Attentats de janvier 2015 : François Hollande estime que les terroristes ont « perdu »
Juste avant que ne s’ouvre le procès des attentats contre notamment Charlie Hebdo, l’ancien président a salué la réaction « admirable » du peuple français
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Alors que va s’ouvrir mercredi le procès des attentats djihadistes de janvier 2015, François Hollande est revenu sur cet épisode douloureux d’une période où il dirigeait la France. L’ancien président de la République a estimé dimanche que les terroristes avaient « perdu » dans leur volonté de « diviser les Français ».
« Peur que la société se disloque »
« J’ai eu peur que la société elle-même se disloque, parce que c’était là l’intention des terroristes : diviser les Français, stigmatiser les musulmans, faire en sorte que nous ayons l’esprit de haine qui finalement est celui qui les anime », a confié l’ex-chef de l’Etat socialiste sur France 2. Heureusement, selon lui, les terroristes « ont perdu parce que la réaction du peuple français (…) ça a été admirable », rappelant la manifestation du 11 janvier 2015 qui avait rassemblé plus de 4 millions de personnes.
François Hollande s’est ainsi montré optimiste quant à la capacité du pays à sortir grandi lorsqu’il fait face à l’horreur. « La France, c’est ça que les Français ont compris, c’est le pays de la liberté et dans cette manifestation du 11 janvier il y avait à la fois la liberté d’expression, celle de Charlie, il y avait aussi la police qui était saluée, applaudie (…) et aussi il y avait la stigmatisation de la haine, celle de l’antisémitisme ».
« Une violence dans la société »
L’ancien président a également saisi l’occasion pour expliquer l’actuelle montée des violences à l’encontre des policiers par « une utilisation des forces de l’ordre qui n’a pas été forcément à la hauteur de ce qui était souhaité, y compris dans les manifestations », notamment celles des « gilets jaunes ». « Il y a aussi une violence dans la société », a-t-il ajouté, soulignant que « nous sommes dans une période de grande insécurité et nous avons besoin de la police et de la gendarmerie ».
Interrogé sur l’emploi du terme « ensauvagement » par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, l’ancien chef de l’Etat a estimé que « ce n’est pas en prononçant des mots qui sont souvent fracassants qu’on règle le problème, c’est en mettant plus de policiers, en faisant en sorte que la justice intervienne plus rapidement, plus fermement dans certaines circonstances, et que l’on puisse lutter contre tous les trafics ».
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Il faudra peut-être que quelqu’un dise à « Flanby » que c’est lui qui a perdu les dernières élections qui ont permis au minable Micron de se faire élire.
Les dirigeants français ont toujours beaucoup de retard à l’allumage….
Le porc de la Corrèze, c’est vraiment le roi des c.ns !
On n’est pas à une partie de football où le PSG a perdu.
Le terrorisme perdure .. et tant qu’on aura pas assaini les zones de non-droit en France, il pourra se développer rapidement.