Le projet de remplacer définitivement les travailleurs palestiniens dans l’économie israélienne
Afin de rompre avec la dépendance à l’égard des Palestiniens, le plan comprendra « l’appel » de travailleurs du monde entier au cours de l’année 2024 et, en outre, il incitera les Israéliens à s’engager dans les secteurs de l’agriculture et de la construction. Des évolutions technologiques sont décrites, qui pourraient entraîner le licenciement d’une partie des travailleurs.
Un plan a été préparé au Centre de contrôle civil dans le but de remplacer les travailleurs de Judée et Samarie par des travailleurs étrangers au cours de l’année 2024. Sa mise en œuvre devrait être permanente et pas seulement pour la période de guerre afin de réduire la dépendance d’Israël à l’égard des travailleurs palestiniens, et sera présenté au Cabinet économique dans environ deux semaines.
Le plan comprend « l’appel » de travailleurs des pays suivants : 25 500 travailleurs devraient arriver du Sri Lanka, 20 000 travailleurs de Chine, 17 000 travailleurs d’Inde, 13 000 travailleurs de Thaïlande et 6 000 travailleurs de Moldavie.
Pour le mettre en œuvre, des accords avec les pays sont nécessaires, dont certains n’ont pas encore été signés et sont encore en travail diplomatique. Le plan a été élaboré en coopération avec les ministères des Finances, de l’Intérieur et du Travail.
Le plan a été présenté et approuvé par le ministre des Finances Bezalel Smotrich. Plus tard, une demande d’approbation pour augmenter les quotas de travailleurs étrangers est attendue. En outre, le plan prévoit une incitation économique pour les Israéliens à travailler dans le bâtiment et l’agriculture, ce qui a déjà commencé et devrait augmenter à l’avenir. En outre, les développements technologiques y sont décrits, ce qui pourrait entraîner le licenciement de certains travailleurs dans les secteurs concernés.
JForum.fr avec www.kountrass.com
 |
 |
Le problème est le même dans les pays occidentaux : trop de diplômés et pas assez de « manuels » pour faire un travail jugé dégradant.
Dans le contexte actuel, il est impossible de faire confiance aux travailleurs « palestiniens » même si les retombées économiques sont catastrophiques pour eux.
Le monde est vaste, il faut chercher de la main-d’oeuvre qualifiée ou non, dans des pays africains, en Amérique du Sud, et surtout en Asie.
Il faudra bien les surveiller pour éviter tous troubles de la tranquillité publique, et surtout, les rémunérer au juste prix, comme des travailleurs Israéliens….
Donc très peu d’israéliens pour travailler dans ces secteurs pourtant essentiels .
Le travail manuel pourtant hautement respectable et indispensable n’attire pas les juifs ?
Pénibilité du travail ?
Rémunérations insuffisantes ?
Quelle que soit les causes , le constat est déprimant .