Les affaires de barbarie qui se suivent font de nous des témoins qui perdent petit à petit la capacité de révolte tant cela entre dans notre quotidien. Nous voilà mithridatisé par cette barbarie récurrente, que nous n’arrivons même plus à qualifier, tandis que l’horreur s’installe en pays conquis. Mais plus encore, dans ces affaires, il y a ceux qui nient la réalité et continuent à trouver toujours et encore des circonstances atténuantes, alors que d’autres, exaspérés par un laxisme institutionnel, se font justice eux-mêmes. La violence des crimes engendre une violence interne, cette fois entre les témoins, indépendamment des protagonistes des agressions. Brive un crime qui diffère de ceux des deux jeunes filles : Lola et celle de Roanne âgée de 6 ans. Ces deux dernières ont été victimes de personnes étrangères en situation irrégulière.

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Roanne

Roanne : que risque le père d’une fillette victime d’agression sexuelle pour s’être fait justice lui-même ?

« L’État de droit, c’est de laisser la justice faire son travail, en France, on ne se fait pas justice soi-même », a rappelé le procureur.

Le père d’une petite fille victime d’agression sexuelle à Roanne s’est fait justice lui-même en rouant de coup le suspect. Une enquête a été ouverte pour « violences aggravées en réunion et avec usage d’une arme ». Dans la nuit de jeudi 20 octobre à vendredi 21 octobre, un jeune mineur isolé de 16 ans s’est introduit par effraction dans un pavillon situé à Roanne dans la Loire. Ce jeudi 27 octobre, il a été placé en garde à vue.

Attouchements sexuels

Le jeune homme aurait été retrouvé dans la chambre de la petite fille âgée de 6 ans par la mère de famille. Cette dernière était seule à la maison, son compagnon travaillant de nuit. Il se serait adonné à des attouchements sexuels sur la fillette.

La mère aurait alors hurlé et aurait fait fuir l’intrus. Le lendemain, le vendredi 21 octobre, les parents portent plainte.

Lorsque le père de famille raconte ce qui s’est passé à des amis et des voisins, l’un d’entre eux lui signale qu’il a aperçu un individu qui rôdait depuis plusieurs jours dans le quartier. La bande composée de quatre hommes adultes part à sa recherche. Le jeune homme est alors retrouvé et maintenu. Une photo est envoyée à la mère de famille pour qu’elle confirme qu’il s’agit bien de la personne qui s’est introduite dans la chambre de la fillette.

Une fois la confirmation faite, le jeune mineur isolé va être roué de coups par les hommes venus en découdre. Il va être frappé à coups de barre de fer et même de câbles électriques.

Que risque le père ?

Mais que risque le père pour s’être fait justice lui-même ? Selon l’article 222-11 du Code pénal, « les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours sont punies de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende ».

En cas de circonstances aggravantes listées à l’article L222-12 du Code pénal (violence commise en groupe, la préméditation, l’usage d’une arme), la peine sera portée jusqu’à 7 ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende. Le père de famille a passé à tabac le principal suspect à l’aide de plusieurs amis et voisins. D’après le procureur, le suspect a notamment « été fouetté avec un câble électrique au sol ».

« L’État de droit, c’est de laisser la justice faire son travail, en France, on ne se fait pas justice soi-même », rappelle le procureur.

« L’infraction la plus grave concerne la petite fille de 6 ans, c’est la priorité. Mais je n’accepte pas qu’on se fasse justice soi-même, que cela devienne une vengeance personnelle », a insisté Abdelkrim Grini, qui a ouvert une enquête contre le père pour « violences aggravées en réunion et avec usage d’une arme ».

Originaire de Guinée, ce dernier est arrivé à Roanne il y a quinze jours et a été placé dans une structure pour mineurs isolés, située à proximité du domicile de la famille. « Son parcours est en train d’être investigué », indique le procureur de la République de Roanne. Le jeune homme, à qui il est reproché des faits d’agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans, se serait adonné à des attouchements sexuels sur la fillette âgée de 6 ans.

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BRIVE

Disparition à Brive : le suspect avoue avoir violé et tué Justine Vayrac.

Justine Vayrac, 20 ans avait disparu depuis le dimanche 23 octobre. L’homme placé en garde à vue a avoué l’homicide et indiqué un secteur proche de son domicile pour la recherche du corps. Le suspect placé en garde à vue dans l’affaire de la disparition de Justine Vayrac ce week-end à Brive a avoué avoir tué la jeune femme de 20 ans, a appris l’AFP jeudi 27 octobre de sources judiciaire et proche du dossier.

Des traces de sang avaient été retrouvées dans la chambre et la voiture de ce jeune homme, qui doit être présenté jeudi à un juge d’instruction à Limoges en vue de sa mise en examen, avait indiqué mercredi à la presse la procureure de Brive, Emilie Abrantes. Le suspect a avoué l’homicide et indiqué un secteur proche de son domicile pour la recherche du corps à la fin de sa garde à vue, a précisé une source proche du dossier. Il a également avoué avoir violé Justine Vayrac.

Le procureur de Limoges tiendra un point-presse jeudi à 18h30.

La jeune femme, mère d’un enfant de deux ans et demi, n’a plus été vue depuis dimanche 23 octobre, vers 4h, près d’une boîte de nuit de Brive, «La Charrette», où elle passait la soirée avec des amis. Le suspect, qui est une «connaissance amicale» de Justine Vayrac, selon Émilie Abrantes, serait la dernière personne avec qui elle a été aperçue avant sa disparition.

Le suspect est un jeune agriculteur de 21 ans, originaire d’un petit village de Corrèze. Diplômé l’an dernier d’un lycée agricole, il a hérité de la ferme familiale. Agriculteur depuis peu, il exerce également la profession de menuisier. Il est membre du club de football de ce bourg rural d’environ 1300 habitants, et s’est même rendu dimanche au match disputé par son équipe, quelques heures après la disparition de Justine Vayrac, a indiqué un membre du club qui a requis l’anonymat.

À Beynat, les forces de l’ordre poursuivaient activement leurs recherches jeudi matin pour tenter de retrouver la jeune femme, a constaté un correspondant de l’AFP.

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PARIS 19e

Meurtre de Lola : Dahbia B., la meurtrière présumée, visée par une main courante en 2019

La meurtrière présumée de Lola, actuellement en détention, a agressé le personnel d’un cabinet médical à Paris en 2019.

 

De nouveaux éléments affluent sur le passé judiciaire de Dahbia B., la meurtrière présumée de Lola. Le 31 juillet 2019, elle avait agressé deux secrétaires d’un cabinet médical à Paris.

Cette femme d’origine algérienne, actuellement en détention, a été mise en examen pour le meurtre et le viol de Lola. Les circonstances tragiques de la mort de l’enfant, violentée, asphyxiée et retrouvée le 14 octobre dans une malle dans la cour de son immeuble, ont suscité une vive émotion dans le pays.

JForum.fr  & AFP

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Filouthai

Dans ces trois cas de figure, une constante : les Pouvoirs publics macronistes ne font pas leur travail et ne protègent pas les français.
Avec une particularité : quand il s’est agi d’un assassin blanc, la Police a su enquêter et arrêter le meurtrier. Quand il s’agissait de tueurs étrangers, ce sont les habitants, les voisins qui ont enquêté (a la place de la Police ?) et arrêté les tueurs.

Dans un des cas, le père de la petite fille violé s’est fait justice en tabassant le violeur et c’est lui qui est présenté, par les médias et les instances macronistes, comme un monstre et le violeur est pratiquement présenté comme une victime -la petite fille violée étant, elle, tout simplement oubliée. Pour ma part, je pense que les détraqués qui osent s’attaquer à des enfants innocents n’ont simplement pas le droit de vivre. A l’évidence, les huiles macronistes pensent le contraire, sans doute encouragées par une longue pratique pedophile.