L’IRS, Internal Revenue Service, l’administration américaine chargée des impôts, a reçu l’ordre de remettre tous les documents depuis le 1er janvier 2009 contenant les mots «Israël», «Zion», «Cisjordanie», «Judée», «Samarie» et «Politique spéciale d’Israël» afin qu’ils soient examinés par le Congrès.
Le journaliste d’investigation Omri Ceren a diffusé sur le site du réseau social Twitter, une copie d’une lettre, datée du 14 décembre 2016, des coprésidents des représentants de la Chambre, Kevin Brady et Peter Rosam, adressée à l’inspecteur en chef des impôts de l’IRS, John Koskinen.
Extraits :
« Bien que l’IRS, Internal Revenue Service, ait promis de ne plus prendre en compte des critères jugés inappropriés, comme les convictions politiques de l’Administration, lors de l’examen des demandes d’exonération d’impôt, le Comité du Congrès demeure préoccupé par le fait que les pratiques et les politiques de l’IRS peuvent illégalement cibler les Américains et les organisations, sur la base de leurs croyances, en particulier, leur soutien à l’Etat d’Israël.
« … le Comité exige des documents que devra lui fournir l’IRS, qui permettrait de comprendre comment l’IRS a traité les organisations exonérées d’impôt, liées à Israël, ayant des points de vue différents de l’Administration dans le passé, et le Congrès veut savoir comment l’IRS prévoit de traiter ces organisations à l’avenir …
« Une organisation pro-israélienne, comme Z Street, avait fait une demande afin de bénéficier d’une exonération fiscale en 2009. D’une part, il a été constaté un grand retard dans le processus de traitement de sa demande. De plus, un inspecteur de l’IRS a confirmé à Z Street, que sa demande avait été filtrée et était à l’étude, un traitement particulier, réservé aux groupes associés à Israël.
« Il est pénible de découvrir que le gouvernement des États-Unis a soumis les Américains à un traitement discriminatoire, en raison de leurs convictions politiques et religieuses », poursuit la lettre. « Il est encore plus pénible de constater qu’il a fallu sept ans à cette association, pour obtenir un traitement équitable de la part de l’IRS, alors même que l’IRS avait déclaré au Congrès ne plus faire de discrimination contre de telles associations. Et peut-être plus alarmant encore, les comptes rendus de presse récents suggèrent que, même après toute cette histoire, l’IRS pourrait même poursuivre cette politique discriminatoire et adopter de nouvelles mesures dans ce sens.
Malgré le fait que l’IRS ait affirmé au Congrès avoir cessé le ciblage politique en 2013, l’IRS et les agissements de l’Administration américaine, au cours des sept dernières années, ôte toute crédibilité à ces rapports …
«Afin d’aider le comité à mieux comprendre la situation historique et actuelle de l’IRS en la matière, veuillez nous fournir au plus tard à 17 h, le 11 janvier 2017, tous les documents datant du 1er janvier 2009, à ce jour, L’IRS, contenant les mots «Israël»; « Sion »; « Banque de l’Ouest »; « Judée »; «Politique israélienne spéciale»; Et / ou « Samaria ».
À partir de 2011, les Américains vivant en Israël ont commencé à entendre des histoires qui circulaient sur des amis ou des membres de leur famille, qui avaient également fait leur Aliyah, ou qui étaient impliqués dans des activités liées à Israël, qui ont soudainement reçu des avis de l’IRS, les informant d’un contrôle fiscal sur leurs revenus de 2009 et / ou 2010 qui ont fait l’objet d’une vérification.
Un américain vivant en Israël, a confié à The JewishPress, sous couvert d’anonymat par crainte de représailles, que pendant le processus long et « intimidant » de leur contrôle fiscal, l’inspecteur des impôts de l’IRS affecté au contrôle leur avait dit sans ambages, que les contribuables américains qui avaient des revenus » en provenance d’Israël et qui percevaient de l’argent pour quelque raison que ce soit, faisaient l’objet d’un drapeau rouge.
Le Comité d’étude de la Chambre du Congrès des États-Unis ordonne à l’IRS de remettre tous les documents susceptibles de révéler si l’administration Obama a véritablement participé à une «politique discriminatoire et d’un traitement particulier en lien avec Israël».
Non, j’ai peine à croire que le Barak Hussein de la Maison Blanche ait fait une chose pareille… A ce propos avez-vous remarqué comme durant la présidence du musulman de naissance Obama les cris de « mort au grand satan » ont été inexistant dans le monde musulman ?…
Il ne restera plus qu’à juger Obamot pour avoir mis le M.O. à feu et à sang
C’est le célèbre géo politicien Guy Mellière qui depuis la nomination du président Barack Obama n’avait eu de cesse de le dénoncer.
Ses écrits avait été fortement critiquées bien entendu par la bien-pensance médiatique.
Nous voyons à quel point ce président, comme tous les hommes et les femmes de gauche, est une véritable calamité pour les États-Unis.
Hautain, donneur de leçons, moraliste, et pourtant un capable de gérer une si grande nation !
L’histoire retiendra la défaite profonde de Barack Obama et malheureusement, la victoire sans faille de Vladimir poutine
Cher Ami Brami, ton commentaire est très judicieux, mais il est gâché totalement par ce « malheureusement » à propos de Vladimir POUTIN (que tu n’oses même pas nommer). Pour moi çà sent la pensée unique.
Il est à espéré qu’après l’investiture de Trump, l’inverse se produise, tout collaborateur lié de près ou de loin aux Clinton ou Obama et ayant notoirement été antisémites et pro palestiniens fassent l’objet de contrôles renforcés et en cas du moindre doute fassent l’objet d’un suivi méticuleux de tous les services gouvernementaux , restent aussi à souhaité que tous les agents et fonctionnaires zélés ayant participes à ces injustices soient retrogradés ou mieux chassés de la nouvelle administration, ce qui ne serait que l’application de la simple justice…Tant Clinton et Obama ont été nocifs ces dernières années