La nouvelle Trumponomics : des réacteurs pour une énergie propre et contrôlée issue de la fusion nucléaire
par Lawrence Kadish
Alors que les rêves d’énergie verte renouvelable s’estompent, que les batteries des voitures électriques gèlent en hiver, explosent en été et ne permettent pas de voyager aussi loin que l’on le souhaite sans une longue recharge qui peut ou non être disponible, et que les éoliennes et les panneaux solaires dépendent du vent et du soleil alors qu’il y en a beaucoup, l’avenir s’annonce de plus en plus prometteur pour une énergie de fusion nucléaire durable et totalement propre – si et quand elle pourra être développée.
De plus en plus de gens commencent à voir la fusion nucléaire comme la voie de l’avenir, à la fois pour une énergie abordable et pour « sauver la planète » de l’envahissement par les polluants.
Un petit réacteur dans votre voiture pourrait lui permettre de parcourir « un million de kilomètres », ce qui est très différent de la recherche d’une borne de recharge en traversant un désert.
La bonne nouvelle est que des entrepreneurs comme Elon Musk et Sam Altman étudient déjà les moyens de capturer ce nouveau carburant magique afin de pouvoir l’utiliser immédiatement. À cette fin, ils seraient en train de construire de petits réacteurs nucléaires au Nevada.
La mauvaise nouvelle est que la Chine communiste les développe et les utilise déjà pour fusionner des atomes à des températures incroyablement élevées dans un appareil appelé tokamak. Ils travaillent depuis des années sur la fusion des atomes pour produire de l’énergie tout en continuant à ouvrir au moins deux centrales à charbon « sales » chaque semaine, pour s’assurer qu’ils ont leurs bases couvertes pendant qu’ils perfectionnent la fusion nucléaire pour une utilisation commerciale.
Trump ferait bien de se concentrer, dès le début de son mandat, sur l’avenir de sa nouvelle Trumponomics : un tokamak américain supérieur à celui de la Chine devrait être un « projet Manhattan » Trump, financé par des fonds de la Chambre des représentants, soit par un partenariat public-privé entre le gouvernement et le secteur privé, soit par une introduction en bourse privée, soit par les deux. L’objectif serait de mettre au point un réacteur nucléaire tokamak meilleur que celui de la Chine, capable de produire une énorme quantité d’énergie électrique durable et de propulsion – et de provoquer ainsi un boom de la croissance économique américaine.
Ce projet doit figurer, avec la modernisation de l’armée américaine, parmi les premiers objectifs du président Trump dès son entrée en fonction.
Lawrence Kadish est membre du conseil des gouverneurs du Gatestone Institute.
JForum avec www.gatestoneinstitute.org
Sur la photo : le tokamak à fusion nucléaire HL-2M, dans un laboratoire de recherche à Chengdu, en Chine. (Photo de STR/AFP via Getty Images)
 |
 |
Il faut être réaliste. Seules les grandes nations disposant tout à la fois d’un potentiel scientifique élevé et de ressources financières conséquentes peuvent concourir utilement à de grands projets scientifiques. Les nations européennes prises individuellement ne répondent pas à ces conditions, mais associées à des projets précis elles peuvent relever le défi. Encore faut-il une volonté politique forte.
Propagande classique pour justifier l’Europe de Macron et les » projets internationaux ». Le projet Iter, c’est 20 milliards d’euros. Qu’on ne prétende pas que la France seule n’aurait pas 20 milliards d’euros à investir dans le projet entier. La Réalité est que la France n’a pas le potentiel scientifique pour cela, et attend-donc des autres pays un partage de connaissances. Il est bien jeune le Macron, et s’illusionne. Jamais les russes, les chinois, les hindous, les américains, ne partageront gratuitement leurs connaissances avec les français, chacun pour soi et Dieu pour tous. Voilà pourquoi les États-Unis, puis l’Angleterre, sont sortis de ce projet. Par contre, le Peuple Juif, qui a réalisé le projet Manhattan, a le potentiel scientifique pour miniaturiser les réacteurs nucléaires, et produire de l’électricité à très bas coût. Voilà pourquoi je dis que Netanyahou peut investir des ressources humaines scientifiques dans ce domaine de recherche, et qu’Israël ne doit ici ne compter que sur lui-même.
ITER, çà vous parle?
‘Merci à Jforum pour cette information scientifique pointue. Ne sommes-nous pas à l’ère de l’information ?
L’an dernier, un Pr.de Mathématiques, chercheur à Saclay, fort de 35 ans d’expérience après sa thèse de doctorat, m’a soutenu que les chinois ne feraient que copier les réalisations des autres peuples, et ne créeraient rien, tout en reconnaissant, comme moi, que les français ne sont pas créateurs en science. On retrouve ici le côté catholique des français, à chercher à se prendre pour Dieu, tout en jalousant inutilement les chinois. Je ne lis pas les publications scientifiques en chinois, mais je ne vois pas sur qui les chinois auraient pu copier leurs réalisations spatiales, informatiques, et même leur Tokamak.
Miniaturiser les réacteurs nucléaires aura d’immenses applications pour l’armée israélienne, en aéronautique, naval ( porte-avions à propulsion nucléaire ), mais aussi pour les engins blindés d’infanterie à propulsion nucléaire. Israël doit donc investir des ressources, notamment humaines, dans ce domaine de recherche.
Il suffit que TRUMP coordonne les efforts américains avec Elon Musk, pour que la machine à innover révolutionnaire, trouve les réponses à ce fantastique projet.
Comme d’habitude, la Chine opère en silence et devance déjà, plusieurs de ses adversaires dans plusieurs projets de haute technologie.
Quant à l’Europe et particulièrement la France, elles ne doivent même pas comprendre l’intérêt de cette nouvelle technologie.
D’ailleurs, dès que les écolos réactionnaires entendent le mot « nucléaire » on les entend freiner mentalement et balancer leurs sempiternelles conneries…..
» Quant à l’Europe et particulièrement la France, elles ne doivent même pas comprendre l’intérêt de cette nouvelle technologie. »
Dans un récent article du Jérusalem Post des dernières 48 heures, le directeur général de Rothschild Israël, s’appuyant sur une » analyse » de la banque Rothschild de Genève, incite les gogos israéliens à investir en France. Il reconnaît certes que la France est effondrée politiquement, que son économie est en récession, mais il prétend que, sur le long terme, l’investissement dans ce pays serait rentable. On retrouve ici les manipulations merdeuses de Macron, ancien de Rothschild France, qui va jusque dans les universités israéliennes pour persuader les jeunes gogos Juifs à s’installer en France, ce pays de ratés, antisémites jaloux, putréfié de corruption merdeuse.
Dans une génération, la population immigrée, essentiellement musulmane, sera majoritaire en France. Ne voyons-nous pas combien, depuis des siècles, les pays arabes s’arrachent la tête à faire avancer les sciences, réaliser de grandes découvertes et développer des économies florissantes. Nous en sommes impressionnés. Par quel miracle changeraient-ils pour retourner le cours de leur histoire ?
L’investissement à long terme, en France, serait extrêmement spéculatif. À court et moyen terme, en France, il serait archi perdant, alors que le Monde ne manque pas de pays en pleine croissance, où investir. À long terme c’est la grande inconnue pour bloquer son temps, énergie et argent. Le crédit rating de la France par les agences de notation, ne fait que baisser. Rothschild cherche à dissocier l’économique de la situation politique, alors que ce n’est pas possible.
À moyen terme, la France va vers une guerre civile, dont il n’est pas prouvé que les fds sortiront vainqueurs, ensuite ce sera une dictature, peut être musulmane. Alors les gogos Juifs, qu’ attendez-vous pour investir votre temps, énergie et argent, dans la France de Macron ? Il faut bien des pigeons youpins pour produire de la valeur ajoutée et raquer les impôts et taxes pour engraisser les enfants des collaborateurs et des nantis corrompus, et entretenir l’immigration invasive de »’ la misère du Monde ». Pour ma part, je n’étais pas venu d’Algérie en France pour financer les universités pour les autres, alors que je devais toujours étudier par mes propres moyens, tout en me faisant enlever mes dossiers de travail et travaux de recherche par la police corrompue, qui servait des intérêts privés. J’ai fait preuve d’une grande générosité en laissant les bonnes places en France pour les enfants des collaborateurs et l’immigration invasive
Asher, tu connais peu le domaine scientifique. Donc évite les jugements tranchés !
Il y a en Chine de très grands scientifiques. C’était mon job, de le savoir et même de les rencontrer.
Il y a encore une trentaine d’années, la France était encore parmi les plus avancés dans l’énergie nucléaire. En fission, la France était en pointe. Pour la réalisation des armes nucléaires, 1/4 des ingénieurs de pointes étaient Juifs. 🙂 🙂 🙂 A peu près 1/3 dans le nucléaire civil.
Puis à cause des « écolos », la recherche sur la fusion atomique a diminué. Les « écolos » sont de vraies nuisances, en plus les 3/4 de ces sous-merdes sont antijuives.
Je vous remercie pour votre conseil sur le jugement et mon évaluation de la France, mais reconnaissez-moi le droit de penser de manière indépendante.
Je vous invite à lire ce que j’ai écrit plus haut : je ne lis pas les publications scientifiques en chinois. Vous pratiquez peut-être cette langue, pour avoir communiqué avec les très grands scientifiques chinois.
Maintenant, vous vous avancez sur des points que vous ne connaissez pas en matière de fusion nucléaire. L’histoire montre combien les français ont été nuls et incompétents en physique nucléaire. Ils n’ont même pas eu l’idée de la fission atomique. Quand la juive allemande, Lise Meitner, a publié en décembre 1939 sur la fission nucléaire, elle ne se réfère à aucun français. Toutes les sciences que les Juifs ont développées dans le projet Manhattan ( physique nucléaire, informatique, analyse numérique, recherche opérationnelle, théorie des jeux, cybernétique, etc..), n’ont été fournies à la France qu’après 1956. Le CEA a été créé en 1946, et 8 ans après, les français étaient toujours incapables de réaliser ne serait-ce que la fission atomique, la prétendue créativité française n’étant pas à ce niveau. En mai 1954, incapables de battre Giap, à Diên Bien Phu, par les moyens conventionnels, les français ont mendié la bombe atomique au grand-frère américain, qui l’a leur a refusée. En 1956, pour Suez, et devant la menace russe de frappes nucléaires sur Paris, les français se sont écrasés et retirés la queue entre les pattes. Ce n’est qu’à ce moment-là, qu’Eisenhower a autorisé le transfert de technologie d’Israël à la France, pour des raisons de guerre froide évidentes, et cela fut même le cas pour le thermonucléaire en 1968 où la technologie a été fournie. Je passe sur la suite dans ces domaines.
Si des Juifs, majoritairement askénazim, ont travaillé pour le nucléaire français, civil ou militaire, surtout après la conférence de presse de De Gaulle de novembre 1967, c’est qu’ils avaient la haine d’eux-mêmes. Cela ne fut pas le cas du Sefardim, Shirley Attali, qui après l’école Supérieure d’Aéronautique a été à l’origine de la fusée Diamant. Après la conférence de De Gaulle de novembre 1967, il a fait son alyah rapidement. Actuellement, Macron sent bien que la communauté juive de France va disparaître, aussi il cherche toutes les manipulations possibles pour avoir de la hochma juive dans ce pays viscéralement antisémite. C’est peine perdue. Les français crèvent de haine et de jalousie de n’avoir pas pu trouver des pigeons juifs à manipuler pour les exploiter. Ils ont donc la haine des ratés et l’on peut comprendre qu’ils soient antijuifs.