L’idéologue socialo-« progressiste » Castaner n’a rien à faire à un poste régalien où des décisions majeures, incisives, claires et nettes impliquent la vie quotidienne des Français. Tergiverser à la suite d’un état d’urgence ne peut que faire empirer la situation. D’autre part, le désordre « islamo-africaniste » (Traoré, LDNA) actuel n’est qu’une conséquence importée de la contestation généralisée (orchestrée par le Jihad, AQMI, Boko Haram, extrémistes peuls du Nigéria… etc.) des forces occidentales intervenant en Opex, dans le berceau civilisationnel de l’esclavagisme aux XVII, XVIII, XIX èmes siècles, où les divers colonialismes franco-britanniques sont parvenus à briser les chaînes de l’esclavagisme islamo-africain qui convergeait vers le Sahel. La vérité est que la piraterie esclavagiste en mer et sur terre en Méditerranée et au Maghreb-Afrique noire est la véritable cause des expéditions « civilisatrices » européennes dans ces contrées, au nom de la Révolution ou autres idéaux chrétiens. Que l’Occident a libéré (ou voulu libérer) les Africains de leurs chefs locaux exportateurs, avec les musulmans, de « bois d’ébène » vers les Amériques. A ces périodes, il y avait plus d’esclaves au Sahel que dans toutes les Amériques et Caraïbes réunies. Cessons d’abêtir le monde et d’aveugler les consciences avec ces « faux réveils » opportunistes des Indigénistes, pro-BLM et autres farces pour repentants débilisés, s’agenouillant -comme l’envisageait Castaner à propos des forces de l’ordre) ou faisant carpette : que peuvent répondre les Traoré maliens, le pointeur Entgouchi de la LDNA et autres issus des bêtisiers panafricanistes pour gogos  de salon, type Castaner? 

 

Val-de-Marne : un policier noir arrête un dealer, la justice lui reproche… un contrôle au faciès

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/ Jeudi 25 juin 2020 à 21:4347

Image d’illustration © GILE MICHEL/SIPA

Contrôlé avec du cannabis et de la cocaïne, le suspect a été remis en liberté après que le parquet a reproché au policier de l’avoir contrôlé en raison de sa couleur de peau.

Les paradoxes de l’antiracisme. Mardi 23 juin, un dealer a été interpellé par une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC) avec du cannabis et de la cocaïne sur lui. Seulement, il a été remis en liberté dans la foulée, sur décision du parquet. En effet, la justice a estimé que le trafiquant avait été « contrôlé parce qu’il est noir ». Pourtant, le policier qui l’a arrêté était lui-même noir, rapporte Le Parisien. Du côté du parquet on plaide une « maladresse », mais l’équipage de la BAC impliqué dans l’interpellation « n’encaisse pas du tout » cette décision basée, selon lui, sur « le contexte sur le racisme ».

Un contrôle qui « s’est très bien passé »

Tout a commencé mardi 23 juin, aux alentours de 20 heures. Ce soir-là, les policiers en civil patrouillaient dans un quartier de Créteil, non loin d’un point de deal. Ils ont aperçu « un individu de type africain de 20 ans environ, coiffé d’un casque noir, qui [sortait] d’un immeuble ». Alors que l’individu s’apprêtait à démarrer, les « bacqueux » ont suspecté un livreur de stupéfiants et décidé de procéder à un contrôle. « Cela s’appelle du flair. Les types sont payés pour en avoir », justifie un de leurs collègues auprès du Parisien. Les fonctionnaires se sont rapidement rendus compte qu’ils avaient raison, quand ils ont découvert de la résine de cannabis et des pochons de cocaïne et l’ont emmené au poste. « Le contrôle s’est très bien passé. Le gars était correct », témoigne le même collègue.

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« En fait, vous l’avez contrôlé parce qu’il est noir »

Seulement, selon les informations du Parisien, la magistrate en charge de l’affaire a tiqué sur la motivation du contrôle. « En fait, vous l’avez contrôlé parce qu’il est noir », aurait-elle directement déclaré aux policiers responsables de l’interpellation. Après avoir demandé à ce qu’on lui envoie le procès-verbal, elle a estimé qu’il fallait remettre en liberté le dealer pourtant attrapé en flagrant délit. « Elle nous a dit que vu le contexte sur le racisme, c’était compliqué », s’indigne un policier auprès du Parisien« Mais dire que la raison du contrôle, c’était la couleur de peau du suspect, ça, on ne l’encaisse pas du tout », ajoute-t-il. L’un des policiers le vit particulièrement mal : celui qui avait la même couleur de peau que le suspect.

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Créteil : Le parquet estime que le dealer a été interpellé sur fond de racisme, il est remis en liberté

Illustration. (Adobe Stock)

Un livreur de drogues a été interpellé avec du cannabis et de la cocaïne par les policiers de la BAC à Créteil (Val-de-Marne) ce mardi. Il a été remis en liberté sur décision du parquet, qui aurait reproché aux policiers un contrôle lié à la couleur de peau du mis en cause.

 

 

La décision et la justification du parquet irritent les policiers. L’affaire a même été évoquée lors de la réunion hebdomadaire entre le patron de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) et la procureure de la République ce jeudi matin raconte Le Parisien. Les autorités font part d’une « maladresse ». Le mis en cause a quant à lui retrouvé la liberté.

Tout est parti du sens de l’observation des policiers de la Brigade anticriminalité (BAC). En patrouille ce mardi soir dans le quartier du Port à Créteil, à proximité d’un point de deal, les fonctionnaires ont eu leur attention attirée par un individu âgé d’une vingtaine d’années, de type africain, qui portait un casque noir. Ce dernier sortait de l’immeuble situé au 52 avenue du Général Pierre Billotte.

Une fois assis sur son scooter, l’homme a pris son portable et s’est mis à tapoter dessus, allumant son GPS. Soupçonnant qu’il soit un livreur de drogue, les policiers ont décidé de procéder à son contrôle. Ils se sont vite rendu compte qu’ils avaient eu du flair.

Il remet le cannabis et la cocaïne qu’il transporte aux policiers

Le suspect était nerveux et une odeur de cannabis était présente. Ce dernier a rapidement avoué aux policiers qu’il transportait de la drogue. Il a remis aux policiers de la BAC un sachet qui contenait de la résine de cannabis, puis des pochons de cocaïne qu’il avait dissimulés. De l’herbe était aussi dans le coffre du scooter. L’homme domicilié à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) a été interpellé.

 

 

Les premières recherches ont confirmé que le mis en cause était un livreur de produits stupéfiants, jamais condamné par la justice par le passé et inconnu des services de police. Avisé de sa garde à vue, le parquet a demandé des précisions sur le motif du contrôle d’identité à l’origine de son interpellation.

« En fait vous l’avez contrôlé parce qu’il est noir »

Les forces de l’ordre sont en effet dans l’obligation de respecter l’article 78-2 du code de procédure pénale pour réaliser le contrôle d’une personne, en motivant leur action par le fait que cette dernière « a commis ou tenté de commettre une infraction » ou « qu’elle se prépare à commettre un crime ou un délit », entre autres.

La parquetière a demandé qu’on lui envoie le procès-verbal d’interpellation. Après l’avoir consulté, elle a estimé que le motif du contrôle d’identité n’était pas valable et que le mis en cause devait par conséquent être remis en liberté. « En fait vous l’avez contrôlé parce qu’il est noir », aurait lancé la magistrate, affirment les policiers. Une remarque qu’ils considèrent fausse et qu’ils ne digèrent pas, alors même que le fonctionnaire qui a décidé de réaliser le contrôle est lui-même de type africain.

« C’est une maladresse du parquet », a estimé un gradé de la police interrogé par le quotidien francilien. Le policier qui a rédigé le procès-verbal d’interpellation avait d’ailleurs précisé « que le pilote faisait démarrer son scooter sur un trottoir ce qui peut largement motiver le contrôle », souligne-t-il. Ni le parquet, ni la DDSP n’ont souhaité répondre aux questions de nos confrères.

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Guy Poron

Vraiment, cette magistrate, excusez-moi, mais une poufiasse ou une con… qui prend des décisions importantes complètement dans le mauvais sens! Pôvre France avac de tel-les magistrat-es qui ne savent plus appliquer la JUSTICE!!!

Jg

Il faudra souscrire une assurance vie supplémentaire pour se rendre en France !