Alors que le film « L’attentat », de Ziad Doueiri, adapté du roman de Yasmina Khadra, sort en France, il est au contraire non désirable dans les pays arabes.

Coup de projecteur sur un film qui fait polémique.Un attentat en plein cœur de Tel-Aviv, 17 morts, dont 11 enfants, du sang, des cris.

Les premières scènes du film « L’attentat », de Ziad Doueiri, adapté du livre de Yasmina Khadra, marquent pas.

Le docteur Jafaari, un Israélien d’origine arabe, voit les victimes affluer dans l’hôpital où il travaille.

Mais ce qu’il ne sait pas encore, c’est que le ou plutôt la kamikaze n’est autre que son épouse, une chrétienne palestinienne, qui s’est fait exploser à l’aide d’une bombe dissimulée sous une robe de grossesse.

Il le découvrira en pleine nuit, après une journée passée à opérer les victimes de l’attentat.

Le cinéaste s’est intéressé à l’enquête menée après cet attentant, à cette femme que le docteur Jafaari pensait connaître mieux que quiconque.

Comme lui, il pensait que son épouse était parfaitement intégrée dans la société israélienne.

Il ne peut croire au geste prémédité d’une femme qui quelques jours plus tôt affichait une joie de vivre et disait encore à son mari « Amin, Bahibak kteer » (je t’aime tellement, ndlr).

Il décide de se rendre à Naplouse pour tenter de comprendre ce geste et retrouver ceux qui auraient « lavé » le cerveau de sa femme.

Le film livre divers points de vue d’un conflit surmédiatisé et qui perdure.

Sorti le 29 mai 2013 dans les salles françaises, « L’attentat » a au contraire été interdit dans les 21 pays de la Ligue arabe.

Les raisons d’un boycott

La première erreur commise par Ziad Doueiri, selon la Ligue arabe, a été de tourner son film en Israël.

Les résidents des pays arabo-musulmans, hormis quelques exceptions, ne peuvent se rendre en Israël et revenir dans leur pays d’origine.

Le cinéaste entend se battre pour que son film sorte au Liban, son pays natal.

Aussi, son film peut être perçu comme étant pro-israélien.

Toutefois, en l’interdisant, la Ligue arabe a créé le buzz autour de ce film.

De plus, sa sortie en France augmente la médiatisation de cette production.

De plus, les populations des pays arabo-musulmans, où le film a été interdit, ne devraient pas avoir trop de mal à en avoir accès grâce à Internet.

Fouad Harbit/ Afrik.com
Article original

TAGS: Cinema Cannes Yasmina Khadra Tel-Aviv Terrorisme

Ligue Arabe Censure

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yaakova

Excellent, j’aime bien ton humour !

jymd

Leur crimes ne les intéressent pas !!la preuve avec ce qui ce passe actuellement en syrie en afrique et dans tous les autres pays ou l islam veut se débarrasser en massacrant ,exemple donne par leur barbare de prophète, tout ce qui n est pas islamiste ,aucune condamnation ou parfois très légère par les musulmans du monde entier !!!par contre pour obtenir des armes pour leur soit disant révolution ils sont les premiers
a pousser l occident a les aider !! alors qu en même temps ils l insultent et brulent leur drapeaux
Ils n ont honte de rien ces sauvages même pas du ridicule !!!

Armand Maruani

Ils n’ont pas besoin d’aller au cinéma , qu’ils se regardent dans un miroir . Ils feront des économies .

michel boissonneault

OUI il y a eu des femmes kamikaze , oui il y a eu mort d’hommes + femmes +enfants et si
les arabes refusent de voir ce film cela prouve que leur jeu de jouer a la victime ne fonctionne pas
mais c’est la vérité , les israeliens sont victimes de ces assassins

qu’il en déplaise à GILLES

gilles

Le roman dont est tire le film est très mauvais , écrit par un officier algérien réfugie en France et qui n’a jamais mis les pieds en Israël . La problématique est toujours la même , les islamikazes agissent ainsi parce qu’ils sont humiliés et tatati et tarata. Par ailleurs dans film, la terroriste est une chrétienne de Ramallah, je ne pense pas qu’il y ait jamais eu de terroriste suicidaire femme ET Chrétienne .
Ne pas aller voir ce film, et essayer de dissuader les autorités israéliennes de subventionner des film de propagande anti israélienne . On a l’impression qu’ils sont tous MASO
Yasmina khadra est un pseudo féminin qui désigne un homme, qui meurt de peur d’être reconnu par la police secrète algérienne .
GSM

marman68

a tout les musulmans qui ne veulent pas voir ce film NE LE REGARDEZ PAS PAS : ET NE FAITES PAS CHIEZ LE MONDE.
Quand ce films passera en france en appelerez-vous à SOS racisme
Voilà de quoi lancez les débats : Alors messieurs dames TOUS A VOS CLAVIER