Des parachutistes de Tsahal parachutés en Europe, pour la 1ère fois depuis Hannah Senesh
Les troupes participaient pour la première fois à la réponse rapide du commandement européen de l’armée américaine 2018.
Soixante-quatorze ans après le parachutage d’Hannah Senesh dans l’Europe occupée par les nazis, les parachutistes de Tsahal ont sauté sur le sol polonais lors d’un exercice militaire international à grande échelle, mené par les États-Unis.
« Après le saut, vous avez l’impression que vous avez fait quelque chose de grand … c’est difficile d’expliquer ce sentiment », a déclaré le Lior Hendi au Jerusalem Post avant que lui et ses compagnons parachutistes ne rentrent en Israël. « Ce fut une expérience unique dans une vie. »
Hendi et ses compagnons parachutistes ont été les premiers parachutistes israéliens à participer à l’exercice Swift Response 18 (réplique instantanée 18) du Commandement Européen de l’Armée américaine, qui se déroule en Europe, au sein de la 173 ème Brigade du commandement européen de l’armée américaine.
« Nous représentons Israël, portant notre uniforme aux côtés des Américains et des Italiens … C’est une expérience unique pour nous tous, où nous avons aussi beaucoup appris les uns des autres », a déclaré Hendi.
Hendi a déclaré au Post que lui et les autres soldats s’étaient entraînés à cette intervention rapide depuis deux mois et demi, effectuant plusieurs sauts et aussi, en visitant la tombe de Chana Senesh sur le Mont Herzl à Jérusalem.
En plus de l’atterrissage opérationnel en parachute des parachutistes de Tsahal sur le sol polonais, les troupes ont également effectué un exercice qui comprenait des tirs et des combats dans divers contextes, a indiqué l’Unité du porte-parole de Tsahal.
Selon Hendi, il y avait un mélange de peur et d’adrénaline avant et pendant le saut, mais « après toutes les émotions, au moment où j’ai atterri j’ai senti que j’avais fait quelque chose de très grand, surtout depuis que Hannah Senesh, qui voulait tellement faire pour le peuple juif, a sauté au-dessus de la Yougoslavie. Et nous avons refermé cette boucle. »
Environ 2 300 soldats de 10 pays différents ont participé à Swift Response 18, qui comprenait des exercices aéroportés, du personnel de pénétration en force et des largages d’équipement, des opérations d’assaut aérien, une accumulation de force utilisant une courte piste d’atterrissage et d’évacuation de non-combattants.
Selon l’Armée américaine en Europe, Swift Response 18 est «l’un des premiers événements de formation à la réponse aux crises militaires multinationales dans le monde» et l’exercice promeut la préparation des unités participantes, tout en renforçant les capacités des alliés et des partenaires des Américains, et en renforçant la confiance mutuelle.
L’opportunité de formation conjointe, qui a eu lieu en Pologne, en Lettonie et en Lituanie, « améliore considérablement l’interopérabilité entre les alliés de l’OTAN et les partenaires régionaux clés » (dont Israël), a indiqué un communiqué de l’armée américaine.
« Au cours des deux dernières semaines, les parachutistes de Tsahal ont été entraînés avec des combattants militaires américains aux côtés de troupes d’Italie, du Royaume-Uni, d’Espagne et d’autres pays. Au plus fort de l’exercice, nous avons atterri sur le sol polonais et pratiqué diverses missions opérationnelles », a déclaré le major Amir Puri, commandant de la force parachutiste au cours de l’exercice.
« J’ai été particulièrement ému d’atterrir sur le sol polonais et de m’entraîner avec mes compagnons de combat pour cette 70ème année de l’Etat d’Israël, un exercice qui démontre la puissance de la coopération entre l’armée israélienne et l’armée américaine.
« Pour moi, c’est un grand honneur de diriger les parachutistes qui représentent l’armée israélienne et Israël dans cet exercice. L’entraînement a été stimulant et efficace pour les commandants et les combattants, au cours desquels un important apprentissage opérationnel a eu lieu « , a-t-il ajouté.
Photo: TsahalSwift Response, organisé par le Commandement européen des États-Unis (EUCOM), a rassemblé 2 300 soldats de sept pays, dont Israël, l’Italie, la Pologne, le Portugal, l’Espagne, le Royaume-Uni et les États-Unis.
L’exercice comprenait, également, une formation à la réaction en cas de crise, une simulation de prise de contrôle d’aérodrome, et d’autres exercices aéroportés.
Un groupe de 40 parachutistes israéliens s’estt préparés lundi dernier à la base aérienne allemande de Rammstein, le quartier général principal des forces aériennes américaines en Europe. Le peloton de Tsahal était rattaché à l’équipe de combat de la 173e Brigade du Commandement européen des États-Unis pendant l’exercice.
Une fois débarqués, les parachutistes ont simulé la capture d’une base aérienne ennemie, dans ce cas représentée par l’aérodrome de Mirosławiec dans l’ouest de la Pologne, ainsi que les bunkers et les zones environnantes.
« Toutes ces nations alliées travaillent ensemble afin que nous puissions échanger des SOP (normes et pratiques) et la façon dont nous faisons les choses, nos tactiques, et plus nous incorporons cela, mieux ce sera pour nous, quand nous devrons faire face à une menace, », A déclaré le major Matthew Barton de l’équipe de combat de la 173e brigade de l’armée américaine.
Le major Puri a noté que ces environs inconnus étaient une chance de s’entraîner dans un terrain marécageux, ainsi que de combattre dans des forêts beaucoup plus denses que celles qui sont normalement communes au Moyen-Orient.
«Nous avons conclu un exercice très intense et fascinant avec l’armée américaine et d’autres pays», a déclaré le Maj Ido, officier des opérations de la Brigade des parachutistes qui a participé aux exercices. « La coopération était axée sur des techniques et des exercices spécifiques. C’est la première fois que les troupes israéliennes participent à un exercice de cette ampleur. Nous avons, en fait, dirigé un peloton de 40 officiers et soldats de notre bataillon de reconnaissance, qui a pris part au saut et aux exercices.
«Notre objectif principal était d’apprendre et d’observer, de nous concentrer sur la collaboration et la tactique», a poursuivi le Maj Ido. « Nous avons beaucoup d’expérience, mais l’armée américaine et d’autres armées ont apporté leurs propres expériences et partagé leurs connaissances. »
Ce fut le premier exercice de commandement européen des États-Unis à présenter les forces israéliennes en dehors d’Israël. La tendance devrait se poursuivre alors que la marine israélienne participera à l’exercice multinational RIMPAC à Hawaii, plus tard, ce mois-ci, également pour la première fois.
[Sources: site Internet de Tsahal , i24News ]
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Enfin nous ne sommes plus des parias 74 ans après nous avons un commando de parachutiste Israélien qui s’incorpore avec les forces de L’OTAN cela change de langage il n’y a pas si longtemps ou un certain général de cette même structure disais pi que pendre d’Israël comme quoi nos amis Américain sont assez intelligent pour faire la différence avec de vrais allier par rapport à certains dirigeants Européens qui préfèrent caressé dans le sens du poil (pour uniquement l’argent et les « »fabuleux » » contrats ) certains pays du golfe
Blum un pseudo juif islamo-gauchiste qui coupe la branche sur laquelle sont posés peuple JUIF et JUDÉO-CHRÉTIENS qui refusent l’SLAMISATION de l’EUROPE! Courte vue on a failli mourir avec Nabuchodonosor, Hitler et maintenant avec l’IRan de la Charia qui tente de l’imposer partout contre les sunnites pour la victoire du Chiisme et la déconfiture de l’occident CHRÉTIEN! AM ISRAËL HAÏ nous vivrons envers et contre TOUS les corrompus par la lâcheté !
Bien aimable de répondre à un post « au niveau de réflexion affligeant ».
Il est troublant d’apprendre que, d’après ce que vous dites: « l’armée s’est remise à la préparation de la guérilla urbaine, depuis 2005 ».
Des quartiers entiers de Paris sont colonisés par des croyants mahoétans, avec une accélération
particulière dans le XIème.
Sans parler, bien sûr, des cités, et zones de charia.
Pour ne plus vous affliger, je trouverais normal que vous ne m’adressiez plus vos envois.
Sans rancune.
Je vous remercie pour cet article rappelant la mémoire de Hannah Senesh.
J’avais entendu raconter son histoire d’héroÏque résistante, au kiboutz
Sdot Yam, par un ami de mon père, hongrois ( ils s’étaient connus dans
un camp de prisonniers, en Poméranie).
Mais nulle explication des opérations projetées en Europe, auxquelles
participe Tsahal: les pays d’Europe de l’ouest (moins la Pologne, qui
fait partie du groupe Visegrad) sont infestés de mahométans, dans
leur entreprise de conquête de l’Europe.
Vous parlez d’évacuation de populations civiles: dans quel cas?
Vraiment, cet article est décevant, n’apprenant strictement rien au
lecteur.
Il s’agit d’exercices militaires à toutes fins utiles, vos propos prêtant des objectifs politiques très établis par avance à des soldats sont totalement hors-sujet : les militaires préparent les opérations et s’y entraînent : la situation politique leur dictera la finalité d’un plan à mener à termes. Mais, par avance et quel que soit l’ennemi, ils savent faire. Le commandement monte un « scénario » et désigne des cibles, mais cela reste une fiction aussi proche de la réalité que possible. Il ne s’agit justement pas que les cibles qui pourraient être réellement visées puissent s’en émouvoir et cherchent à s’en prémunir en étudiant ces scénarii. Quoique.
Neriah disait hier qu’il s’agisse d’Algériens, de Marocains, d’Irakiens ou de Cubains sur le Golan en 1973-1974, ou d’Iraniens, d’Afghans, de Pakistanais et d’Irakiens aujourd’hui, c’est exactement la même chose,ça ne change rien, ce sont des ennemis. Il faut les éliminer.
Votre niveau de réflexion sur la séparation des pouvoirs est assez affligeant. Il s’agit de manœuvres du commandement américain en Europe, et plus précisément de l’Europe de l’Est, pas de manœuvres de la flotte au large des côtes libyennes.
De plus, sur la situation géographique : A Varsovie, il n’y a quasiment aucun migrant, le jour où ils sont arrivés on les a mis au travail et le lendemain ils prenaient le train pour Berlin, Bruxelles ou Paris, où ils pourraient toucher des aides sociales… Ca provient d’instructeurs de l’armée polonaise.
Par contre, depuis 2005, en France, l’armée s’est remise à la préparation de la guérilla urbaine, y compris avec des instructeurs de l’armée israélienne, là encore, si ce qu’on a vu cette année-là devait s’étendre, concerté ou non, à l’ensemble du territoire ou s’il fallait faire évacuer des « zones de non-droit ». Ce n’est pas politiquement orienté, ce sera fonction de la situation d’urgence.