Obama a (Hollande et Fabius ont) choisi le déshonneur et Israël aura la guerre
L’accord nucléaire -présenté de façon trompeuse au monde comme le moindre mal – a permis à l’Iran de devenir plus riche et d’étendre son influence dans la région. A présent, Téhéran s’empare de la Syrie et l’ennemi distant se rapproche sans entrave d’Israël.
L’Iran s’empare de la Syrie. L’ennemi distant se rapproche. Les Etats-Unis sont hors du tableau. Ceux qui ont cru bon d’accorder leur confiance dans le nouveau shérif mondial, Donald Trump, doivent admettre qu’il apparaît bien plus préoccupé par ce que pensent les médias américains de ses derniers tweets que par l’impérialisme iranien. C’est ainsi qu’il est.
Netanyahu a dû, à nouveau, se rendre chez Vladimir Poutine cette semaine pour un nouveau cycle de pourparlers avec le dirigeant russe au cours de ses vacances à Sotchi. Difficile de savoir si Poutine cherchera à stopper ou limiter la menace iranienne. Il est cependant clair qu’il est le seul avec lequel cela vaille la peine d’aborder le sujet.
Daesh est sur le point d’être vaincu sur le terrain. Au cours de l’année dernière, les combattants ont été chassés de Mossoul en Irak et dans l’année à venir, probablement, ils seront aussi expulsés de Raqqa en Syrie, la capitale du Califat. Le problème est que l’alternative à Daesh sur le terrain – l’Iran et le Hezbollah – est au moins aussi mauvaise sinon pire.
Le renforcement et l’expansion de l’influence iranienne ont été rendues possibles, entre autres, à cause de l’accord nucléaire. Les nations européennes ne se sont pas fait prier pour aller courtiser le pays qui venait d’obtenir le sceau d’approbation d’Obama, Kerry et leurs comparses. L’essentiel des sanctions a été levé.
L’Europe s’est précipitée à plat ventre pour renouveler les accords massifs et les achats de pétrole. Au cours des cinq mois qui ont fait suite à la suppression des sanctions, les exportations iraniennes – excepté le pétrole- ont grimpé de 19 milliards de $. La production de pétrole est montée en flèche, d’une moyenne de 2, 5 millions de barils par jour durant les sanctions, à près de 4 millions de barils/jour au cours des derniers mois. Les milliards d’argent frais ont augmenté parallèlement.
Nombreux parmi les chefs de file de l’appareil de la défense en Israël, à la différence de Netanyahu, ont déterminé que cet accord nucléaire était le moindre mal. Ses avantages, ont-ils prétendu, surpassent ses inconvénients.
J’ai bien peur qu’ils n’aient eu tort. La menace iranienne était double : mener simultanément de développement des armes nucléaires et la subversion régionale. Il est possible qu’il puisse y avoir un déclin temporaire de la première menace. La deuxième forme de pression, pendant ce temps, peut se donner libre cours pour continuer d’amplifier. L’Iran brouille les cartes : il dispose de milices affiliées au Yémen; il combat en Irak et le transforme en dominion sous protectorat ; la Syreie devient également une province sous protection ; et le Liban est, depuis longtemps à présent, sous le contrôle de son supplétif du Hezbollah.
Entre l’Iran et Israël, il existe à présent un couloir territorial en expansion croissante sous contrôle iranien et la nation chiite projette de bâtir un port maritime en Syrie et sans doute aussi un aéroport militaire.
Cela ne s’est pas produit à cause de l’accord nucléaire, mais il ne fait aucun doute que l’accord nucléaire a servi à étoffer l’Iran et ses aspirations nucléaires.
Obama et Kerry ont réussi à leurrer la communauté internationale en général – et l’opinion publique américaine en particulier – en prétendant que la seule alternative à l’accord serait la guerre. Ce n’est pas vrai. L’alternative consistait à poursuivre les sanctions et à imposer des sanctions supplémentaires encore plus dures et donc dissuasives. Alors seulement il aurait été possible de négocier avec ses deux menaces. A présent, c’est trop tard.
La plupart du temps, la conduite de Netanyahu s’est avérée appropriée. Il a été de ceux qui ont fait pression pour qu’on impose des sanctions à l’Iran. Il a stimulé la communauté internationale à passer à l’action.
[Nous ne partageons pas sur le point suivant, l’avis de Dror Yemini : en substance, il exprime qu’en lâchant du leste sur un dossier palestinien où Abbas s’est entêté à rester en retrait, profitant des pressions d’Obama sur Israël, il aurait pu négocier une meilleure entente avec lui sur le dossier iranien : c’est une pure illusion d’optique fondée sur une nouvelle vue de l’esprit. Obama voulait faire plier Netanyahu et rouler Israël dans la farine sur les deux dossiers, sans distinction. Il s’est dédouané auprès de l’électorat en évitant, la plupart du temps, de toucher à la coopération militaire- sauf cas notable, face au terrorisme du Hamas, où Obama a fait en sorte de suspendre les livraisons missiles Hellfire à un moment où l’arsenal de Tsahal arrivait à court. Preuve s’il en est de sa préférence très nette pour redonner des points et de la respiration au terrorisme islamique, plutôt qu’aux intérêts sécuritaires de l’allié israélien. Alors que dire de son inclination envers « Président » fantôche de l’Autorité Palestinienne?
Mais, à un certain point, quelque chose a mal tourné. L’opposition avec l’Administration Obama est devenue frontale sur deux dossiers sensibles et actuellement, l’Administration Trump est marquée par la même indécision chronique et la même incapacité à agir que celle qui l’a précédée].
La Grande-Bretagne, disait Winston Churchill, « a eu le choix entre la guerre et le déshonneur. Vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre ».
Plus le temps passe et plus il devient d’autant plus visible qu’Obama et ses acolytes européens ont choisi le déshonneur. L’Iran devient une puissance régionale et mondiale et Israël devra en payer le prix par une autre guerre programmée par l’Occident.
Attention mes amis , nous ne sommes plus en 1967 les pays arabes et l’Iran se sont armés et vouloir la guerre serait la pire chose pour Israel. Il va falloir faire la paix d’une manière ou d’une autre . Ne donnons pas les pleins pouvoirs militaires à Bibi, ce serait une erreur grave, il serait capable de bombarder l’Iran et cette fois ci la réponse pourrait être terrible pour nous
A la différence des annees 1940, il y a Israël, et la résistance de ce courageux pays conduit par des hommes forts tels que Bibi, fera que tout les collabos seront vite mis au pied du mur par l’islamo fachisme qu’ils ont laissé s’installer physiquement et/ou ideologiquement au sein de leur propre population.
C’EST PAS OBAMA QU’IL S’APPELE CE (…) MAIS PLUTOT LE SUPPOT DE SATAN.IL CACHAIT BIEN SON JEU ET A TOUT FAIT POUR AVANTAGER LES MUSULMANS COMME LUI.D’AILLEURS DANS LE TALMUD,IL EST MENTIONNE SANS PRONONCER SON NOM.IL N’A PLUS QU’A RETOURNER DE LA OU IL VIENT,DE L’ENFER.
Il en a tellement fait qu’il ne s’appelle pas OBAMA, mais OBAMOT, ou OBEHEMOT
Vous avez omis, dans la fameuse phrase attribuée à Winston Churchill « vous aurez le déshonneur ET la guerre », de souligner que cette phrase était destinée à la France, laquelle, bien qu’elle ait choisi la collaboration avec l’ennemi nazi, a quand même eu la guerre.
Il y a énormément de similitudes entre les années 40 qui virent s’établir la collaboration de la France avec les nazis, et les années que nous vivons actuellement, où l’Etat français se comporte comme en 40 et collabore, cette fois, avec les islamistes, à visage découvert, revendiqué. La Presse, les médias et la Justice suivent le même mouvement. L’Etat via la Justice muselle les plus courageux, les patriotes, empêche toute parole ou écrit susceptible de « froisser » les musulmans qui, eux, bénéficient de tous les droits : celui de « niquer » officiellement la France, de brûler son drapeau, de menacer ou agresser les Français « de souche » sans craindre la police ou la Justice.
bravo pour votre commentaire
Obama a mis en place les conditions d’une guerre thermonucléaire, car devant la puissance de l’Iran que les US n’ont pas su freiner quand c’était possible, comment Israel, un si petit pays pourrait-il se defendre ?
Que le seigneur, protege Israel, car comme il est dit chez nous: hachem hakol yakhol (D. peut tout)