Depuis la nuit des temps, beaucoup de gens détestent les Juifs et cela n’est pas prêt de changer. Il y a un double standard dégoûtant de partialité contre Israël des journalistes français qui constamment attisent la haine antijuive et attaquent Israël. Mes observations de la partialité des médias contre Israël est une source permanente d’aggravation.

Peu importe qui est le président ou ce qui se passe dans le monde, il semble qu’Israël fait toujours les gros titres. Une obsession maladive qui permet de cacher les vrais problèmes de la France comme l’islamisation ou les massacres quotidiens des Coptes, Yazidis, Chaldéens, Chrétiens, Assyriens, Kurdes, Africains… en terres musulmanes

Il y a une liberté de la presse en Israël, les journalistes peuvent couvrir l’actualité comme ils le souhaitent, ils le savent. Une liberté comme nulle part ailleurs dans tout le Moyen-Orient.

Des Juifs ultra-orthodoxes lisent le journal dans une rue du quartier de Mea Shearim (Crédit : Yonathan Sindel/Flash 90)Des Juifs ultra-orthodoxes lisent le journal dans une rue du quartier de Mea Shearim (Crédit : Yonathan Sindel/Flash 90)

En Israël, les journalistes ne sont pas harcelés, violés, suivis par la police, torturés, intimidés ou même décapités comme en Syrie ou Irak.

Dans un article que j’avais écrit en juillet 2014, je qualifiais les médias français de charognards et mon avis n’a guère changé depuis. Lorsque 3 jeunes Israéliens ont été enlevés et tués par des terroristes arabes palestiniens, plutôt que de blâmer les auteurs de l’enlèvement, ils ont préféré critiqué la dangerosité à faire du stop la région du Goush Etzion.

Aujourd’hui avec l’histoire du bébé Palestinien mort à Douma, les médias avec l’Afp tête de file on a sorti l’artillerie lourde. On accuse des « colons extrémistes religieux » d’être les auteurs du crime avant même que l’enquête policière n’a commencé. Une continuité dans l’accusation de meurtre rituel à l’encontre des Juifs, une allégation antijuive ou antisémite selon laquelle les Juifs assassineraient des enfants non juifs à des fins rituelles. Les journalistes français n’ont pas besoin de preuves pour accuser les juifs, ils peuvent allumer le bûcher médiatique.

En dix ans, Les arabes palestiniens ont tués près de 180 Israéliens dont des dizaines de bébés. Où est passée l’indignation des médias Français? Les journalistes sont-ils à ce point Malhonnêtes et Hypocrites? La réponse est oui sans aucun doute. Toujours les premières grandes gueules à vouloir donner des leçons de morale et d’humanité aux autres.

Cette hypocrisie des médias français a même été révélée en octobre 2014 par un site arabe Actionpal.org pour les palestiniens de Syrie ou sur leur site, sont recensés les morts palestiniens en Syrie : 2 512.

Les médias français pratiquent le terrorisme intellectuel.

Une pratique qui, au moyen d’arguments et de procédés intellectuels (publication, interventions médias, etc.), vise à intimider pour empêcher la formulation d’idées gênantes (que les idées visées soient fausses, vraies, ou discutables).

Cette censure idéologique, ou police de la parole, vise à empêcher de parler de tout ce qui ne rentre pas dans les grilles de la doctrine régnante, et qui sera dénoncé comme étant politiquement incorrect. On utilise les techniques du fascisme et du nazisme pour appuyer la propagande arabe Palestinienne.

Quelques exemples : BFM, Itélé, Leparisien, lemonde, Courrier international, France 24, La croix, Metronews, Marianne, 20Minutes, Slate, le nouvel obs, le figaro L’AFP et bien d’autres

Le terrorisme intellectuel n’est pas une fin en soi, c’est un moyen pour favoriser ses propres idées, orienter les débats publics et donc se favoriser soi-même en tant qu’incarnation de ces idées, sur ce plan les médias français quand ils parlent d’Israël sont devenus des « Einsatzgruppen de la pensée ».

Près de 4000 hommes formant les Einsatzgruppen ( groupes mobiles), suivaient les armées régulières allemandes. Leur mission est d’exterminer  » à ciel ouvert » les populations juives.

Les médias qui mentent sur Israël m’agressent sur mon histoire et mon identité, son refus de me permettre de me définir est une forme de terreur intellectuelle.

Mais nous les Juifs, nous avons la carapace solide, très solide!
Nos ennemis nous attaquent tous les jours depuis des années non pas pour ce que nous ferions ou ne ferions pas mais bien pour ce que nous sommes et pour ce que nous représentons.
On ne succombe pas à toutes les tentations mondaines offertes par nos oppresseurs et persécuteurs de sorte qu’on aurait renoncé à notre histoire, nos valeurs et la foi de nos pères.

Et à ce jeu-là, ils ne gagneront pas!

Leon Tolstoi disait :

Un juif est un symbole de l’éternité. La nation que ni combat ni torture ne pourrait exterminer, la nation que ni le feu ni le passage des civilisations n’ont été en mesure d’effacer de la surface de la terre, la nation qui la première annonce la Parole de Dieu, la nation qui a préservé la prophétie depuis si longtemps et qui l’a transmise au reste de l’humanité, une telle nation ne peut pas disparaître.

Un juif est éternel, il est une incarnation de l’éternité.

© Jean Vercors

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

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Marc

Ne dit-on pas que tout ce qui est exagéré est insignifiant? Les « Einsatzgrüppen » ont pratiqué la Shoah par balles dans les territoires soviétiques d’Ukraine, de Lettonie, Lithuanie et d’un peu partout lors de « l’Opération Barbarossa ». On estime que ces massacres de masse, devant des fosses communes, comme à Babyar ont pu perpétrer quelque 1 million de morts au bas mot. La presse se lance comme sur un os à ronger autour de cette affaire, concernant, vraisemblablement un groupe extrémiste messianique, anti-étatique et donc cherchant à déstabiliser l’Etat Juif, qui fait des dégâts considérables à son échelle. Qu’on dénonce les invraisemblances apparaissant à l’enquête est une chose. Il n’en demeure pas moins qu’on exploite le malaise suscité et que rien ne paraît le dissiper. Prendre la pose d’une victime éternelle en démonétisant la Shoah, la vraie, n’apporte aucune résolution de l’affaire. Cela traduit plutôt une forme d’autisme, mettant la société israélienne dans l’incapacité de raisonner avec sang-froid autour de ce phénomène qu’elle doit finir par résoudre. Qu’on argumente, qu’on garde le sens des proportions, qu’on recadre les faits à l’échelle qui est la leur, qu’on conteste qu’il y ait des morts des deux côtés par faits d’exactions ou de terrorisme. Mais cette perte de tout repère historique et moral ne nous sortira pas à bon compte d’un imbroglio qui doit amener des coupables devant les tribunaux et conduire à restaurer les cadres de la loi. Affligeant.