PHOTOS :  (selfie) auto-allumage. Un lanceur de bombe incendiaire palestinien se met en flammes. L’incendiaire incendié.

PS : si certains ont voulu construire le mythe du « petit Mohammed » comme le symbole de la 2ème Intifada, on vient de connaître le lauréat palestinien de celui de la présumée « 3ème » : Mahmoud le Fambeur! Au-delà de l’aspect cocasse, devenu un classique du cinéma muet (« l’arroseur-arrosé »), cet épisode, dans sa symbolique est, en effet, des plus intéressants : A force de jouer avec le feu, ce palestinien n’a t-il pas vendu la mèche? Car, n’est-ce pas toute la cause palestinienne qui est à l’image de ce « martyr » palestinien de sa propre maladresse (voir : Abba Eban : les Arabes ne manquent jamais une occasion de manquer une occasion…)? Mais à quoi bon, Mahmoud (Abbas) jeter de l’huile sur le feu…? 

Un étudiant palestinien de l’université d’Hébron prend feu au moment de lancer un cocktail-Molotov contre les forces de l’ordre israéliennes à Hébron. Dans le même temps, Tsahal mentionne un déclin dans l’intensité des heurts dans la Bande cisjordanienne de Judée-Samarie.

Les photos d’un étudiant palestinien de l’Université d’Hébron, qui s’est lui-même incendié après avoir tenté de lancer son cocktail-Molotov contre les forces de sécurité, ont fait le tour des réseaux sociaux au cours de ces dernières 24h.

L’accident est survenu au cours d’affrontements avec Tsahal et la Police des Frontières, quand les émeutiers palestiniens ont bloqué l’entré nord d’Hébron avec de gros rochers et des pneus en flammes.

Plusieurs autres manifestants ont essayé d’aider le jeune homme, mais son actuel état physique n’est pas connu.

 

Photo: AFP
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Alors que la gravité des attentats terroristes à l’intérieur de la Ligne Verte a atteint de nouveaux pics, mardi, Tsahal mentionne une baisse de plus de 50% dans la quantité d’émeutes dans la Bande cisjordanienne de Judée-Samarie, entre le 9 et le 12 octobre.

Photo: EPA
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Selon les données diffusées par l’armée, mardi, il y a 19 points de friction dans la bande cisjordanienne de Judée-Samarie, lundi. Comparativement, le 9 octobre – au plus fort des affrontements entre Palestiniens et troupes israéliennes, il y avait 52 points de friction.

 

Photo: AFP
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Photo: AP
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Photo: Reuters
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Tsahal a commencé à notifier le nombre de points de friction au début de l’actuelle vague de violence – le 1er octobre, le jour où Eitam et Na’ama Henkin ont été assassinés près d’Itamar, en Samarie.

Photo: EPA
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D’après ces données, au cours de la journée de mardi, il y a eu quatre incidents par lancement de bombes incendiaires dans la bande cisjordanienne de Judée-Samarie et 15 incidents par jets de pierre. Ceci est comparé aux 55 incidents par jets de pierre du 6 octobre et 22 incidents par lancement de cocktail-molotov.

Photo: EPA
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Une baisse des cas d’émeutes s’est faite sentir mardi à Hébron, au barrage-routier de Beituna près de Ramallah et autour de la Tombe de Rachel à Bethléem.

La plupart des terroristes palestiniens qui ont commis des attentats au cours des deux dernières semaines sont des résidents de l’Est de Jérusalem (dont Jabel Mukaber), plutôt que des palestiniens vivant dans la bande cisjordainienne de Judée-Samarie.

Par Elior Levy, Yoav Zitun

Publié le : 14.10.15, 13:42 / Israel News

 

ynetnews.com

Adaptation : Marc Brzustowski.

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