A. a servi dans une unité qui exploitait le système fusée d’interception Dôme de Fer lors de l’opération Bordure Protectrice l’été dernier. Tout au long des 50 jours de l’opération, A. (dont le nom complet est connu de Haaretz) était sous pression intense.

« C’est difficile à expliquer à quelqu’un qui n’était pas là, » confie-t-il. « Il y avait des semaines de stress extrême. J’ai à peine dormi pendant toute la guerre. Vous devez prendre des décisions qui sont fatidique pour la vie des gens en un temps record. Le rythme est vertigineux, impossible à décrire. 24 heures par jour, vous avez le pouvoir de vie ou de mort. Vous êtes toujours en état d’alerte. Les choses évoluent à chaque minute. Les gens dans notre unité sont complètement flippés en permanence, mais personne n’en parle, parce que cela nuirait à la résilience nationale.  »

Déjà au bout de quelques semaines, A. ne pouvait plus faire face au stress, mais il a continué à travailler: « Vers la fin de l’opération, je me suis écroulé. Je ne pouvais pas dormir à cause des cauchemars. J’ai eu des frissons et des attaques de panique pour la première fois dans ma vie « .

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Quels étaient les symptômes des attaques de panique?
A .: «Une pression énorme dans ma poitrine, comme si quelqu’un était assis sur moi; un pouls rapide … Je sentais que je ne pouvais plus respirer. L’attaque pouvait durer quelques minutes jusqu’à ce que je me couche sur le dos, puis ça passait.  »
Comment vous sentez-vous maintenant [fin Novembre »>Article original?
«J’ai encore des cauchemars. Les attaques de panique se sont un peu calmées, mais je ne peux toujours pas supporter de voir des images de l’opération dans les médias. Cela m’y ramène tout de suite « .

Kippat Barzel, une Maison de fous en mode opératoire

Le Dôme de fer a été l’un des maîtres mots de l’opération Bordure Protectrice. Le système anti-missile à l’origine de courte portée, développé et fabriqué en Israël, est entré en service en 2011. Ses 9 batteries opérationnelles ont été déployées à travers le pays, avec des unités de centaines de soldats, hommes et femmes. Pendant les combats, Le Dôle de Fer lançait un missile défensif seulement quand les calculs prouvaient que la roquette allait frapper une zone peuplée. Le système a intercepté 735 des 4600 roquettes et obus de mortiers qui ont été tirés depuis la bande de Gaza sur Israël.

Le système est considéré comme un modèle de réussite technologique et de sécurité. En tant que tel, il était une des principales raisons qui a permis la stabilité de la vie civile locale. L’invention sophistiquée a également acquis une réputation internationale avec les images d’interceptions réussies diffusées dans les journaux télévisés à travers le monde lors de l’opération.
Mais trois mois plus tard, les témoignages de soldats qui ont servi dans les unités opérationnelles de ces batteries anti-missiles témoignent du revers de la médaille de cette éclatante réussite.

«Je n’ai toujours pas récupéré», explique Y., un réserviste du centre du pays qui a travaillé comme au lancement des anti-missiles, en utilisant un langage remarquablement similaire à celui utilisé par A. « C’était comme une maison de fous opérationnelle. Les gens à la maison ne comprennent pas la pression auxquels sont confrontés les soldats qui travaillent avec ces batteries. C’était deux mois consécutifs en état d’alerte permanent. Vous travaillez 24/24h à un rythme vertigineux dans des conditions de pression constante sur le terrain, avec une tonne de responsabilité sur vos épaules. C’était dingue, ce qui s’y passait. Il y a le travail des lanceurs dans le domaine et il y a le centre de contrôle de la batterie … qui n’étaient pas toujours connectés et en phase…
« Vous avez quelques secondes pour prendre des décisions qui vont décider de lac vie et la mort des individus non stop. J’ai perdu sept kilos – Je ne mangeais plus. Vous êtes constamment obligé de vivre avec la peur que quelque chose pourrait mal se passer et que des gens vont mourir à cause de vous. J’ai à peine dormi pendant deux mois. J’ai eu une sorte de dépression. Un soldat dans mon unité a développé des tremblement des mains constants et des tics de l’œil en raison de la pression « .

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Yuval, officier de réserve qui a servi sur deux batteries lors de l’opération, dans le sud et dans la partie centrale du pays, ajoute: « Les soldats des unités du Dôme de Fer n’ont pas obtenu le crédit qu’ils méritent dans cette guerre. Ils ont payé un prix psychologique grave, et nous ne devons pas simplement hausser les épaules et dire c’est pas grave ça va passer. J’étais à l’étranger quand la guerre a commencé; Je suis revenu et immédiatement rejoindre mon unité. Pendant l’opération, j’ai souffert de maux de tête terribles, qui ne se sont arrêtés que bien après la fin du conflit. Même si nous sommes censés être formés pour ce travail, et même si les moyens existent pour protéger les oreilles, il y a des bruits de fond qui restent en moi, même après la fin de la guere. Il y a eu ensuite une énorme baisse de la tension ».

Mais le plus gros du travail, comme celui des calculs balistiques, est réalisé par ordinateur?
Yuval: « Ce qui s’est passé l’été dernier est quelque chose que nous n’avions jamais connu à ce rythme et avec cette intensité. Une partie importante du travail se fait par un système automatisé par ordinateur, mais des dizaines de personnes sont affectées au bon fonctionnement du système toute la journée, tous les jours. Le radar est également utilisé par des soldats qui doivent constamment se déplacer. C’était 50 jours presque sans pause. Et il y avait également d’autres unités qui ont travaillé très intensivement – celles qui dirigent les avions sans pilote, par exemple. Ce n’était pas seulement nous. C’est l’ensemble du système aérien et maritime de défense dans le sud « .

Le Dr Hadar Shalev, directeur du centre post traumatique de la clinique neuropsychiatrique du Centre médical de Soroka à Beer Sheva, a ausculté des centaines de soldats qui ont été amenés à l’hôpital au cours des combats. Il a également conçu un programme de coopération entre les hôpitaux du pays et les unités de santé mentale des Forces de défense israéliennes.
« Selon la dernière édition du Manuel américain de diagnostic et de statistique des troubles mentaux, les troubles de stress post-traumatiques, peuvent apparaître, même si une personne est [seulement »>Article original le témoin direct d’une possible une attaque et même si elle ne fait pas directement l’expérience d’un danger existentiel « , explique le docteur Shalev. « J’estime que des dizaines de soldats, dont des non-combattants, sont arrivés à Soroka avec des symptômes physiologiques – tremblements, maux de tête, douleurs à l’estomac et autres phénomènes – dont la source a été diagnostiquée comme étant de nature émotionnelle.

« Les soldats de Dôme de Fer, » affirme Shalev, « ont une grande responsabilité de la vie des autres, et ils savent qu’ils sont une cible prioritaire [pour l’ennemi »>Article original. Ajouter à cela l’insomnie, ainsi que le fait que certains d’entre eux ont estimé qu’ils n’ont pas reçu de formation préalable suffisante. Les batteries sont également déployées dans des zones très isolées, de sorte que les soldats ont reçu moins de chaleur et de soutien des civils qui couvraient les soldats de l’infanterie avec de témoignages de solidarité et de cadeaux.  »

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«Les études montrent que les unités de soutien des combattants et des soldats de deuxième échelon sont plus sensibles à des réactions post-traumatiques que les troupes de combattants typiques», explique le Dr Asaf Caspi, chef de la clinique psychiatrique au Centre Medical Sheba de Tel Hashomer. « C’est en partie lié à des données personnelles, telles que la force mentale, un facteur qui influence la réaction post-traumatique. Une étude réalisée en Israël a constaté que des personnes très motivées à servir sous les drapeaux sont moins susceptibles de développer le Syndrome post traumatique.

« En ce qui concerne le Dôme de Fer », poursuit-il, « nous n’avons pas encore assez de recul du fait que ce système est relativement nouveau. Mais le fait est que les soldats sont exposés à un stress élevé pendant de longues périodes. Nous connaissons ce phénomène qui a aussi frappé les guetteurs dans les opérations précédentes. Probablement le battage médiatique autour du Dôme de Fer a eu une influence sur la pression. Il est également probable que cette longue période de combat aura un impact à long terme.  »

Comment s’en remettre ?
Les plaintes concernant les effets néfastes qu’il y a à travailler avec le système Dôme de Fer ne sont pas nouveaux. Dès 2011, il a été signalé qu’un soldat d’une unité spécialisée dans la batterie nouvellement opérationnelle exigeait une compensation du ministère de la Défense, au motif que son service lui avait causé une dépression grave et affecté sa santé mentale. Le ministère a rejeté sa demande. Dans sa plainte, le soldat avait déclaré que même alors qu’il n’était qu’en formation comme un intercepteur, il avait été soumis à une forte pression.

« Le travail implique une grande responsabilité, parce que si vous ratez votre cible une roquette est susceptible de provoquer une catastrophe. J’avais peur d’échouer dans mes fonctions, qui impliquaient des questions sensibles pour la sécurité de l’Etat « , a écrit le soldat. Son commandant a déclaré que la formation du soldat impliquait inévitablement de longues heures de travail sous une pression implacable.

« Au cours de la formation que j’ai eu une crise qui a eu un impact émotionnel puissant sur moi, » a également avoué le soldat. « Je me suis retiré dans une coquille, je me suis déconnecté des autres autour de moi, tout me stressait. »
Il a demandé son transfert à un contrôleur de la santé mentale au sein de l’armée qui a été rejetée. Après la formation, il a été affecté à une batterie qui a été déployée dans différents endroits dans le sud du pays selon les besoins sur le terrain. Il a perdu du poids et s’est plaint à ses officiers supérieurs, mais ils n’ont rien fait, dit-il. Après quelques mois, il a commencé à souffrir d’insomnie. Finalement il s’est effondré physiquement et mentalement en présence de ses camarades. Dans la clinique, il a expliqué qu’il entendait des voix et qu’il était sûr qu’ils parlaient de lui, et il était incapable de dormir.

Selon le père du soldat, qui s’est confié à Haaretz cet automne, « Quand il a demandé une mutation, on lui a dit « ça va passer. » Quant il a rendu visite à son fils à l’hôpital après qu’il ait craqué, il l’a trouvé « usé , flou, incohérent, sans continuité de pensée, avec des pertes de mémoire. « A l’heure actuelle, » il est en cours de traitement et il va mieux.  »

Pourquoi avez-vous décidé de poursuivre le ministère de la Défense pour la reconnaissance du handicap de votre fils?
«Ils nient toute connexion » déplore le père du soldat. « Leur politique est de rejeter les demandes d’indemnisation en première instance et de ne reconnaître que ceux qui font appel. La compensation ce n’est pas le plus important, c’est une question de principe. Et tout le monde ne peut pas assumer les coûts d’un procès, qui nécessite de faire appel à des experts et c’est très cher. Donc, l’armée et la défense en profitent. Ce n’est pas juste.  »

Le ministère de la Défense a déclaré en réponse à une question de Haaretz: « La demande du soldat de bénéficier du statut d’ « ancien combattant invalide », a été rejetée en raison de l’absence de handicap. D’après une expertise médicale il a été signifié qu’il fonctionnait normalement sans manifestations de trouble mental actif. Un appel est actuellement en cours.  »

Amir (nom d’emprunt), a servi dans une unité du Dôme de Fer de 2011 à 2013, et se souvient aussi des conditions difficiles auxquelles il a été soumis : «C’était encore nouveau, mais en période de tension, il est déployé instantanément, ils ne veulent pas attendre il est important que le lanceur soit prêt à être opérationnel. Je me souviens qu’en Mars 2012, il y avait eu une escalade et nous avons dû le déployer en deux heures Nous avons installé le lanceur mais nous n’avions même pas une tente. Je dormais dans un sac de couchage sur le sol et j’ai été trempé par la pluie.  »

« Il y a aussi une sérieuse pénurie de personnel », affirme Amir. « Vous êtes opérationnel trois heures, puis vous avez deux heures de repos puis vous retournez au travail à nouveau. Vous ne pouvez pas dormir plus de deux ou trois heures [à la fois »>Article original. Vous n’avez pas le choix, parce que vous ne voulez pas pénaliser un camarade et l’obliger à rester en poste 5 heures d’affilées, dont vous assurez la relève. À la fin on ne s’énerve plus.  »

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« Les conditions ont commencé à s’améliorer mi-2012 quand du personnel est venu en renfort », admet Amir. Même s’il a été libéré avant l’opération Bordure Protectrice en raison de la pression mentale au combat, il explique que, «en principe, c’est le système qui décide d’intercepter ou de ne pas intercepter » la roquette. Si elle se dirige vers un espace dit ouvert, le système ne vous autorisera pas à intervenir. Vous êtes là pour mettre le système en œuvre, mais toute la pression ne repose pas sur vos épaules.  »

En réponse à une requête du ministère de la Défense pour savoir si des demandes d’indemnisation d’invalidité ont été déposées après l’opération de protection Edge de la part de soldats ayant servi dans l’unité affectée au Dôme de Fer et qui se plaignent de stress post-traumatique, un porte-parole a déclaré que ces revendications ne sont pas classées par unités de l’armée.
L’armée israélienne affirme que pendant et après la guerre, des efforts ont été faits pour diagnostiquer les soldats dont la santé mentale avait été affectée, et par la suite le corps médical a invité soldats à contacter les cliniques spécialisées dans la détection de la santé mentale. Cependant, il n’y a pas eu de convocation systématique des soldats de l’unité du Dôme de Fer pendant ou après l’opération.

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Selon une source des services de santé mentale, avant l’opération à Gaza, 80% des troupes ont reçu plusieurs heures de formation pour les aider à savoir repérer leurs camarades d’armes en détresse. « Je ne sais pas à quel point c’est efficace, mais c’est mieux que rien », note la source. Un porte-parole du système de santé mentale de l’armée israélienne a déclaré que dans le sillage de l’opération Bordure protectrice, quelques dizaines de combattants de la défense aérienne ont demandé une consultation avec les agents de santé mentale, mais qu’aucune augmentation significative des demandes n’a été enregistrée dans ce domaine.

L’Unité du Porte-parole de Tsahal a déclaré à Haaretz: «Le système de protection de la santé mentale a été largement déployé pour l’opération Bordure protectrice. Tout au long de l’opération, ses unités ont été déployées sur le terrain pour assister les soldats, et plus particulièrement pour les unités service spécial et significatif effectué par les combattants Iron Dome. Depuis la fin de l’opération, il a été suivi continu les soldats ont bénéficié d’un suivi médical de leur santé mentale avec une possibilité de prise en charge en cas de besoin.

« Aucune augmentation significative n’a été identifiée dans le nombre de demandes [d’aide »>Article original de la part des soldats affectés au Dôme de Fer. Dans le même temps, nous tenons à souligner que l’armée israélienne considère les soins de santé mentale comme étant d’une importance suprême et s’efforce d’identifier les soldats qui en ont besoin et de leur fournir un traitement optimal « .

[Tal Laor et Naomi Darom – Haaretz – Adaptation Kathie KriegelArticle original

NDLR – JForum a reçu le commentaire pertinent ci-dessous, que nous vous invitons à lire.

Bonjour,

Je viens de lire votre article « Les As du Dôme de Fer, les oubliés de Tzahal ».

Il se pourrait que le syndrome post-traumatique lié au Dôme de fer soit dû à une trop forte absorption de hautes fréquences et de basses fréquences.

Les symptômes « usé , flou, incohérent, sans continuité de pensée, avec des pertes de mémoire » sont les mêmes que ceux des EHS, electro-hypersensibles, maladie émergente méconnue et peu connue, qui se caractérisent par un manque d’oxygène au cerveau, qui de ce fait serait invalidé, piste à vérifier au moyen d’un encephaloscan et non d’un irm, et par un dysfonctionnement des récepteurs NMDA du cerveau, entre autres.
Certaines précautions doivent être prises, comme de faire du cockpit de pilotage informatique une cage de Faraday parfaite, et de protéger les cerveaux des soldats avec des braincoats et sous-vêtements tissés de fil d’argent couvrant jambes, buste et bras, qui bloquent une grand partie de ces micro-ondes, entre autres précautions.

Merci de faire suivre cet email à qui de droit et de vérifier si cette piste s’avère exacte ou pas. Il est possible que je me trompe, auquel cas, ignorez cet email. Ce sera une piste en moins à explorer afin de mieux protéger nos combattants à l’avenir.
Bien à vous,

Yves Sabba

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

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Huguenot17

Comme tout ce qui est nouveau en matière d’armement. Ce sont les précurseurs qui payent le plus lourd tribut, dans le jargon on appel ça « essuyer les plâtres ». Dans le contexte du conflit de cet été. Le Hamas a joué la saturation avec le nombre de roquettes lancées. Pour moi les résultats de ces soldat est simplement miraculeux. Au vu du petit nombre les lanceurs du Dome d’acier, et le manque évident d’effectif pour les faire fonctionner.

Le rythme des rotations de ses soldats, me rappel celles imposé dans les goulags en URSS, pour briser les prisonniers. Il n’est donc pas étonnant que le psychisme de ces soldats soit atteint.

Si le conflit avait duré 1 semaine de plus, a ce rythme, le nombre de soldat atteint aurait facilement été multiplié au moins par 10.

Je pense que Tsahal a prit maintenant la mesure. Encore quelques unité de lanceurs, et une forte augmentation des servants.

Mais comme aucun conflit ne ressemble, au précédant……

Enfin, toute ma compassion va à ces héros. Car ils ont tous donnés au delà de ce qu’ils croyaient possible. Et ils l’ont fait.

Ruth

La question est la suivante: pourquoi l’administration et les dirigeants israéliens s’autorisent-ils à mépriser ceux à qui ils doivent respect et reconnaissance? beaucoup de personnes travaillant d’arrache-pied découvrent avec stupeur que ce dévouement à une cause nationale autorise les supérieurs à tous les débordements de pensée sans aucune distance ni surtout respect et reconnaissance du travail fait, des résultats obtenus.
Israel ne doit pas considérer le dévouement de ces citoyens comme acquis jusqu’à le mépriser et le banaliser. Il est choquant d’obliger des soldats à aller se plaindre en justice jusqu’à faire appel pour obtenir cette reconnaissance et les moyens de pallier aux dommages subis: toutes les sommes dépensées pour les magistrats, avocats, expertises devraient immédiatement être affectés à des frais de soins pour ces derniers! c’est le minimum!

Davidex

Vous parlez d’or Muriel.

Aux as du dôme de fer : l’histoire ne vous oubliera pas. Au cœur du peuple Juif, vous êtes perçus comme des anges du bon D…

Damelincourt.muriel

Chapeau bas pour tous les soldats du dome de fer. Vous avez réussi un sacré exploit. Soyez fiers de votre travail pour la nation d’Israël qui vous doit beaucoup. Que Dieu vous soutienne dans cette épreuve que vous traversez. Mes prières vous accompagnent. Ces temps de guerre ne sont pas faciles physiquement et psychologiquement. Priez l’Eternel qu’il vous donne la force d’en sortir plus forts. N’oubliez pas qu’un des nom de Dieu est l’Eternel des Armées. C’est le chef des armées.Votre chef. Il n’y a qu’un seul Dieu sur terre, c’est le Dieu d’Israël qui ne sommeille ni ne dort pour son peuple et son pays.

André

Quant on pense que cette énorme pression physique et psychologique de ces soldats n’est pas seulement dû au fait qu’ils doivent protéger les israéliens mais aussi épargner au maximum les civils « palestiniens »…

Quel autre pays, quelle autre armée accepterait de se contenter simplement d’intercepter des milliers de missiles lancés d’un territoire voisin ?

Mettez l’armée chinoise, russe ou même des USA en face et il y a longtemps que Gaza serait rayé de la carte !