Donald Trump appelait le Covid le «virus chinois». Avait-il tort ?

par Gerald Olivier

Non, selon le rapport de la Commission des affaires étrangères de la Chambre du Congrès américain.
Qui se souvient de l’expression « virus chinois » au sujet du Covid-19 ? C’est ainsi que Donald Trump, alors président des États-Unis, avait qualifié la pandémie qui commençait de se répandre dans le monde et dont l’origine géographique était la ville de Wuhan, au cœur de la Chine communiste. C’était en janvier 2020.

Pour ce descriptif, pointant du doigt un pays et un régime, Trump avait été vilipendé par ses adversaires politiques et conspué par les médias. L’expression était « raciste » et « dangereuse » ! Elle envenimait une situation déjà difficile, allait à l’encontre de la coopération internationale nécessaire à un tel moment de crise. Pire, elle « menaçait la sécurité du monde » en montant un pays contre les autres… Mais l’expression n’en était pas moins vraie.

Car le virus venait bien de Wuhan. Ce que d’ailleurs les Chinois eux-mêmes ne contestaient pas. Selon eux, il s’était transféré accidentellement d’un animal à l’homme via un « marché ouvert », où des animaux sauvages, capturés en forêt, sont vendus au public pour être tués et mangés… À partir des premiers rapports de leurs services de renseignement, dès la mi-janvier 2020, Donald Trump et l’administration américaine évoquaient plutôt une fuite du virus depuis un laboratoire, le WIV « Wuhan Institute of Virology », l’un des plus importants et plus avancés centres de recherche biologique en Chine.

Le président Donald Trump avait été accusé de propager des fausses nouvelles. Une nouvelle fois. Il s’avère à présent que c’est bien lui qui disait vrai et que c’est, au contraire, ses détracteurs qui cherchaient à cacher la vérité. Une nouvelle fois.

Le virus vient d’une fuite de laboratoire

Un rapport de la Commission des affaires étrangères de la Chambre du Congrès américain vient de confirmer « que la prépondérance des preuves indique que le SARS Cov-V2 s’est bien échappé du Laboratoire de Virologie de la ville de Wuhan ». Dès septembre 2019. Selon le rapport « un ou plusieurs chercheurs du WIV ont été infectés par le Covid-19 à l’intérieur du laboratoire et ont propagé le virus à l’extérieur ». A priori à leur insu. Il ne s’agit pas d’un virus présent de manière naturelle chez un quelconque animal mais d’une « séquence virale génétiquement modifiée ». Dès la diffusion du virus, les autorités chinoises et « potentiellement des citoyens américains ont cherché à bloquer les informations sur (son) origine et supprimer tout débat public sur une possible fuite d’un laboratoire. »

Pour preuve de ces affirmations le rapport souligne que :

-plusieurs chercheurs chinois avaient fait part de leurs préoccupations concernant des failles dans la sécurité du WIV.

-la nuit du 12 septembre 2019 tous les échantillons (soit plus de vingt-deux mille) et toutes les bases de données digitales du WIV ont été retirés du site internet, sans explication.

-des athlètes venus du monde entier (neuf mille concurrents issus de plus de cent pays) pour participer aux Jeux Mondiaux Militaires en octobre 2019 à Wuhan ont développé des symptômes comparables avec ceux du Covid-19.

-des images satellites prises en septembre et en octobre 2019 à Wuhan révèlent un surcroit d’activité dans les hôpitaux proches du WIV et un nombre anormalement élevé de patients présentant des symptômes similaires à ceux du Covid-19.

-la nomination d’un officier de l’Armée de Libération Populaire (armée chinoise) expert en armes biologiques à la tête du BSL 4 (Bio Safety Lab 4) situé à l’intérieur du WIV, laboratoire de niveau de confinement 4 (le plus élevé), vers la fin de l’année 2019.

-dans les semaines qui ont suivi le déclenchement de la pandémie, les autorités chinoises ont tenté de dissimuler l’origine du virus, notamment par l’emprisonnement de médecins et de chercheurs liés au WIV, ou par des pressions sur la communauté scientifique internationale. Cette tentative d’étouffement a été conduite avec la complicité de l’Organisation Mondiale de la Santé, dont le directeur, l’Ethiopien Tedros Gebreyesus, s’est conduit, écrit le rapport, « comme la marionnette du président Xi ».

Le rapport précise également qu’en septembre 2019 le WIV a émis un appel d’offre pour la rénovation de son système de climatisation à un coût astronomique de six cent millions de dollars… Ce qui laisse à penser que l’air à l’intérieur du laboratoire était contaminé par le virus et que les Chinois étaient prêts à payer n’importe quelle somme pour l’assainir.

Selon le rapport (ainsi que d’autres enquêtes et articles de journaux) les chercheurs du WIV travaillaient sur le « gain de fonction » dans des conditions de sécurité comparables à celles d’un « cabinet de dentiste ». Le gain de fonction consiste à manipuler un virus d’origine animale pour augmenter ses capacités pathogènes ou sa transmissibilité à l’homme. Sans forcément laisser de trace de cette manipulation. Ce travail peut se justifier dans le cadre de la recherche sur un vaccin contre les coronavirus. Il peut aussi être utilisé dans un programme de guerre biologique. Il est hautement dangereux, toute fuite de virus hors d’un laboratoire pouvant provoquer une pandémie…

Selon un article du Wall Street Journal paru au printemps 2021 le WIV conduisait effectivement de telles recherches, avec le soutien financier du CDC américain, Center for Disease Control, via des bourses de recherche. C’est le docteur Anthony Fauci, conseiller médical spécial du président américain et directeur du NIH, le National Institute of Health, qui supervisait et autorisait l’octroi de ces bourses de recherche. Il avait à plusieurs reprises souligné la dangerosité de telles recherches, mais aussi leur importance, à ses yeux…

Par ailleurs, c’est grâce à l’assistance de la France que le BSL 4 avait été construit en 2003, sous la présidence de Jacques Chirac et avec l’assentiment de son Premier ministre d’alors Jean-Pierre Raffarin, en dépit de craintes exprimées par les renseignements français selon lesquelles la Chine disposait d’un programme de guerre biologique et pouvait détourner les travaux du laboratoire à des fins militaires…

Ces soupçons avaient été renforcés en 2016 par une demande du gouvernement chinois pour des combinaisons de protection d’un niveau largement supérieur aux besoins officiels du WIV. La demande, qui avait été rejetée, avait été interprétée par le renseignement français comme la confirmation de l’existence, au sein de l’APL, d’un programme de recherche sur la guerre biologique.

Ce nouveau rapport, qui fait suite à un rapport préliminaire publié en septembre 2020, n’a reçu qu’une attention polie de la part des médias. Son principal auteur est un élu républicain du Texas, Michael Mc Caul. Ce qui est automatiquement suspect aux yeux du New York Times et autres médias « mainstream ». Mais un autre rapport sera remis au président Biden, rédigé par la Commission du Renseignement du Congrès. Il est quasiment acquis qu’il va corroborer la thèse d’une fuite du laboratoire WIV de Wuhan.

De telle sorte qu’il va devenir impossible à ceux qui le souhaitent de maintenir l’illusion d’une transmission accidentelle du virus via un quelconque marché ouvert. Ce qui pose plusieurs questions.

La première est celle de la responsabilité de la Chine dans ce qui est devenu une catastrophe sanitaire, économique et culturelle globale. À ce jour le Covid 19 a fait plus de quatre millions de victimes dans le monde dont six cent mille aux États-Unis et cent dix mille en France. Le nombre de morts augmente tous les jours. L’hebdomadaire britannique The Economist estimait récemment le coût économique de la pandémie à dix mille milliards de dollars, minimum. Le PIB global a reculé de 4,3% en 2020, contre une prévision pré-pandémie de 2,5% de croissance. Soit une perte réelle proche de 7%. Les effets de la pandémie continuent de se faire sentir et l’économie globale est loin d’avoir retrouvé sa vigueur d’avant la pandémie.

Or on sait que dans les premiers jours de la pandémie, la Chine a cherché à protéger sa réputation, en cachant la vérité, puis sa population, en interdisant les vols intérieurs au départ et à destination de Wuhan, mais qu’elle a autorisé les étrangers à rentrer chez eux sans aucun contrôle, rendant possible la propagation du virus partout dans le monde et globalisant une crise qu’elle aurait pu être seule à affronter…

Responsabilité oblige à réparations. C’est déjà ce que le président Trump avait à l’esprit au printemps 2020. Son successeur Joe Biden est beaucoup moins véhément sur le sujet. Mais il est évident que tôt ou tard les dirigeants de la planète devront avoir le courage de confronter Beijing sur le sujet.

Les médias n’y sont pas pour rien

La seconde question est celle du silence des médias sur la responsabilité chinoise. Une question qui renvoie à la fiabilité de l’information en général.

Tout récemment le magazine britannique The Spectator et le journaliste américain Tucker Carlson ont révélé que les responsables éditoriaux du New York Times, le plus grand quotidien américain, ont carrément refusé, au printemps 2020, d’enquêter sur l’origine du virus et la fameuse théorie de la fuite d’un laboratoire ! Une révélation ahurissante. À se demander ce que les responsables éditoriaux du NYT comprennent au journalisme… Le prétexte avancé fut qu’une telle investigation aurait donné du crédit à des « théories complotistes » ! La réalité est légèrement différente.

D’une part, ces investigations auraient surtout donné du crédit à des thèses soutenues par Donald Trump et l’Administration américaine de l’époque. L’hypothèse d’une fuite d’un laboratoire avait été évoquée dès le début de la pandémie, sinon par les journaux, au moins par les appareils de renseignement. En mai, le secrétaire d’État Mike Pompeo avait clairement indiqué que « les services de renseignement disposent de preuves convaincantes de la responsabilité du laboratoire du WIV dans la propagation du virus. » Personne n’avait suivi la piste, par crainte de donner la moindre crédibilité à une affirmation de l’administration. À six mois de l’élection présidentielle il ne fallait donner aucun gage à l’administration Trump et le NYT, comme beaucoup d’autres médias américains, s’était interdit de publier tout article pouvant être favorable à Donald Trump. Pour ne surtout pas favoriser sa réélection !

Par ailleurs le NYT avait passé d’importants contrats avec le gouvernement communiste chinois. Le NYT publiait régulièrement des articles non édulcorés, émanant de la propagande d’État. Comme par hasard, ces articles ont depuis été retirés de la plateforme du NYT en ligne… Mais ils rapportaient plusieurs millions de dollars par an au New York Times et en refusant d’enquêter sur la thèse de la fuite d’un laboratoire, le NYT a voulu protéger un gros client. Le problème est que ce client est un adversaire stratégique majeur des Etats-Unis, le pays où le New York Times est publié et lu. Le NYT s’est donc consciemment fait le relais de la propagande chinoise aux États-Unis. En contexte de guerre cela s’appellerait une trahison.

Qu’un quotidien comme l’Humanité ait cherché à protéger Moscou et le Stalinisme jusqu’aux derniers soupirs de l’Union soviétique, cela peut se justifier. C’était un engagement revendiqué. Mais qu’une source dominante officiellement neutre et impartiale soit, sans le dire, au service de l’idéologie adverse cela remet en cause la validité de toutes ses informations.

Lénine disait que les capitalistes vendraient aux communistes la corde pour les pendre. Le comportement du NYT, et d’autres, vis-à-vis du « virus chinois » est la preuve qu’il avait raison.

Gerald Olivier -14 août 2021 causeur.fr

Donald Trump appelait le Covid le «virus chinois». Avait-il tort ?© Johannes EISELE / AFP

Cet article a été publié pour la première fois le 5 août sur le blog “France Amérique” de Gerald Olivier http://geraldolivier.canalblog.com/archives/2021/08/05/39085153.html

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madredios

La Chine a gagné la 1° guerre bactériologique.
Elle a mis à plat TOUTES les économies du Monde.
La semaine suivant du début de la pandémie, la Chine a RACHETÉ toutes les actions des compagnies étrangères.
Respect Xi (2° degré).

Asher Cohen

Il est probable que le retrait américain d’ Afghanistan soit lié à cette guerre entre États-Unis et Chine. Celle-ci n’a pas hésité à immédiatement prendre position pour les Talibans, pourtant islamistes, contre les américains, et ce alors qu’elle persécute les Ouïghours musulmans sur son propre territoire. Il est flagrant que la Chine a gagné la première guerre bactériologique, elle maintient plus de 6% de croissance économique et est curieusement le seul pays au Monde à n’ avoir quasiment-pas de contaminés.

Maintenant, l’Amérique a quasiment bouclé ses frontières depuis le 15 mars 2020. Ils ont très rapidement mis au point une parade vaccinale. Il est probable que les américains se préparent à contre attaquer la Chine en la contaminant par un virus à eux.

Les Chinois vont probablement chercher à racheter toutes les dettes de pays européens, tels l’Italie, l’Espagne, et la France, afin de se placer en position de force et établir leur impérialisme sur l’Europe, qui est le ventre mou du Monde Occidental, et ainsi isoler l’Amérique au mieux. Maintenant, combien de temps va durer cette troisième guerre mondiale, et qui en sortira vainqueur, l’Amérique ou la Chine? Qui a la réponse ?

Richard Malka

En attendant Macron qui se dit en guerre contre le virus, fait la guerre à son peuple pour imposer ce passé sanitaire qui est un projet de l’europe veut depuis bien avant cette crise sanitaire.
On ne gagne pas une guerre contre son peuple mais avec son peuple.
Trouver la vérité et la dire couperai cour à tous fantasmes, manipulateurs et autres.
Mais dans un régime pervers, la confusion est le meilleur moyen de diviser pour mieux régner.
Entretenir la peur.
Quant aux tentatives de reprise des manifestations par des antisemites c’est du pain béni pour ce pouvoir.
Les idiots antisemites ont toujours été des loosers et le resteront, les dictatures ont toujours eu besoin d’eux pour cacher leur projets néfastes.
Macron Tsar de cette dictature Européenne ce n’est « pas mon projet «  c’est mon cauchemar.

Asher Cohen

Sauf erreur, la mission de l’Armée Française, financée par les impôts, est de protéger le Territoire National contre toute attaque étrangère, y compris bactériologique. Or, cette épidémie montre que cela n’a pas été réalisé. A quoi sert le contrôle de l’espace aérien français si l’on ne protège pas le pays contre les attaques bactériologiques ? Par conséquent, les généraux responsables de cette situation doivent être traduits en Conseil de Guerre et justifier le salaire que leur verse le contribuable pigeon.

Cette attaque bactériologique a déjà fait plus de 100.000 morts, soit autant que la débâcle de mai-juin 1940, seulement à l’époque, ce sont les Juifs qu’on à accusés de l’effondrement face à l’attaque allemande. On les a condamnés arbitrairement, emprisonnés, et même massacrés, la tactique classique du bouc émissaire.

L’autre responsable manifeste est ce Conseil, prétendu scientifique, dont le Président Delfraissy, censé avoir 50 ans d’expérience en immunologie, n’a même pas organisé des équipes de recherche, ni la mise au point de vaccins et traitements pour protéger la population.

Bilan des courses, nous vivons dans un pays où le citoyen doit trimer pour raquer les impôts et taxes, afin de financer l’armée et les prétendus scientifiques, et finalement être tué par défaillance de ces institutions parasites de la Société Civile. Que peut demander le Peuple avec tout cela?

Damran

Les Chinois consomment depuis des siècles, toutes sortes d’animaux bizarres, sans que cela ne provoque de pandémies d’envergure sur toute la planète.
La CIA a fourni en 2020, une analyse détaillée sur ses recherches, et a conclu qu’un être humain ne pouvait pas être à l’origine de ce genre d’épidémie mondiale.
Actuellement, les officiels chinois attribuent la covid 19 à des marins américains qui ont fait une escale à Wuhan, et qui auraient contaminé la population de cette ville.
D’après certaines déclarations, plus d’un milliard de chinois auraient été vaccinés, mais là encore, l’opacité totale et la désinformation règnent dans la grande dictature de Xi Jinping.
Comment ne pas rappeler le rôle de l’OMS qui a reçu plusieurs millions de dollars de la Chine, qui a fait des déclarations hasardeuses, sans parler de ses « enquêtes » ridicules qui ont été menées sous la conduite d’officiers chinois ?
TRUMP a été le seul dirigeant de la planète à avoir qualifié la pandémie de « virus chinois » et il envisageait de faire payer la Chine pour sa responsabilité dans l’un des plus grands désastres de l’histoire des hommes.
Comment accepter que les plus grands médias américains refusent de mener des études sérieuses sur cette pandémie, sous prétexte que les résultats risquent de donner raison à TRUMP qu’ils détestent, après qu’ils l’aient lynché quotidiennement durant son mandat ?
Les Etats-Unis, sous la conduite de Joe la marionnette ventriloque actionnée par l’ordure Obama et sa clique, sont en pleine décomposition, écrasés par les médias qui ont pris le pouvoir, en compagnie des réseaux sociaux devenus le Tribunal Planétaire de la Pensée….

Filouthai

Jean Pierre Raffarin, un grand ami de la Chine ….. et des petites chinoises ….

Asher Cohen

Cette pandémie ne peut-pas être comprise en dehors du contexte géopolitique mondial.

La Chine est devenue la première puissance économique mondiale. Sur 800 millions de population active, elle affiche un taux de chômage inférieur à 3,5%, et un taux de pauvreté inférieur à 0,5%, ce qui est impressionnant. Avec des taux de croissance toujours supérieurs à 6% annuels, elle connait une période équivalente aux 30 glorieuses françaises. Pour éviter une stagnation économique, et de retomber dans un équivalent des 30 piteuses françaises, voire dans les famines des années 1950, elle est obligée de trouver des débouchés étrangers pour maintenir son industrie et le niveau d’emploi. Trump l’avait compris et a établi des mesures protectionistes pour préserver l’emploi aux États-Unis. En 2019, il avait obtenu le quasi-plein-emploi pour l’ Amérique, et sans la crise sanitaire, il aurait été réélu haut la main. Le problème est que les Chinois, perdant le profitable marché américain, ont alors contre-attaqué par la guerre bactériologique. C’est là où j’insiste, la pandémie n’est-pas accidentelle mais intentionnelle, et comme un virus produit de la main de l’homme ne peut-pas varier naturellement, les prétendus variants sont eux-mêmes produits en laboratoire militaire. Les Chinois ont déjà gagné en faisant tomber Trump, mais Biden maintient la méme politique. Nous vivons donc une troisième guerre mondiale qui durera tant que les Chinois n’auront-pas établi leur impérialisme à la place des États-Unis, et asservi le Monde à leur industrie, leur monnaie et leur économie.

Pour la France, il y d’emblée 2 coupables de cette récession :
-d’abord l’ Armée, théoriquement financée par le Peuple pour défendre la Nation contre les attaques bactériologiques de l’étranger. Quand Macron dit « nous sommes en guerre » et qu’il n’hésite pas à utiliser l’Armée pour subvenir aux défaillances des hôpitaux publics, il a parfaitement compris ce qu’il se passe. l’Armée Française n’avait-pas prévu de cellule de veille sanitaire pour parer à toute attaque bactériologique de ce type.

-l’autre coupable c’est le Conseil Scientifique qui une fois nommé, n’a pas lancé des équipes de recherche, ni élaboré la moindre stratégie de lutte contre cette épidémie.

Enfin, je n’insiste-pas sur le ridicule d’un général français qui hurle que « Si les Chinois nous attaquent bactériologiquement, nous les bombarderons nucléairement ». Les Chinois ont réellement attaqué bactériologiquement et qu’a fait l’Armée Française en réponse?