Invité de Laurent Delahousse sur « France 2 », le chanteur a choqué une partie des téléspectateurs avec sa proposition.
MÉDIAS – « D’abord, on devrait savoir à qui on a affaire… » Ce dimanche 7 janvier, Charles Aznavour était invité par Laurent Delahousse sur France 2, dans « 20h30 le dimanche », en compagnie de la pianiste née géorgienne et naturalisée française Khatia Buniatishvili. En présence de ces deux artistes aux racines multiculturelles, l’animateur a voulu évoquer l’une des thématiques du moment: l’accueil des migrants en France.
Avec Charles Aznavour, il a justement évoqué les multiples cultures du chanteur de 93 ans. « C’est un apport pour un artiste qui veut partir en dehors des frontières », lui a expliqué l’interprète de « La Bohème » et de ‘Emmenez-moi ». Et c’est alors que Laurent Delahousse a demandé: « Quand on voit cette histoire, ce parcours, cette double culture, est-ce qu’aujourd’hui vous considérez que la France est trop timide vis-à-vis des migrants, ou pas? »
Une question à laquelle le chanteur a fait cette réponse: « D’abord, il faut savoir à qui on a affaire. Il y a peut-être des génies parmi ces gens, et en tout cas il y a des gens utiles, c’est vrai. Et c’est vrai aussi qu’on ne peut pas avoir tout le monde chez soi, ce ne serait pas facile et ce ne serait pas normal. Mais on pourrait faire un tri intéressant. On pourrait avoir des gens très intéressants qui passent. »
Et de conclure avec une référence à une autre immigrée célèbre, Marie Curie, née polonaise. « Si aujourd’hui Marie Curie passait, on lui dirait ‘Au revoir madame’. » Des propos, et notamment une proposition de « trier » les migrants pour ne pas louper un potentiel « génie », qui ont suscité la colère de nombreux téléspectateurs sur les réseaux sociaux.
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Chez nous, les niais benêts de la pensée ont le monopole du cœur : « La France est une terre d’accueil ».
Nos journalistes posent les questions sur lesquelles ils attendent des réponses conformes à leurs opinions.
Monsieur Aznavour a parait-il choqué les français par sa réponse, en substance : « On doit trier les migrants et rechercher les génies. »
Poserait-on cette question si les migrants ne posaient aucun problème ?
Si la France est depuis toujours réellement une terre d’accueil, pourquoi beaucoup de français ne veulent-ils pas de ces migrants ?
Mi-grand = nain ?
Oui, certains migrants sont des nains de la tête. Ils ont un cerveau qui n’a pas grandi, au point de nier l’existence des autres, leur religion, leurs coutumes, leur culture.
« J’arrive, je suis un déshérité de la terre, poussez vous, chez vous, vous êtes chez moi, mécréants ! ».
Tous les migrants sont ainsi ? Non, certains. J’en suis certain.
Alors notre avenir est incertain. Un loup dans la bergerie…
Sommes-nous des moutons ? A-t-on le droit de réagir au dictat des dirigeants européens et à nos dirigeants concernant la politique migratoire ?
Quelqu’un frappe à votre porte, vous avez le droit de l’accueillir ou pas. On doit avoir le droit de choisir qui recevoir et secourir. Les critères de « tri » sont tellement subjectifs, la peur de l’autre reste constante.
Accueillir des génies ?
Les nôtres s’en vont à l’étranger, il faudrait donc les remplacer ?
Accueillir des familles à l’origine torturées ou martyrisées dans leur pays ? Oui, s’il s’agit de décision réelle humanitaire basée sur des faits avérés, très difficiles à établir.
L’expérience montre qu’une fois entrés sur le territoire les migrants ne sont plus contrôlables. Dans certains cas, leur pays d’origine refuse leur retour, exemple réel de l’Algérie qui a refusé de recevoir les algériens récemment expulsés d’Espagne.
Ne soyons pas aveugles : lorsque l’on parle de compatibilité de l’islam avec les lois de la République, l’on a tout dit.
L’Occident sur lequel tous ces déshérités ont craché, contre ces colons assassins, contre ces chrétiens à soumettre et convertir, contre ces juifs à exterminer, cet Occident est soudain devenu une terre d’accueil. Les migrants et nos dirigeants vont en extirper les citoyens racistes pour installer cette chance de la diversité.
Nos journalistes sont les marteaux qui écrasent notre réflexion sur l’enclume de la malhonnête bien-pensance.
Merci, Monsieur Aznavour d’avoir bousculé les Dhimmis, à une heure de grande écoute, dans leur sommeil ou leur inconscience.