La Norvège, sollicitée par les États-Unis en vue de détruire une partie de l’arsenal chimique syrien sur son sol, a annoncé aujourd’hui qu’elle ne pourrait accéder à cette requête, jugeant le calendrier trop serré. »En bonne entente avec les États-Unis, nous avons conclu que, sur la base des échéances qui prévues dans la résolution de l’ONU (…), il n’est pas approprié de continuer à envisager la Norvège comme lieu de destruction », a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Boerge Brende.
25-10-2013/AFP