«34 kilos en un an !» : Yoann Riou se confie sur sa perte de poids spectaculaire dans «Quelle époque !»
Invité sur le plateau de Léa Salamé avec le reste de l’équipe d’«Intervilles», le journaliste et son confrère Bruno Guillon se sont confiés sur leurs nouveaux trains de vie sportifs.
Un coup de téléphone a changé sa vie. Sur le plateau de «Quelle époque !» ce samedi 7 juin, Léa Salamé a donné la parole au journaliste Yoann Riou , qui a fait part de son incroyable perte de poids. «34 kilos perdus en un an», entame celui qui fait partie de l’équipe de la nouvelle édition d’«Intervilles». «C’est grâce à un coup de fil. Je le remercie à vie ! L’été dernier, c’est le patron de “Pékin Express” Thierry Guillaume qui m’a appelé et dit “Yoann, est-ce que ça te dirait de repartir avec “Pékin Express”, on part dans un ou deux mois ?”»
Yoann Riou témoigne ensuite de sa déconvenue : «Et là, je me suis dit que j’avais de gros problèmes de santé, j’étais à plus de 106 kilos, ça n’allait pas du tout ! Et donc ça m’a boosté, parce que “Pékin Express”, on crapahute du matin au soir, on court après les voitures… Ça a été le booster décisif de ma vie, depuis je ne m’arrête pas.» En face de lui, Léa Salamé salue sa démarche. «Ça vous va magnifiquement», lui assure-t-elle.
L’animatrice profite de l’occasion pour alpaguer Bruno Guillon, autre membre de la nouvelle «dream team» d’«Intervilles» : «Vous faites du sport, maintenant ? Qu’est-ce qui a changé ça ?» Le tout nouvel animateur de «Tout le monde a son mot à dire» se confie alors sur son quotidien transformé. «Un cardiologue. Je suis allé faire des examens parce que j’étais essoufflé, et il m’a dit qu’il y avait deux solutions», relate-t-il. «“Soit vous continuez ce train de vie, et d’un point de vue santé ça va être compliqué, à base de pontages, etc, soit vous faites du sport, et vous faites attention à ce que vous mangez.”»
Il poursuit, alors qu’un montage de photographies de sa perte de poids progressive défile à l’écran en plateau. «Il m’a aussi dit que plus on fait de sport, moins on fait attention à ce qu’on mange, donc je fais du sport tous les jours. Je fais une heure de sport par jour», assure Bruno Guillon, avant de clore son propos avec ironie. «J’ai toujours été énervé par les gens qui disent que le sport est comme une drogue. (…) Mais je suis content de le faire, ça me manque quand je n’en fais pas… Putain, je ne voulais jamais dire ça !»
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