Coronavirus : « L’hydroxychloroquine n’est pas efficace et la combinaison avec de l’azithromycine augmente la mortalité », explique le chercheur Nathan Peiffer-Smadja

INTERVIEW Après bien des débats et des études contradictoires, une méta-analyse paraît ce jeudi, montrant que l’hydroxychloroquine n’est pas efficace, et son association avec l’azithromycine dangereuse

Propos recueillis par Oihana Gabriel

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Illustration d'une plaquette de Plaquénil, qui contient de l'hydroxychloroquine.
Illustration d’une plaquette de Plaquénil, qui contient de l’hydroxychloroquine. — SYSPEO/SIPA
  • Un article, qui paraît ce jeudi dans Clinical Microbiology and Infection, montre, en analysant 29 études, que la fameuse hydroxychloroquine n’a pas d’effet sur les patients Covid-19.
  • Par ailleurs, pour la première fois, ces travaux dévoilent que le cocktail hydroxychloroquine + azithromycine augmente le risque de mourir.
  • Nathan Peiffer-Smadja, un des auteurs de cette méta-analyse, nous explique pourquoi il s’agit d’une étape importante.

Jamais (sans doute) les Français ne s’étaient autant pris de passion pour des molécules aux noms complexes. Faut-il prendre de l’hydroxychloroquine avec de l’azithromycine face au coronavirus ? Après de nombreux rebondissements, une étude, qui paraît ce jeudi dans Clinical Microbiology and Infectionpourrait (encore) relancer le débat. Ou le clore.

Selon cette méta-analyse, prendre de l’hydroxychloroquine contre le Covid ne sert à rien. Pire, prendre le cocktail hydroxychloroquine + azithromycine augmente le risque de mourir. L’un des auteurs de cet article, Nathan Peiffer-Smadja, infectiologue à l’Inserm, nous explique pourquoi cette publication devrait attirer l’attention.

Portrait de Nathan Peiffer-Smadja, infectiologue à l'Inserm.

Question méthodologie, comment avez-vous réalisé cette méta-analyse ?

Nous avons suivi une méthode très précise en lançant des recherches par mot-clé sur plusieurs bases de données, pour en extraire tous les articles sur le sujet. Puis nous avons sélectionné 29 études, avec 12.000 patients contrôles, 8.000 patients traités par hydroxychloroquine + azithromycine, et 11.000 traités par hydroxychloroquine.

Nous l’avons soumis à publication dans une revue scientifique internationale ; l’éditeur en chef du journal ainsi que deux « reviewers » ont relu notre étude. Je précise cela parce qu’il y a eu, ces derniers mois, des articles diffusés dans les médias avant d’être relus par les pairs et validés pour publication.

Quel est le résultat de votre étude ?

Nous avons comparé des groupes de patients traités par hydroxychloroquine, par hydroxychloroquine et azithromycine, et des groupes témoins, qui n’avaient reçu aucune de ces molécules. On en tire deux gros résultats. Le premier, c’est que l’hydroxychloroquine n’est pas efficace pour traiter le Covid-19. Autre résultat majeur : l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine augmente la mortalité. Dans le détail, le risque de mourir augmente de 7 % de manière absolue, et il est accru de 27 % de façon relative. C’est-à-dire que si un patient a un risque de 10 % de mourir [en fonction de ses pathologies, antécédents, mode de vie…], il va avoir 12.7 % de risque de mourir avec ce traitement.

Cela veut-il dire que l’hydroxychloroquine seule n’est pas dangereuse ?

L’hydroxychloroquine n’augmente pas la mortalité. Mais trois essais randomisés contrôlés, la meilleure façon d’évaluer l’efficacité, dévoilent que les effets secondaires augmentent : davantage de diarrhées, de problèmes cardiaques ou d’hépatiques.

Il y a déjà eu beaucoup d’études sur ce traitement, et même une méta-analyse. En quoi vos travaux sont-ils nouveaux ?

La dernière méta-analyse résumait 8 études (contre 29 ici) et était précoce, sans essai contrôlé randomisé. Elle était donc moins robuste que celle-ci. Surtout, nous sommes les premiers à prouver que cette combinaison augmente significativement la mortalité des patients Covid-19.

Qu’est-ce que cela change pour la recherche d’un traitement contre le coronavirus ?

Ce que ça change, c’est déjà pour les patients : on ne doit pas utiliser l’hydroxychrloroquine pour traiter le Covid-19. Et on doit absolument éviter l’association hydroxychloroquine et azithromycine. C’est cohérent avec ce qu’on pensait, mais là, on a une preuve scientifique. En effet, ces deux traitements allongent l’intervalle QT (le délai entre les ondes Q et T) du rythme cardiaque, donc on augmente le risque de trouble grave. D’autant plus que le Covid provoque des atteintes cardiaques.

Cette étude est définitive. Ce traitement a fait beaucoup débat… C’est assez terrible, car cela a freiné la recherche clinique sur d’autres traitements et mis en danger des gens. Pour le moment, on n’a pas de traitement efficace contre cette pathologie. On sait seulement que, dans des formes pulmonaires sévères, l’utilisation de corticoïdes est efficace. Et c’est un essai clinique randomisé qui l’a montré !

Sait-on si cette augmentation du risque varie selon l’âge du patient ?

Il n’y a pas de différence majeure, ni selon l’âge et la comorbidité du patient, ni selon la dose utilisée du traitement. Mais ces données n’étaient pas forcément fournies par les études menées.

Une étude observationnelle belge vient de dévoiler que l’hydroxychloroquine à faible dose aurait un effet sur la mortalité. Le débat n’est donc pas clos ?

Dans cette étude belge, comme pour celles de l’équipe du Pr Raoult, les gens traités par hydroxychloroquine sont plus jeunes, ont moins de comorbidités et ont reçu plus de corticoïdes que dans le groupe témoin. Dans les études observationnelles, on reprend des données de patients traités pour générer des hypothèses. Mais ce qui permet de trancher une décision thérapeutique, ce sont les essais randomisés et les méta-analyses, sommet de la pyramide de la médecine fondée par les preuves.

Une étude française parue en juin avançait que l’hydroxychloroquine permettrait une réduction du délai d’hospitalisation. Est-ce un aspect que vous avez exploré ?

Non. Mais sur les sept essais randomisés sur l’hydroxychloroquine seule, aucun ne conclut à une baisse du délai d’hospitalisation, et une étude anglaise conclut même à une augmentation de la durée d’hospitalisation.

L’hydroxychloroquine a fait l’objet d’un débat intense en France, notamment autour du Pr Didier Raoult. Que dire aux Français qui doutent ?

Il faut faire confiance aux instances et aux études de qualité plus qu’à une personne. La problématique a été focalisée sur un traitement, alors que la vraie question, c’est la démarche d’évaluation. Et c’est la même pour toutes les molécules. Didier Raoult a fait une évaluation non rigoureuse. Pour savoir si un traitement marche ou pas, il faut se donner le temps de l’évaluation. Sinon, on risque de mettre en danger les gens. Il faut donc des essais où l’on tire au sort des patients qui ont le « traitement candidat » et d’autres non.

Ce bras de fer autour d’un traitement est-il exceptionnel ?

Ce qui est vraiment exceptionnel, c’est à quel point le public s’est emparé de ces questions. Certains leur ont fait croire que c’était à eux de choisir leur traitement. J’ai participé à des essais thérapeutiques en Guinée sur Ebola , et personne ne s’est mis à dire « il faut telle molécule ».

Ce que j’avais déjà observé, par contre, c’est une remise en question de la démarche scientifique, voire des essais cliniques. Certaines personnes estiment qu’on ne peut pas tirer au sort des patients. C’est vrai qu’il y a des pathologies très mortelles (comme Ebola, avec 80 % de mortalité), pour lesquelles on ne va pas tirer au sort entre un traitement et rien, mais entre deux traitements. Pour le Covid-19, un patient diagnostiqué a 1 % de risque d’être hospitalisé. Il faut donc être très exigeant sur la tolérance et l’absence de toxicité de la molécule.

Les chercheurs ont-ils besoin de mieux communiquer auprès du grand public ?

Evidemment. Les outils de démarche scientifique rigoureuse sont indispensables, mais on a absolument besoin d’une bonne communication, et cela a manqué ces derniers mois. Le coronavirus a révélé que beaucoup de gens ne comprennent pas ce qu’on fait. Les choix thérapeutiques à l’hôpital se font sur la base de ces études. Il faut qu’on travaille pour nouer un lien entre la recherche médicale et le grand public.

20minutes.fr


Covid-19 : les anti-hydroxychloroquine et une certaine science française sont-ils tombés bien bas ?

 Publié le 28/08/2020 à 11:49 – Mise à jour à 15:25
Covid-19 : les anti-hydroxychloroquine et une certaine science française sont-ils tombés bien bas ?

jacqueline macou

Auteur(s): Le Collectif Citoyen pour FranceSoir

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Nous attendons de la science française des articles de fond sur l’explication du virus et de la Covid-19 comme tous les autres pays en publient, hors des essais cliniques sur tel ou tel médicament. Il eut d’ailleurs été appréciable que le ministère de la Santé ou l’INSERM (institut national de la santé et de la recherche médicale) recense ses études, les analyse, les commente et publie un tableau résumé avec un langage compréhensible pour le commun des mortels.  Ce rôle a été enfin rempli par l’IHU du professeur Raoult qui publie en temps réel une méta-analyse des études sur son site internet.

A ce jour les 2 annonces au plus haut niveau de cette dernière a été une « annonce » par le Directeur des AP-HP sur « l’efficacité du tocilizumab « qui a entrainé la démission collective du comité supervisant cette étude qui contredisait l’étude du fabricant Roche et l’étude Discovery qui a « disparu des radars » malgré de maintes promesses y compris de la présidence de la République sur des résultats début mai 2020.

Aussi pourquoi s’étonner d’une seconde étude de « potaches » franco-suisse aux « ras des pâquerettes »

Les auteurs : ils sont 6

2 sont de jeunes PhD, et un thésard Suisses (dont le classement  n’est pas parmi les meilleures : Universités Médecine de Genève- Zurich-Bale- Berne). Leurs thèses portent sur les végétaux (2) et la biodiversité du sol (1).  (Anthony Guihur  Biologie Moleculaire des plantes et médecine, Université de Lausanne, Mathieu Rebeaud Biologie Moleculaire des plantes et médecine, University de Lausanne, Matthieu Mulot  Biodiversité des sols University of Neuchâtel)

Pourquoi et comment ont-ils abouti dans cette publication sur l’hydroxychloroquine restera un mystère, sauf à croire qu’il fallait donner une « couleur internationale à l’étude », après que ces mêmes personnes se soient illustrées dans une étude canular parue la semaine passée. De plus certains auteurs publient d’autres études dans la revue, Frontier, considérée comme prédatrice.

2 sont des thésards de Paris-Sud (1ère et 3ème année) dont les thèses sont sur l’alimentation et les polluants et sur l’alimentation et les cancersThibault Fiolet, Inserm Epidémiologie et santé de la Population Health, Yahya Mahamat-Saleh CESP INSERM.

Le dernier Nathan Peiffer-Smadja INSERM, Imperial College UK et Hopital Bichat Claude Bernard, APHP, est principalement un militant « résident » (Interne en français) chez AP-HP dont l’activité depuis 2010 n’est pas claire.  Son acte principal récent a été de promouvoir une pétition non aboutie (3261 signataires contre 5000 attendus en deux mois) contre le Dr Perronne.  De plus c’est un étudiant lié à  Yazdan Yazdanpanah, un des membres du Conseil Scientifique et historiquement proche du laboratoire Gilead.  Ce même labo est fabriquant du médicament Veklury/remdésivir, récemment approuvé par l’Agence du Medicament Européenne (EMA),  pour lequel se pose des questions sur de graves effets secondaires et aucun effet thérapeutique sur la vie des patients.  Pour finir sur Nathan Peiffer Smadja travaille aussi à l’Imperial College, université largement financée par Bill Gates. Or il n’a déclaré aucun conflit d’intérêt institutionnel

Au mieux cette publication est un « second canular » de thésards, au pire, mais nous ne pouvons y croire, l’AP-HP et l’INSERM auraient délégué la « sale besogne » à des 3ème couteaux.

En tout état de cause pas un des 6 auteurs n’a apparemment la moindre connaissance universitaire (ne parlons même pas de pratique) sur la Covid-19 ou sur l’hydroxychloroquine, en fait aucun d’eux n’a seulement commencé à travailler.

La méthode

L’étude se veut une « méta-analyse » sur le lien entre hydroxychloroquine et décès. A ce titre les auteurs ont pris en considération quelques études scientifiques, publiées ou non,  portant sur des patients atteints de Covid-19 et des traitements à base d’HCQ.

Au total 829 articles ont ainsi été identifiés. Et 29 ont été retenus sur 829, sans qu’il soit dit à un seul instant quels étaient les critères d’exclusion des 800 autres. Curieusement et par ailleurs, il est écrit que sur 829 articles, 564 ont été exclus (sans explication) et que 29 ont été retenus sans que l’on sache ce que sont devenus les 236 autres. 

On apprend par ailleurs que, de l’aveu même des auteurs, la grande majorité des études ont des biais.

Autrement dit, les auteurs disent qu’ils n’ont trouvé aucun papier sans biais pour supporter leur étude. La conclusion de l’étude reste donc double

  • Tous les articles sur l’HCQ à ce jour sont biaisés
  • Cette étude n’a donc aucune valeur par construction

En outre il manque les deux dernières études belge et italienne parues cette semaine qui ont fait l’objet d’un article précédent et qui concluent à l’efficacité de l’hydroxychloroquine.

L’étude

L’étude n’apporte rien de nouveau puisqu’il s’agit juste d’un calcul scientifique agrégeant 29 études passées, se contentant de faire « la moyenne des moyennes » de travaux antérieurs. Les études observationnelles à ce jour agrégeaient des données d’hôpitaux et de patients.

Et pour cause, les auteurs n’ont pas vu un patient et n’ont pas accès aux données des patients.

Ces « potaches » ont inventé la méta-analyse des méta-analyses

La beauté, ou la naïveté ou l’aveu sont décrits dans la section « qualité de l’étude » selon les auteurs mêmes : Sur les 29 études retenues les auteurs reconnaissent que 14 ont des biais modérés ou sévères, 11 ont des biais critiques, une autre a un biais de sélection et trois ont des « problèmes ».

Ils s’essaient à expliquer dans leur annexe les biais des études sans rentrer dans le détail des éléments importants comme le dosage ou la période d’administration ou tout simplement le type de patients à qui on a administré le traitement.

Les auteurs reconnaissent que les 29 articles retenus (sur 829) sont tous biaisés, tout en omettant leur propre biais de sélection (les auteurs sont auto-proclamés contre l’hydroxychloroquine et contre le Pr Raoult et multiplient les attaques ad hominen sur internet), ou de confirmation.  Il est même étonnant qu’aucun de leur directeur de thèse ne se soit penché sur ces éléments-là, ce qui amène des questions et un certain discrédit sur les méthodes, process et contrôle au sein des organismes de recherches menant à la publication d’articles.

En outre les auteurs remercient un certain Dominique Meroux Data Scientist chez Ford pour la relecture du manuscrit ainsi que Drifa Belhadi ingénieur de recherche à l’hôpital Bichat APHP

Les résultats

L’étude se résume à faire tourner des outils logiciels et statistiques sur des travaux et études antérieurs.  Il n’y a pas un seul patient de nouveau et rien de plus à ce que l’on sait déjà.

4 points principaux :

  • Quel que soit la qualité de l’outil logiciel, s’il tourne sur 29 articles et que les auteurs reconnaissent que ces 29 articles ont tous des biais sérieux, à l’évidence « garbage in , garbage out ». Au moins c’est écrit dans l’article. Cependant ce biais important aurait dû attirer l’attention de la bio statisticienne ou du data scientist ayant revu l’article. Le garde-fou du relecteur pour éviter le biais d’expert ou de confirmation n’a visiblement pas fonctionné.
  • L’étude ne faisant qu’agréger des résultats antérieurs, à l’évidence elle se contente de « faire  la moyenne des moyennes » sans vérifier pour autant si les études choisies n’avaient pas elle-mêmes des problèmes avec ces agrégats mathématiques.
  • Il suffisait de donner les liens des 3 ou 4 études aux plus larges échantillons (Recovery, Lancet) et le lecteur en savait déjà 10 fois plus.
  • La vérification : Les auteurs reprennent les données de certaines études ayant des dosages différents sur des patients aux comorbidités différentes.  Rien que cela aurait dû faire l’objet d’une vérification de la part des relecteurs ou même des directeurs de thèse de ces étudiants).  Il ne reste qu’à poser la question à ces personnes sur leurs rôles.  Il est impensable que le garde-fou d’un médecin ayant vu des malades Covid-19 n’ait pas fonctionné quand on mélange des patients atteints de cancer avec des patients plus légers ou tout simplement des patients n’ayant même pas été diagnostiqués positifs à la Covid-19.  Ce n’est plus la tempête de cytokines qui affecte le patient, mais les auteurs sont visiblement affectés par une « tempête des bêtises » qui les asphyxie et les empêche de voir la lumière.  Ou tout simplement par un manque d’expérience ou plus simplement de l’incompétence.

En outre les résultats sont entachés d’erreurs qui ont été identifiées par la communauté d’experts qui joue un rôle citoyen de garde-fou.

Ce que ces citoyens scientifiques, qui veillent sur la toile, ont identifié est très grave et montre plus encore l’incompétence de ces auteurs : les chiffres utilisés pour leur méta-analyse ne sont pas pour certains les intervalles ajustés, ce qui scientifiquement discrédite complètement cet article.

Contactés par la rédaction de FranceSoir, Yazdan Yazdanpanah n’était pas disponible pour répondre, pas plus que l’auteur T. Fiolet de l’étude.

Que des potaches sans compétence sur le sujet « s’amusent » à des publications qui n’apportent absolument rien en faisant tourner des logiciels sur les travaux des autres, ce n’est déjà pas glorieux scientifiquement parlant, et la question qui viendra à l’esprit de tous :  est-ce que tous les thésards travaillant sur des thèses n’ayant rien à voir avec la Covid-19 ont du temps de libre ?

Mais en sus, le faire sur ce sujet actuel Covid 19 est un manque de dignité, de courage et de conscience envers les patients du Covid-19 et les scientifiques qui eux font les vraies recherches.

Et nous n’osons imaginer qu’ils aient été instrumentalisés par les entités qui les hébergent.

Que L’express, Le monde, BFM et bien d’autres médias se laissent abuser par un tel article pose également question sur les motivations de ces chercheurs et le rôle de ces médias dans cette cabale avérée des traitements à base d’hydroxychloroquine. Verra-t-on les services de validation des info les newsguard, decodeurs, checknews aller à l’encontre des informations publiées dans leur propre média ?  A qui profite la désinformation sélective ? Sortir de ce biais ne sera pas chose facile.

Si l’on peut se permettre le grand révélateur de cette crise est l’intelligence collective qui est à la fois un garde-fou de la pensée unique mais en même temps une arme des plus puissantes contre la désinformation.

francesoir.fr/societe-sante

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8 Commentaires
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Soliloque

Harcèlement contre le traitement du Pr Raoult: ce qui est grave c’est que tout ce charivari a conduit à l’interdiction de l’utiliser alors qu’il n’existe aucun autre traitement efficace reconnu comme tel. Les malades sont réduits à l’aspirine ou à quoi? Absurde!

Soliloque

Harcèlement contre l’hydroxichloroquine et Raoult: ce qui est grave, c’est que tout cela a mené à une interdiction d’utiliser ce médicament, révélé efficace selon le témoignage de ceux qui l’ont pris, alors qu’il n’existe aucun autre remède efficace reconnu comme tel: ceux qui ont contracté le virus sont réduits à l’aspirine, ou a voir s’accroître leurs symptômes. Absurde !

Soliloque

Combien sont-ils payés pour affirmer ces âneries ? Ce n’est plus un secret : tout le monde sait maintenant que l’Inserm est liée aux labo et aux media soi disant scientifiques, qui tiennent à conserver leurs privilèges. Ils sont devenus des tyrans qui font la loi. Il est triste de voir autant de nos correligionnaires trempés dans ces saloperies. L’antisémitisme a de beaux jours

Marie AUTESSERRE

L’art de la manipulation des données pour arriver à ses faims (la soupe est bonne) : https://www.mediterranee-infection.com/meta-analyse-un-vrai-tour-de-cartes/

Elie

et moi j’apporte tout simplement le témoignage d’un ami et de sa femme soignés à marseille par hydroxychlorokine et il sont guéri : leur état a été en s’améliorant au fil des jours , mon ami qui était dans le coma pdt plus de 1 mois, avait des vertiges au début de sa guérison et aprés 1 mois, ils ont disparu au point qu’il a pu reprendre le volant, malgré son age de retraité à 72 ans !
alors que nous dit la fameux ‘chercheur’ anti-Raoult ? un hasard ?

Moshe

Comme Edmond Richter, Scepticisme à haute dose !!!

Voici un petit extrait d’un article de France soir que je viens de lire.

« Au mieux cette publication est un « second canular » de thésards, au pire, mais nous ne pouvons y croire, l’AP-HP et l’INSERM auraient délégué la « sale besogne » à des 3ème couteaux.
En tout état de cause pas un des 6 auteurs n’a apparemment la moindre connaissance universitaire (ne parlons même pas de pratique) sur la Covid-19 ou sur l’hydroxychloroquine, en fait aucun d’eux n’a seulement commencé à travailler. »

Avant d’en penser quoi que ce soit, laissons le Pr Raoult réponde une fois de plus a ses détracteurs.

Edmond Richter

Scepticisme à haute dose!!! Après le scandale du Lancet…Je souhaite une confrontation entre Nathan Peiffer-Smadja et Didier Raoult