François Hollande ne briguerait un second mandat à l’Elysée que s’il juge possible de gagner, selon les extraits d’un recueil d’entretiens publiés jeudi dans Le Point, à huit mois de l’élection présidentielle.
Dans « Conversations privées avec le président », qui retranscrit une série d’entretiens accordés entre février 2012 et mai 2016, le chef de l’Etat français, crédité de 15% d’opinions favorables dans un récent sondage, n’exclut pas ainsi de renoncer à se représenter.
« Je ne ferais pas de choix de candidature si, d’évidence, elle ne pouvait pas se traduire par une possibilité de victoire », souligne le chef de l’Etat, qui a récemment répété qu’il annoncerait sa décision en décembre.
Quel que soit son choix, François Hollande estime déjà que son quinquennat laissera une marque dans l’histoire.
« Ce qui est terrible c’est de faire un mandat présidentiel dont il ne reste rien », dit-il. « Se dire : j’étais là, j’ai occupé la fonction. Mais qu’est-ce que l’Histoire retiendra ? ».
« Moi j’ai réglé cette question : le Mali, la réponse aux attentats de janvier, le mariage pour tous, la loi Macron (…) Une fois qu’on a réglé cette question, on peut tout faire pour poursuivre mais en même temps ce n’est pas un drame si tout s’arrête ».
A l’occasion de son traditionnel discours du 14-Juillet, François Hollande avait ouvert la voie à une nouvelle candidature en 2017, en défendant son mandat et en assurant avoir fait les bons choix économiques.
Début août, il a confié à des journalistes dans l’avion qui les ramenait de Rio de Janeiro que s’il renonçait à se présenter ou s’il était battu, il envisageait une « retraite, un retrait ».
Contesté par une partie des socialistes, il a dû se résoudre à accepter l’organisation d’une primaire à gauche prévue en janvier et pour laquelle plusieurs élus et anciens ministres ont l’intention de se présenter.
Benoît Hamon, qui a annoncé mardi sa candidature, et Arnaud Montebourg, qui devrait faire de même dimanche, insistent tous les deux sur la nécessité d’offrir une alternative à François Hollande.
Il ne peut rien rester de positif car il n y a rien eu de positif
Le probleme de ce president est le discernement celui qui ne s apprend pas a l ena
Et peut etre celui de l habillage des chiffres celui la doit s apprendre dans la super ecole de
L administration comment cumuler et rester su pouvoir
Alors oui il ne restera que du negatif
Impots onu chomage immigration negationisme et oublie des attentats anti juifs position du quai d orsay unesco
Oui ont se souviendra de vous mr le president
Mais avec discernement ce moment aura ete plus nul que nul plus bas que tout pour l honneur de la France partez !