Le Premier ministre turc gagne une nouvelle manche contre les militaires.
L’armée Turque censée garantir un état laïque a été mise en échec. Or c’est sur cette base que la Turquie avait été acceptée dans le camp occidental. Ce revers important des militaires n’est pas sans conséquence sur l’alliance avec l’OTAN. C’est aussi une défaite pour Obama, qui a tant promu cette alliance. L’axe Israël Turquie vient de perdre son allié de poids, pire cet allié se retourne contre lui.
La Turquie s’éloigne de manière importante de l’Europe, son rôle dans l’OTAN va s’amoindrir et son armée risque de ne faire que de la figuration dans ce dispositif militaire. Déjà les informations sensibles ne lui sont plus transmises par les renseignements Américains.
La démission des quatre plus hauts gradés de l’armée turque était censée être fracassante. Elle donne en fait au Premier ministre Recep Tayyip Erdogan l’occasion de réaffirmer son autorité sur les militaires. Il en profite aussi pour avancer son pion favori, en renouvelant son souhait de doter la Turquie d’une nouvelle Constitution.
Le gouvernement Erdogan a, sans tarder, annoncé la promotion du général Ozel. Il accède au poste de major général des forces armées, autrement dit, il devient numéro deux de l‘état-major.
“Nos gouvernements sont élus lors de scrutins démocratiques, réagit un citoyen turc. Nous sommes habitués à cela. Les militaires doivent aussi s’y habituer”. Le message est simple. De nombreux analystes le confirment: la fin d’une époque a sonné en Turquie, celle où l’armée jouait un rôle clé dans la vie politique. “La démission des principaux chefs militaires aurait provoqué une grave crise dans le passé, explique Bora Bayraktar, le correspondant d’Euronews en Turquie. Mais cette fois, la crise a été résolue en quelques heures, et le peuple semble satisfait. Tout le monde attend maintenant la réunion du Haut Conseil militaire lundi
TURQUIE – démissions des 4 plus hauts gradés de…
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A partir du moment où l’armée ne peut plus garantir la laïcité, on ne peut plus parler de laïcité, c’est une lapalissade !!!… Conclusion : Le pays va revenir à ses premières amours, et reprendre comme amant, l’islam, et son livre de chevet, le coran ! Et son lot de barbaries, et de tueries de toutes sortes ! Car, comme je l’écris à chaque occasion : » Là où l’islam passe, la vie trépasse » ! C’est une triste réalité à laquelle nous assistons tous les jours ! ERDOGAN n’a pas prévu la guerre civile, après la décapitation de l’armée ! Il l’aura en prime, et ne survivra peut-être pas (politiquement) à ce tsunami !
INCHA ALLAH, comme disent si bien nos amis romains ; en espérant que l’Occident en tire une leçon et sache prévenir les bouleversements géopolitique et stratégique qui en découleront !!!
A Israël de renforcer ses liens avec la Grèce, bien que cette dernière ait une population à majorité antisémite… (Mais qui ne l’est pas aujourd’hui, hélas ?); du Mal finira par sortir, en définitive, du Bien !
CONCLUSION : Il est impossible de faire confiance, sur le long terme, à un pays arabo-musulman, hier c’était et c’est toujous l’Iran (musulman); aujourd’hui c’est l’Egypte (arabe et musulman) et la Turquie (musulmane)…
Et pour finir, je reviens à Israël qui doit comprendre qu’on ne peut faire confiance à ces peuples rongés par l’islam, prêts à retourner leur(s) veste(s) à la première occasion, et qu’en conséquence, il ne faudrait surtout pas céder un cm2 de la terre d’ISRAEL, geste qui serait interprêté comme un état de faiblesse, qui les renforcerait dans une attitude intransigeante et belliqueuse, et que seule la force est de mise, car ces peuples ne respectent et ne comprennent que la force, à utiliser sans aucune modération !!!
ABEL
Eh ben, disons qu’une fois que le seul garant de la laïcité a été décapité, on ne peut plus dire que la Turquie est un état laïque, disons le, et aussi que c’est un état construit sur le mensonge du génocide arménien !
Maintenant plus rien ne nous empêche de le dire haut et fort !!!!
La Turquie est une mosaïque de peuples dont l’avenir proche n’est QUE la guerre civile.
l’islam étant par définition incapable de générer un quelconque compromis démocratique.
Par conséquent, l’échec « actuel » et « apparent de l’armée n’est que la préparation par Erdogan tout fiérot de sa victoire à la Pyrrhus, d’une guerre civile que l’armée gagnera par un bain de sang dont les Kurdes et l’Arménie comme les Grecs ne seront pas les seuls à attiser l’effusion….