourcentage, insignifiant d’un point de vue militaire.

Syrian Air Force, Air Defense Forces Lost No Assets In US-led Strike (Photos, Videos)

Scientific educational center in Barzah district, By SANA

Syrian Air Force, Air Defense Forces Lost No Assets In US-led Strike (Photos, Videos)

Scientific educational center in Barzah district, By SANA

La Russie a déclaré que cette action ne resterait pas « sans conséquences ». Trump a expliqué que les frappes  avaient pris pour cibles les capacités du régime à employer des gaz chimiques comme armes et que les trois alliés  voulaient exercer une « pression soutenue contre Bachar el Assad, le président syrien, jusqu’à ce qu’il consente à ne plus utiliser d’armes chimiques à l’avenir ». Il a insisté en disant : « La réplique conjuguée américaine, britannique et française intégrera tous les instruments à portée de notre puissance nationale : militaire, économique et diplomatique ». Il a aussi condamné la Russie et l’Iran pour leur soutien au régime syrien.

Les sources des renseignements militaires révèlent que des frappes de missiles et d’hélicoptères d’attaque dirigées par les Etats-Unis ont aussi frappé des sites militaires syriens et du Hezbollah près de la base aérienne d’Al Dumeir, à 40 km à l’ouest de Damas, dans les Monts Qalamoun, où les deux armées ont construit des installations souterraines.

La base aérienne d’al-Shirai dans la région d’al-Dimas, à l’ouest de Damas et proche de la frontière libanaise a été une des cibles de ces frappes.

L’attaque a aussi vise un site à Masyaf, à environ 170 km au nord de Damas, des dépôts de l’armée syrienne dans l’est des Monts Qalamoun, au nord-Est de la capitale, la zone de Kiswah au sud de Damas, ainsi qu’un site dans les collines de Qasyoun qui surp^lombent la capitale, selon un officier supérieur de l’Alliance.

Ces frappes étaient de toute évidence la première vague de l’opération conjointe en Syrie. Washington, Londres et Paris attendent maintenant les réponses russes et iraniennes avant de décider comment précéder par la suite.

La première ministre de Grande-Bretagne, Theresa May a diffusé son propre communiqué en confirmant qu’elle avait ordonné des frappes aériennes afin de punir le comportement  » cruel et odieux » du régime syrien. Elle a affirmé que ce branle-bas de combat n’a pas pour but un changement de régime ni « d’intervenir » dans la guerre civile, mais de stopper « l’érosion des normes internationales qui interdisent l’emploi de ces armes » chimiques, biologiques et nucléaires.

Le Président français Emmanuel Macron a déclaré : « Nous ne pouvons tolérer la normalisation de cet usage des armes chimiques ». La Télévision d’Etat syrienne a prétendu qu’à cette attaque s’était confronté « l’Axe anti-terroriste » pro-Damas. La réponse de Téhéran a menacé de « conséquences » – à la fois régionales et internationales.

  

Pentagon Denies Any Missiles Were Intercepted By Syrian Forces, Provides Own Version Of Events

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Pentagon Denies Any Missiles Were Intercepted By Syrian Forces, Provides Own Version Of Events

US, France, Britain launch 100 cruise missiles on Syrian chemical weapons sites

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