« Macron ? Il vend son âme au diable » : en Israël, ces Français juifs qui ne comprennent plus la France
Alors que Paris hausse le ton contre l’offensive israélienne à Gaza, et cherche à sauver le Hamas, une partie de la communauté française de l’État hébreu se sent trahie. Voter à l’extrême droite n’est plus un tabou.
Les alarmes antimissiles se sont mises à hurler à 4 heures du matin. Nathalie se réveille. Le système de défense de l’État hébreu intercepte, dans le ciel, les missiles tirés par les Houthis, au Yémen. Deux semaines plus tôt, un des projectiles a explosé près du terminal de l’aéroport Ben Gourion, blessant huit civils. Nathalie n’arrive pas à se rendormir. Quelques cernes soulignent son regard, ce vendredi 23 mai, sur une terrasse de Herzliya, au nord de Tel-Aviv (Israël).
Un étrange sentiment se propage, ces jours-ci, dans la grande communauté française d’Israël, forte d’environ 100 000 ressortissants. Depuis Paris, Emmanuel Macron fustige la guerre que mène l’État hébreu dans la bande de Gaza. Le désastre humanitaire en cours est une « honte », cogne-t-il, se liguant avec le Premier ministre britannique, Keir Starmer, et le Canadien Mark Carney pour menacer Israël de « mesures concrètes » en guise de rétorsion.
Le 7 février 2024, le président français avait organisé une grande cérémonie aux Invalides en hommage aux victimes du 7 Octobre. Nathalie y était. Macron avait dénoncé le « plus grand massacre antisémite de notre siècle » et appelé à « ne rien céder à un antisémitisme rampant, désinhibé ». Un décalage, depuis, s’est créé.
« On n’est pas bon pour expliquer ce que nous vivons »
Ce sont les alertes aériennes, les 58 otages toujours détenus là-bas, et Mahaiane, 14 ans, qui souffle à sa mère qu’elle redoute de mourir dans un attentat. « On n’est pas bon pour expliquer à la France ce que nous vivons tous les jours », se persuade Nathalie.
Son fils aîné, Eythan, a 20 ans. Au gré des combats, l‘armée le mobilise à Gaza, en Syrie, au Liban, dans la prestigieuse brigade Golani. Ses retours à la maison, toutes les six semaines, sont mutiques et épuisés. Eythan ne reste jamais plus de 20 minutes à table. Une fois, il a murmuré à sa mère qu’il avait pris 30 ans d’un coup. Nathalie le répète avec un œil triste et fier. Elle-même fait des crises de tachycardie.
« Emmanuel Macron ? Il vend son âme au diable », s’agace Paul, attablé dans un café de Netanya, un peu plus au nord. Ce retraité de 66 ans a quitté Maisons-Alfort, en région parisienne, pour l’État hébreu il y a cinq ans. Le long d’une place qu’on appelle le kikar, les pancartes « À Louer », les enseignes en français et les accents du sud, près des glaciers, rappellent la popularité de ces stations balnéaires auprès des Franco-Israéliens.
La France vue comme un « califat »
La même incompréhension plane de table en table, en écho aux tensions de plus en plus vives entre les deux capitales. Emmanuel Macron a récemment serré la main du nouveau dirigeant syrien, l’ancien djihadiste Ahmed al-Charaa. En juin, il se préparerait à reconnaître l’État de Palestine. Paul pose son pastis sur la table. « Cela signifie qu’on récompense une attaque terroriste ! »
Meyer, 78 ans, a voté deux fois pour Emmanuel Macron. « J’aurais dû manger mon bulletin », grince cet ancien ophtalmo de Créteil. Son beau-frère, Pascal, dénonce aussi l’emprise des « islamistes » et des Frères musulmans. La France, l’Espagne et le Royaume-Uni seraient devenus des « califats ».
La prochaine fois, les deux hommes glisseront un bulletin pour Marine Le Pen ou Jordan Bardella, du Rassemblement national, qui a récemment fait une visite très remarquée. Nathalie, d’origine juive polonaise, ne s’y résout pas. Elle aimerait juste avoir la certitude que son pays natal comprend ses enfants.
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Le concept de » français Juif » est invalide. Il n’existe pas dans la Réalité. Juif c’est déjà une nationalité, judéenne, et comme nous avons des millénaires d’histoire, donc de mémoire et donc d’identité, en tant que Nation Juive avant les » émancipations » de l’Europe du 19ième siècle, nous ne pouvons n’être que Juifs avant d’être français. On dit bien Juif américain, Juif anglais, Juif allemand, Juif russe, juif hispano-portugais, mais je n’ai jamais entendu dire américain Juif, ni anglais Juif, ni allemand Juif, ni russe Juif, ni espagnol Juif, etc..Nous sommes des Diasporiques, et en Israël les Juifs de France qui votent en France, méprisent l’État Juif. Combien d’Israéliens votent pour les États-Unis, l’Angleterre, l’Allemagne, la Russie, l’Espagne, etc…? Conclusion, les Juifs de France vivant en Israël, ont été bien détruits dans leur identité Juive. Ils ne sont toujours pas rentrés à la maison, dans leur tête, et ne sont toujours pas libérés de la haine de soi juive. Les français en profitent. Rien n’interdit à ces israéliens d’origine française de revenir vivre dans le califat de francaouie. En cas de guerre, ils serviront l’armée française plutôt que Tsahal.
Le poudré l’a vendu depuis longtemps, avant même son élection
Ce sont les castors mougeons français qui lui ont vendu leur âme (s’ils en ont une).
Tout le monde sait qui a réintroduit l’antisémitisme officiel en France, sous prétexte de « politique arabe ». Mais depuis la célèbre conf-2-presse de 2gol, en 1967, cet antisémitisme ronronnait.
Ca aurait continué, si CHIRAC n’avait pas été rappelé aux engagements européens, au profit des déchets nazislamistes : « le protocole de Barcelone 1975 ».
Hélas, quand prenant alibi de la sinistre « fiction crapuleuse de l’étron de chien » le 30 septembre 2000, il l’autorisa tacitement, les déjections propagandistes se déchainèrent.
A l’époque, à quelques exceptions près, les dirigeants et divers représentants des Juifs vivant en France, furent pour les 3/4, d’une extrême lâcheté. Ils nièrent la réalité et la dangerosité de l’explosion de propagande antijuive. Le quart restant, c’était des déjections de gauche. Antijuives de fait, par idéologie perverse. L’équivalent en France, des déchets qui braillent bd Kaplan à Tel-aviv. Parmi ces traitres, la plus infecte déjection fut incontestablement Eli BARNAVI, représentant en France, la quintessence de tous les traitres israéliens, qui nuisaient alors, aux sommets de l’état. Désormais ces pourritures sont subventionnées par toutes les vermines au pouvoir en Europe. La macronette en fait partie, avec vonder la hyène.
Maintenant, la vermine au pouvoir livre aux déchets, la grosse poignée de Juifs qui croupissent encore en francekipu.
Un jour qui n’est plus lointain, tous ces prétendus juifs qui, avec les déchets vomissent leur bile sur Israël, connaitront enfin, le sort des Juifs qui refusent Israël.
Avant de crever, ils sauront que les déchets qui les assassinent, ne sont pas des humains. Nous nous en réjouirons.
Pourtant, malgré les lâchers de déchets dans les rues françaises, malgré la totalité de la presse et de l’audiovisuel, antijuifs depuis l’automne 2000, (à l’exception des média du groupe BOLLORE) on peut affirmer qu’au moins la moitié des Français est plutôt favorable à Israël. Car ceux là, malgré la propagande, constatent par eux mêmes les dégâts causés par les déchets, massivement importés, surnommés « migrants ». En France, mais aussi un peu partout en Europe occidentale, les gens en ont plus qu’assez de l’invasion par des nazislamistes et des nègres retournés à l’état sauvage. Juifs ou non, ceux qui qualifient ces gens lucides de « populistes », ou « d’extrême droite », ceux là sont des ennemis. Détruire nos ennemis est un devoir.
La macronette s’excite comme un pou, voulant continuer la guerre contre la Russie, jusqu’au dernier Ukrainien d’abord, puis des restes de tordus peuplant l’UE. Ce fou dangereux, diagnostiqué fou avant même sa 1ère élection, ne peut plus être stoppé par les voies légales. Trop de parasites profitent de sa folie. Ce serait une bénédiction, si Vladimir POUTINE trop agacé par cette petite saleté prétentieuse, ordonnait à ses services de faire le nécessaire pour en débarrasser la terre entière.
Une analyse intéressante, mais au départ les Juifs d’Algérie, inconscients d’avoir été écrasés par l’impérialisme colonial des français durant un siècle, et donc abrutis, notamment par les guerres, et facilement manipulables, ont choisi de vivre en France en 1962, seulement 17 ans après l’antécédent vichyste, qui ne fut pas une parenthèse de l’histoire de ce pays. Peu importe qu’ils aient été abrutis par les guerres, ou inconscients de l’impérialisme colonial, ils doivent assumer la responsabilité des choix et actions de leurs parents en 1962.
Pour quitter la France, il aurait d’abord fallu qu’ils reconnaissent leur bévue de 1962, et alors ils seraient repartis vers des contrées plus saines. Il semble que ce soit une caractéristique des Juifs d’attendre un niveau intolérable d’antisémitisme pour quitter un pays, attendre d’être contraints et forcés par les circonstances, au lieu de partir dès les signes avant coureurs. Les Juifs d’Allemagne n’ont vraiment commencé à partir qu’après l’arrivée d’hitler au pouvoir en 1933 et les pogroms qui ont suivi. La majorité des Juifs d’Algérie ne sont partis d’Algérie qu’en 1962, quand la situation de guerre devenait intolérable. Les Juifs de France ne partiront que contraints et forcés par la violence, voire même un décret d’expulsion ou équivalent, comme pour l’Espagne de 1492.
EN FRANCE MACRON CE ? N EST PAS TROP AIME ? MEME PAS 20 % IL EST LE COPAIN DES ARABES ? DES MUSULMANS ? DES ISLAMISTES TERRORISTES
Macron a été un Mensch le 7 octobre 2023. Depuis le 8 octobre, il est responsable de la politique antiisraelienne de la France. Mais le pire est qu’ il a été incapable de museler les antisémites, de lutter contre l’ incitation à la haine d’ Israel et des juifs , voire même a attisé cette haine. Ce type ne réfléchit qu’ avec son portefeuille et ses intérêts politiques.
Vous avez oublié son nombril et sans vouloir être disgracieux son Trou d c….
cordialement
Richard
Nathalie Meyer Paul Eytan, nous vous comprenons et soutenons comme possible. La « clique » de Paris n est pas tous les Français, Dieu merci ! l Eternel aime vous voir en Eretz c’est là que la bénédiction sera. Je vous souhaite à chacun un miraculeux Shalom !