Plusieurs articles d’opinion, publiés par Israel Hayom récemment, mettaient en garde contre un renversement de situation dans le conflit palestino-israélien, fondé sur les renseignements disponibles. Les experts Yossi Kuperwasser et Reuven Berko, parmi d’autres, ont averti qu’un certain processus touchait à sa fin. Ils se sont focalisés sur les dynamiques propres au camp adverse et, il n’y a pas de hasard, comme les débriefings sécuritaires qu’offre Tsahal au cabinet diplomatique et de sécurité, leur papier s’ouvrent par un aperçu sur la situation actuelle où se trouve l’ennemi. Mais nous, dans toute cette affaire?
La question cruciale, toujours absente des recherches menées par les experts des renseignements, consiste à savoir :
- ce que sont exactement nos propres aspirations nationales,
- comment nous prévoyons de réaliser notre vision nationale et
- comment toutes deux se reflètent dans les intérêts que nous nous efforçons d’atteindre concrètement.
Le débat, comme le soulignait le Premier Ministre David Ben Gourion, doit être conduit par le cercle dirigeant national et non par des experts professionnels (en sécurité).
Les considérations de sécurité nationale s’étendent bien au-delà de leurs aspects techniques ou purement sécuritaires. Ensuite ajuste t-on les moyens aux objectifs définis par le politique. La doctrine de Tsahal l’affirme : « La sécurité nationale est le sujet qui traite des façons de garantir la capacité de traiter les menaces existantes contre le pays et ses intérêts nationaux avec efficacité ».
Effectivement, les causes premières de la division entre gauche et droite, concernant notre avenir, s’incarnent dans la définition de ce que sont nos intérêts nationaux et ce qu’ils devraient être en Judée et Samarie. Comme il y a un désaccord sur la nature de nos aspirations nationales, nous déléguons ce débat de fond à des experts en sécurité et nous limitons la liste de nos intérêts en Judée et Samarie aux strictes exigences de cet ordre sécuritaire. L’initiative reste au camp adverse.
Le seul centre d’intérêt qui soit situé au-delà des efforts techniques pour maintenir la sécurité concerne la séparation d’avec les Palestiniens, qui est devenu un intérêt national de la plus haute importance. La répétition incessante de cette nécessité de séparation dénie le fait que cette séparation a essentiellement été actée par l’ancien premier ministre Itzhak Rabin, dans le cadre des Accords d’Oslo. En mai 1994, le contrôle israélien sur la population palestinienne s’est achevé dans la Bande de Gaza et, en janvier 1996, l’administration civile israélienne, sur les populations palestiniennes des zones A et B de Judée et Samarie, a touché également à sa fin.
Selon les Accords d’Oslo, la Judée et la Samarie ont été divisées en trois zones différentes, connues comme les zones A, B et C. La zone A est exclusivement administrée par l’Autorité Palestinienne, la zone B est sous contrôle civil palestinien et le contrôle sécuritaire partagé entre Palestiniens et Israéliens et la zone C est sous contrôle israélien.
La façon dont Rabin a démarqué les zones A, B, et C entre elles, reflète le besoin qu’il percevait de garder la maîtrise sur la zone C. En tant que telle, après s’être retiré de la majeure partie des zones urbaines et des villages habités, on observe que le retrait effectif d’Israël concerne la plupart des zones de Judée et Samarie sous son contrôle, dont la vallée du Jourdain, alors que les blocs d’implantations ne représentent seulement que 4% de la surface totale.
Partant de cette position avantageuse, les attentats terroristes, comme le meurtre du Rabbin Raziel Shevah, la semaine dernière, près de l’avant-poste de Havat Gilad en Samarie, poussent les défenseurs de la séparation à poser des questions devenues familières : Même si Tsahal doit opérer dans cette zone, quel besoin des citoyens israéliens ont-ils de vivre là?
Nos intérêts nationaux en Judée et Samarie vont bien au-delà que la simple question de la sécurité. Les Palestiniens ont déclaré plus d’une fois que s’ils parvenaient à nous repousser jusqu’à la fine bande côtière, provoquant ainsi notre perte de contact avec la terre d’Israël comme lieu de notre origine, ce ne serait alors plus qu’une question de temps avant qu’Israël ne disparaisse, exactement comme les Croisés, autrefois.
En outre, Israël en serait réduit à une étroite bande côtière, devenant une mégalopole surpeuplée s’étendant de Nahariya au nord à Ashkelon au sud, ce qui est une catastrophe autant écologique que territoriale, qui a déjà atteint son point d’ébullition.
La façon dont Rabin a démarqué la zone C, en prêtant une attention personnelle à chaque route et à chaque colline, exprime les intérêts territoriaux que l’Etat d’Israël entretient en et avec la Judée-Samarie. Cela exige que l’entreprise des implantations développe principalement trois zones :
- Le Grand Jérusalem, spécifiquement vers l’Est et la Mer Morte,
- la Vallée du Jourdain
- et les « couloirs sécuritaires » se faufilant entre la côte et la Vallée du Jourdain.
C’est, entre autres choses, la raison pour laquelle Havat Gilad est d’importance vitale, puisqu’il se situe sur l’un de ces couloirs allant d’ouest en Est. C’est, bien sûr, quelque chose que nous ne pouvons réaliser solidairement, qu’avec le concours de nos pionniers impliqués dans l’entreprise des implantations.
Il y aurait une bonne solution : agrandir GAZA vers le SINAI , l’immense SINAI ; en faire un ETAT avec l’aide de L’EU , l’ONU et des riches pays arabes , le développer, construire de façon à ce que les dits Palestiniens n’auraient plus qu’à s’installer !! on voit bien qu’ils aspirent à un ETAT « tout fait » , c’est bien la raison pour laquelle ils revendiquent ISRAEL !!!!
Chacun sait que ces dits « palestiniens » sont des Egyptiens, jordaniens , syriens …. ARAFAT lui-même l’avait reconnu !!!
Alors que tous ceux qui veulent la paix dans ce monde , creusent un peu leur cervelle !!!
A vous lire on se demanderait pourquoi Israël a du bâtir un mur pour se protéger.
Pour sanctuariser la Judée-Samarie, c’est simple il faut l’annexer sans ambiguïté et indiquer la porte aux récalcitrants. C’est peut-être en apparence une vision simpliste, mais 70 années de terrorisme devrait être suffisamment salvateur pour éviter le syndrome de Stockholm..
Que du discours et du vocabulaire péremptoires.
Article passionnant, pour un non-juif comme moi car posant les choses telles que je peux les comprendre, c’est-à-dire sur un plan politique et même philosophique. En effet, quel est le but ultime d’Israël, voilà la question que les israéliens et les juifs en général se posent, et il n’y a qu’eux -vous- pour y répondre.
Je me doute que la réponse à une connotation religieuse, mais peut être pas uniquement. Par exemple Shilo la cité du Tabernacle et aussi la première capitale d’Israël au XIIeme siècle AC , peut-elle être laissée dans son couloir de sécurité ou bien faut-il la relier réellement au reste du pays (avec Ar’iel !) pour des motifs de conscience historique nationale autant que de sécurité ?
Reste une interrogation essentielle, que j’ai déjà posé une fois mais semble-t-il sans faire comprendre la bienveillance que j’avais en la formulant : que fait-on des 2 750 000 Cisjordaniens ?
Les solutions guerrières et vaguement génocidaires sont à la fois stupides, impraticables et indignes d’Israël (et tout état civilisé). Le départ volontaire, organisé, généreux est envisageable d’un point de vue technique, mais politiquement impossible, des deux cotés. Octroyer le statut d’arabe Israélien à tous ceux qui le désireraient serait sans doute un bon moyen de diviser, mais à terme déséquilibrerait encore plus le rapport démographique (1950: 87% de juifs, 2017: 75%).
Indépendamment du pouvoir en place, de la violence culturelle et de l’antisémitisme viscéral, la solution à deux états est très compliquée au niveau économique, sans compter les déplacements de population que cela impliquerait aujourd’hui.
Mais l’abandon de la Judée-Samarie serait, en l’état actuel -et sans doute encore pour longtemps- un suicide !
Tenir avec le moins d’efforts en attendant des jours meilleurs -et malgré tout avec une situation locale de grignotage territorial- et celle apparemment choisie par B.N.
Dans l’article la traduction du paragraphe avec « seulement 4% de la totalité » n’est pas claire, et même ambiguë.
Sur la même question j’ai écris un article dont la 3eme partie est publiée demain et la dernière la semaine prochaine :https://lesouverainiste.wordpress.com/2018/01/07/chiens-de-juifs/
Vos remarques sont les bienvenues.
En attendant que la joie soit en vous.
Je ne sais pas si c’est plus clair comme ça, c’est là où il faudrait un soutien topographique (visuel) : on observe que le retrait effectif d’Israël concerne la plupart des zones de Judée et Samarie sous son contrôle, dont la vallée du Jourdain, alors que les blocs d’implantations ne représentent seulement que 4% de la totalité de la surface.
Il y a un retrait de Tsahal dans la vallée du Jourdain ?
Non, Israël conserve la Vallée du Jourdain, notamment depuis la remise en place de Dhimmi Carter par Menachem Begin, désignant la Judée et la Samarie comme « la veine jugulaire d’Israël » (en lui décrivant les tanks syriens fonçant sur Jérusalem depuis le Golan en 1973). Hormis quelques implantations éparses, c’est une zone militaire, au contraire : (la scène)
Soudain, [Begin] se mit debout, le visage aussi dur que l’acier, et dit avec intrépidité :
« J’ai une carte. »
Un aide déroula énergiquement une carte d’un mètre sur deux entre les deux hommes. Et Begin poursuivit :
« Cette carte n’a rien de remarquable, c’est une carte standard de notre pays, sur laquelle figure l’ancienne ligne d’armistice, appelée ’Ligne Verte’, telle qu’elle a existé jusqu’à la Guerre des Six Jours, en 1967 ».
Il fit courir son doigt le long de la frontière défunte, qui serpente au centre du pays.
« Et, comme vous le voyez, nos cartographes militaires ont simplement indiqué les très faibles distances de la profondeur de défense que nous avions, lors de cette guerre. »
Il se pencha au-dessus de la table et désigna la zone montagneuse, de couleur brun sombre, qui couvre la partie nord de la carte.
« Les Syriens tenaient les sommets de ces montagnes, Monsieur Le Président. Nous étions tout en bas. »
Ses doigts se posèrent sur les hauteurs du Golan, puis s’arrêtèrent sur la bande de terre verte, en dessous.
« Là, c’est la vallée de Hula. Sa largeur est inférieure à 10 miles [16 km]. Ils tiraient au canon sur nos villes et nos villages du sommet de ces montagnes, jour et nuit. »
Carter regardait, les mains croisées sous le menton.
Les doigts du Premier Ministre allaient maintenant plus au sud, vers Haïfa, il continua :
« La ligne d’armistice était à moins de 20 miles [32 Km] de notre plus grande ville portuaire. »
Ensuite, il s’arrêta sur Netanya :
« Ici, notre pays se réduisait à une étroite bande, large de 9 miles [moins de 14 Km 500]. »
Le Président américain hocha la tête et dit :
« Je comprends. »
Mais Begin n’était pas sûr qu’il ait vraiment compris. Son doigt tremblait et sa voix grondait :
« 14 Km et demi, Monsieur Le Président ! Inconcevable ! Indéfendable ! »
Carter ne fit aucun commentaire.
Le doigt de Begin était maintenant au-dessus de Tel Aviv et martelait la carte :
«Ici vivent un million de Juifs, à 12 miles [18 Km] de cette ligne d’armistice indéfendable. Et ici, entre Haïfa, au nord, et Ashkelon, au sud» (ses doigts couraient du haut en bas de la plaine côtière) – «vivent les deux tiers de notre population totale. Et cette plaine côtière est si étroite qu’une attaque par surprise, menée par une colonne de chars, pourrait, en quelques minutes, couper le pays en deux. Car celui qui tient ces montagnes» (l’extrémité de ses doigts tapotait les sommets de la Judée et de la Samarie) «tient la veine jugulaire d’Israël entre ses doigts. »
Ses yeux sombres, intenses, balayèrent le visage de marbre du puissant homme assis en face de lui, et, avec la conviction de celui qui a toujours combattu pour tout ce qu’il a obtenu, il déclara de manière lapidaire :
«Messieurs, il n’est pas question de revenir à ces lignes. Dans notre environnement impitoyable et implacable, aucune nation ne peut être rendue aussi vulnérable et survivre».
Carter pencha la tête en avant, pour mieux inspecter la carte, mais ne dit toujours rien. Ses yeux étaient aussi indéchiffrables que de l’eau.
«Monsieur le Président», poursuivit Begin, sur un ton qui ne tolérait pas l’indifférence, «c’est la carte de notre sécurité nationale, et j’utilise ces termes sans emphase et dans leur sens le plus littéral. C’est notre carte de survie. Et la différence entre le passé et aujourd’hui, c’est uniquement cela : la survie. Aujourd’hui, les membres de notre peuple peuvent défendre leurs femmes et leurs enfants. Dans le passé, ils ne le pouvaient pas. En fait, ils devaient les livrer aux tueurs nazis. »
Alors, les yeux humides et d’une voix décidée, tenace, et en pesant chaque mot, Begin déclara :
« Monsieur, j’en fais le serment devant vous, au nom du peuple juif : cela n’arrivera plus jamais. »
ouf! texte trés lourd a digérer…et aux deux tiers ennuyeux
ça pourrait se résumer a
les Juifs a l’ ouest du Jourdain, aprés avoir fait en sorte de pousser par tous les moyens les sqatters arabe vers la Jordanie, leur véritable pays suite au plan de partage
les zarabes ayant, en toute impunité, chassé un petit million de Juifs du monde Musulman
et en vertu de quoi les juifs n’ en chasseraient pas a leur tour aujourd’ hui des musslim hargneux, arrogants,terroristes!!
tous ces « phallustiniens » qui ont toujours fermé leur gueule sous les Turcs pendant des siècles, et qui ont fait pareil sous royauté jordanienne
allez: allez, vite LE conflit pour bousculer toute cette lèpre chez ses coreligionaires
Disons Yéhoudi que cela restera la grande différence entre ce général qui vit les choses et connaît le terrain, et les idéologues qui passent leur temps à refaire le monde autour d’une bouilloire à café.
En fait, il reprend tout le litige politique (qui s’estompe, il faut bien le dire) et l’absence de vision sioniste claire une fois confronté à la réalité (pas aux fantasmes d’idéologues, genre j’ai ma carte à la LDJ, depuis que le groupement est interdit à la Knesset) :
pourquoi ne parle t-on des territoires que sous l’aspect sécuritaire : est-ce que ça va chauffer si on prend telle décision (celle de Trump, dernière illustration en date)? En fait, il souligne quelque chose de fort : quand je prends une décision, ce n’est pas la présence ou l’absence de l’ennemi qui détermine mon action, mais le sens que je donne à mes propres intérêts, à mon besoin d’ancrage identitaire, à ma représentation de ce qu’est ma nation. La séparation est utile pour des raisons démographiques. Je ne veux pas gérer les résidus de présence humaine résultant de l’addition de tous les problèmes historiques depuis 2000 ans (ni même 14 siècles). S’ils n’ont pas vocation à rester là et sont réellement un accident de l’histoire (migrations pour satisfaire un Pacha ottoman…), ils vont décrocher : y a pas de hasard. Le lion de Judah ne se soucie pas des petits oiseaux qui picorent autour de lui, s’il est repus de tant d’ennemis qu’en recèlent le Golan, le Sinaï et le Sud-Liban. Il a amplement de quoi s’occuper et manger à satiété.
Ta solution, archi-connue, qui est celle du bulldozer à faire rouler jusqu’à Bagdad, voir plus si affinités, omet d’expliquer ce que tu voudrais faire faire à une armée pour que « tout se passe calmement » : en gros, c’est ce que fait Assad de l’autre côté du Golan : il change les Sunnites contre une nouvelle équipe qui gagne : les Chiites.
alors, vas-y ô grand Général Yéhoudi, dis-nous donc comment tu t’y prends (je veux dire une fois que tu as rasé Ramallah, Naplouse et tutti quanti, va bene, va tranquillo, va fortissimo). Apparemement notre grand Prêtre en armes et habits de Cohen pense que la matière grise et la façon de contourner les emmerdements est aussi efficace que la vielle méthode à la hussarde (disons à la cosaque). Celle qu’employaient les Huns… Et c’est pour cela qu’il continue à manger du hareng.
Les délires de nettoyage ethnique vous sont mis dans la tête par votre fascination pour l’ennemi, qui téléguide vos réactions de manière assez automatique. A avoir trop servi ces maîtres mamamouchi, il y a forcément un besoin d’expurger. Comme on comprend.
@Marc , le « grand nettoyage » ethnique ce sont les « Palestiniens Arabes » qui l’on fait pendant la guerre de 1939-1945 en participant comme collaborateurs des nazis sous l’uniforme des Waffen-SS à l’extermination des Juifs d’Europe avec la promesse qui avait été faite par le Chancelier Adolphe Hitler au Mufti de la mosquée de Jérusalem (Amin Al-Husseini) que les Juifs de Palestine seraient à leur tour bientôt exterminés; mais le destin a voulu que le Général Rommel soit battu à El-Alamein (Egypte) par le Général Montgomery pour contrarier leurs plans et anéantir le rêve des Arabes ! mais il n’en demeure pas moins que l’intention des Palestiniens était d’exterminer tous les Juifs de la surface de la Terre et pour cela on ne doit jamais leur pardonner, ni faire la paix avec eux , parce qu’un jour ou l’autre ils recommenceront à rêver d’un génocide contre les Juifs pour mettre à exécution ce qu est clairement énoncé dans leur « Livre Saint du Coran » parce que c’est la volonté d’Allah ! C’est pourquoi, on ne doit pas leur faire de cadeau, pendant que nos armées sont les plus puissantes, il faut tous les expulser de Judée-Samarie vers la Jordanie et cela en attendant que le Royaume de Jordanie s’effondre sur lui-même pour le reprendre des mains crochues des Arabes qui l’ont volé aux Juifs avec la complicité des Britanniques qui ont trahi la promesse qu’ils avaient faite devant la Conférence Alliée de Sanrémo prise à la suite de la Déclaration Balfour contresignée par la Reine d’Angleterre !
Idem : c’est uniquement dicté et motivé par le désir d’assouvissement de vengeance. Ils ont fait si donc je fais ça. En réalité, ce sont des argumentaires otages de nos sacro-saints ennemis sans lesquels ils ne saurait y avoir de libre arbitre, qui doivent nous dicter nos devoirs jusqu’à la fin des Temps. Le jugement dernier du dieu Palos. Le sionisme en soi et entre soi ne nous apprend rien. Véhiculons notre galout…
« Libérer la Jordanie qui appartient au peuple juif » et ainsi de suite… En fait un désir d’empire, devenir l’empereur de Chine.
A ce propos, ce même général Hacohen manie des concepts intéressants (pas présents dans ce texte) : il y a les frontières territoriales, à savoir si on s’arrête au Jourdain, et à la position la meilleure du Golan, ce qui sauf votre Emprise d’empereur, est déjà pas si mal, et, de l’autre,; les frontières stratégiques : les Anglais disaient que leur frontière stratégique se situait sur le Rhin. Celles d’Israël sont au sud du Sinaï à cause de Daesh et à Kirkouk et sur l’Euphrate, à cause de l’Iran chiite. A savoir qu’on doit cultiver nos alliances avec certains guerriers à qui rendre des services et réciproquement (Kurdes, Druzes ou quiconque en mesure de faire obstacle et d’avoir des objectifs stratégiques assimilables). Frapper au besoin pour leur prêter main forte et compter sur eux comme sur des sentinelles fidèles.
il est temps pour Israel de fixer ses exigences et d imposer ses choix, la strategie pseudo non violente de l’ olp est morte , reste les terroristes qu il faudra ecraser un jour ou l’autre