Trump une fois de plus avait raison, sur l’Iran

Trump contre Biden : « Si j’étais président, l’attaque contre Israël n’aurait jamais eu lieu »

L’ancien président a annoncé dans son discours que, à son retour à la Maison Blanche, « les États-Unis resteront aux côtés d’Israël jusqu’au bout, sans réserve et sans aucune excuse ».

• Selon lui, l’Iran est responsable de l’attaque surprise du Hamas, mais personne ne veut en parler

• À propos des manifestants aux États-Unis qui se sont identifiés à l’organisation terroriste, ils ont déclaré : « Quand 2025 viendra, nous vous expulserons.

L’ancien président des États-Unis, Donald Trump, s’est prononcé contre les manifestants sur les campus qui s’identifiaient au Hamas : « Quand 2025 viendra, nous vous expulserons ». Dans un discours qu’il a prononcé hier (samedi) à la Conférence juive républicaine, il a promis : « Quand je reviendrai à la Maison-Blanche, les États-Unis resteront aux côtés d’Israël jusqu’au bout, sans réserve et sans aucune excuse. »

Selon Trump, dans la terrible matinée du 7 octobre, le monde a vu une fois de plus la bataille entre Israël et le Hamas : « Ce n’est pas une bataille entre deux camps égaux, c’est une bataille entre le bien et le mal, c’est une bataille entre la civilisation et les sauvages », a-t-il déclaré. « L’Iran est responsable de l’attaque du Hamas, mais personne ne veut en parler. »

Dans son discours, Trump a pointé un doigt accusateur contre le président américain Joe Biden : « Il est le pire président de notre histoire. Nous soutiendrons pleinement Israël dans sa mission visant à garantir la destruction du Hamas. » Selon lui, en raison de la faiblesse de Biden, le Hamas a attaqué Israël. 

« Pendant ma présidence, nous étions craints, le monde a vu ce que nous faisions », a poursuivi l’ancien président. « Durant quatre ans, j’ai assuré la sécurité de l’Amérique, j’ai assuré la sécurité d’Israël et j’ai assuré la sécurité du monde. Le monde était un endroit plus sûr. Si j’avais été président, l’attaque contre Israël n’aurait jamais eu lieu. »

Reconnaissons que Biden est un ami d’Israël, mais sur le dossier iranien, il a fait la politique désastreuse d’Obama. Depuis longtemps, il fallait mettre hors d’état de nuire les mollahs iraniens. Comme il fallait détruire le Hamas.

Israël a laissé un cancer se développer à ses portes sans vraiment réagir. Pire, il a cru à une coexistence possible avec des barbares. Les démocrates et la gauche ont anesthésié les démocraties avec des principes stupidement humanistes, pour les fragiliser face à la barbarie. Comprenons qu’il y a deux mondes, celui de la civilisation avec ses règles, et celui de la barbarie avec ses règles. Un oiseau n’est pas un poisson, et vice-versa. Ne demandons pas à un oiseau de nager ni à un poisson de voler. Ceux qui demandent à Israël de respecter les lois des démocraties, dans l’enfer de la barbarie, sont simplement et réellement des personnes qui veulent la mort d’Israël.

Trump en pourparlers à huis clos : Netanyahu devrait être « destitué » en raison de l’attaque surprise

Il y a environ trois semaines, le magazine américain Rolling Stone a rapporté que Trump avait déclaré, lors de conversations avec des partisans d’Israël et des donateurs pro-israéliens, que Netanyahu devrait être « démis » de ses fonctions. Ceci dans le contexte de l’échec des services de renseignement israéliens lors de l’attaque surprise du Hamas – que Trump a déjà publiquement critiquée. Au cours des discussions, il a même évoqué la possibilité que ces partisans fassent pression sur Netanyahu pour qu’il mette fin à son poste – mais ses conseillers lui ont conseillé d’attendre en raison des nombreuses conséquences de la guerre et de l’état dans lequel se trouve le pays.

Ce rapport fait suite à la déclaration sévère de Trump contre Netanyahu lors d’une conférence en Floride. À l’époque, l’ancien président avait déclaré à ses partisans qu’il était « très déçu que Netanyahu n’ait pas aidé à l’opération » visant à tuer Qassem Soleimani en 2020. « Nous avons été très déçus par cela, c’était une chose terrible. Netanyahu a essayé de s’en attribuer le mérite, mais au final, nous avons fait le travail nous-mêmes », a-t-il attaqué.

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