La langue de bois islamo-gauchiste d’Esther Benbassa
La sénatrice EELV s’enlise dans de laborieuses explications pour justifier sa présence sur une photo en compagnie de manifestants portant une étoile jaune.
On a tiqué le jour où elle a soutenu que le voile islamique n’était pas plus aliénant que la minijupe. On s’est étonné quand elle a suggéré que l’assassinat d’Ilan Halimi n’était pas un crime antisémite, que « n’importe qui d’entre nous, juif ou pas, aurait pu être à sa place ». Mais quand, dimanche, à l’issue de la manifestation contre l’islamophobie, l’élue écologiste de Paris a tweeté la photo du scandale où on la découvre trônant, radieuse, au milieu d’un groupe de manifestants tout sourire portant une étoile jaune sur la poitrine, c’est un torrent d’indignation unanime qui s’est abattu sur l’explosive sénatrice aux cheveux rouges, comme ses idées politiques.
Alors, cette marche contre l’#islamophobie? Calme, bon enfant, chaleureuse. #Citoyenne, en un mot.
Seul son parti Europe Écologie-Les Verts, laborieusement, et la députée Insoumise décoloniale Danièle Obono, du bout des lèvres, ont essayé de venir en aide à celle qui est devenue dimanche la caution juive des islamistes français. Mais la tâche est rude. Comment soutenir l’idée que les musulmans sont aujourd’hui, en France, comme les juifs sous l’Occupation. Autrement dit, que la République imiterait le IIIe Reich. Une République avec laquelle Esther Benbassa ne se sent, semble-t-il, pas très à l’aise : « On ne devient jamais français : même lorsque vous avez des papiers, ici, vous restez toujours un étranger », soupirait-elle en 2011. Avec ses trois passeports (turc, israélien et français), la sépharade passait pour une intellectuelle cosmopolite atypique, maîtrisant six langues : le turc, l’espagnol, l’hébreu, l’italien, l’anglais et le français. Depuis qu’elle est allée sur les plateaux télé se justifier sur l’affaire de l’étoile jaune, on sait qu’elle en parle couramment une septième : la langue de bois islamo-gauchiste.
Personnage abject.
Honte à elle. C’est une collabo.
Malheureusement, il y en a dans toutes les époques, dans toutes les ethnies.
Dhimmie, pas d autre mot !
Cette personne me dégoûte car, non contente d’aller se ranger du côté des islamistes, elle prétend être aux côté du peuple juif. C’est ce « en même temps » qui me révolte. On ne peut pas être en même temps à manifester avec des islamistes et revendiquer son appartenance au peuple juif. Elle a choisi son camp, qu’elle y reste.
Et « un de ces quatre » elle va y rester, elle ne connait pas ces « gens ».
Benbassa, ou comment un vide abyssal cherche un moyen d’exister.