Fin septembre, l’autorité palestinienne avait demandé à la cour internationale de Justice d’affirmer que le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem constituait une violation de la convention de Vienne.
En outre, les autorités palestiniennes ont exigé que la Cour enjoigne « aux États-Unis d’Amérique de retirer la mission diplomatique de la ville sainte de Jérusalem et de se conformer aux obligations internationales qui découlent de la convention de Vienne ».
La réponse américaine ne s’est pas fait attendre…
Dans sa plainte, l’Autorité palestinienne a demandé à la CIJ de déclarer que le transfert de l’ambassade « constituait une violation de la Convention de Vienne » et d’ordonner à Washington de retirer sa mission diplomatique de Jérusalem, selon l’agence Wafa.
En réponse à la plainte devant la CIJ, Washington vient de sanctionner immédiatement la mission palestinienne de façon inédite.
En effet,par la voix de John Bolton, le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, a tout simplement, annoncé se retirer de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques.
Une decision qui rend caduc le projet palestinien de remettre en cause le transfert, « de la part de ceux qui se prétendent Etat de Palestine a déclaré John Bolton.
Créée en 1946 et basée à La Haye, la CIJ statue sur les différends entre pays, mais elle peut également donner des avis consultatifs non contraignants à des organes de l’ONU.
La convention de Vienne sur les relations diplomatiques est un traité international réglant les rapports diplomatiques entre États, l’immunité du personnel diplomatique et l’inviolabilité des ambassades. Elle a été adoptée le 18 avril 1961 à Vienne (Autriche) et est entrée en vigueur le 24 avril 1964. Elle a été complétée en 1963 par la convention de Vienne sur les relations consulaires.
“La Palestine n’est pas un Etat » a expliqué Bolton, « car elle ne répond pas aux critères pertinents et au test international habituel d’un État », a-t-il souligné.
«Elle ne contrôle pas les frontières définies et ne remplit pas les fonctions normales d’un gouvernement. Il y a toute une flopée de raisons pour lesquelles ce n’est pas un État » a ajouté le conseiller américain à la sécurité nationale.
« Ces territoires pourraient devenir un État, comme l’a dit le président [Trump], mais cela nécessite des négociations diplomatiques avec Israël……….Nous nous sommes toujours opposés à l’admission de la » Palestine « à l’ONU en tant qu’État, car ce n’est pas un État », a conclu Bolton.
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Lili
La Palestine libre…c est La Palestine libre de tout occupant Arabo musulmans !
Ça vient…ça vient. Lentement mais sûrement….
Les Palestiniens sont :
Les Habitants de Judée Samarie dont le territoire fut « baptisé » Palestine par les Romains, nos ennemis jurés d hier et encore d aujourd hui.
Les Habitants Juifs de Judée Samarie dont les Anglais (sont ils véritablement nos amis) pour nommer la Palestine mandataire, à la veille de la résurrection d Israel sur sa terre ancestrale, et bien avant
l’ apparition du monumental mensonge du
Peuple inventé Palestinien qui n existe pas et je l espère disparaîtra dans les plus profons égouts de l histoire
Parfaitement… LES BARRES SUR LES T, LES POINTS SUR LES I ET LE DOIGT DANS LE C.., ET POINT A LA LIGNE. La Palestine est une région internationale, envahit par des voleurs arabes.
Trump: Le meilleur président que les états unis ont connu
La gauche internationale y compris israélienne doit enrager. Mais c’est comme ça, les affaires se remettent en place petit à petit
Il serait souhaitable que cela continue, toujours dans le bon sens, c’est à dire dans l’intérêt d’ISRAEL, ce qui n’a jamais été le cas jusqu’avant la présidence de Trump
Et oui Abbas ? Mr Trump n’est pas obama ,finit le temps des courbettes,et les donations à tout va ,dont les 3/4 allaient dans vos poches ,et rien au peuple , vous n’êtes que des vauriens pleurnicheurs et destructeurs de vie…