Guerre Hamas-Israël : Joe Biden va mettre en place une stratégie nationale de lutte contre… l’islamophobie.

Joe Biden fait dans la Schizophrénie, un jour, il se lève en voulant défendre les victimes, le lendemain, il veut défendre les bourreaux. Derrière tout cela, il y a la peur. La peur que les barbares, accueillis aux États-Unis, commettent des 7 octobre sur le sol américain. Il y a une constante partout, là où il y a des islamistes, il y a la haine, la violence, le crime

Face à la hausse des tensions dues au conflit au Proche-Orient, le gouvernement américain a décidé d’élaborer une « stratégie nationale de lutte contre l’islamophobie ».
Alors que le conflit entre le Hamas et Israël s’intensifie, l’administration Biden a annoncé, mercredi 1ᵉʳ novembre, qu’une nouvelle « stratégie nationale de lutte contre l’islamophobie » allait être élaborée, rapporte BFMTV. Depuis l’attaque des terroristes du Hamas contre l’État hébreu, une hausse des tensions envers les musulmans a été observée aux États-Unis.

« Aucune place n’existe en Amérique pour la haine, contre personne. Point final », a affirmé dans un communiqué la porte-parole de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre. « Depuis trop longtemps, les musulmans en Amérique, et ceux qui sont perçus comme musulmans, les Arabes et les Sikhs notamment, ont souffert d’un nombre disproportionné d’attaques haineuses et d’autres discriminations », a-t-elle déploré.

La visite de Joe Biden en Israël au centre des critiques

Karine Jean-Pierre a pris comme exemple pour illustrer ses propos le récent meurtre « barbare » d’un enfant palestino-américain de six ans près de Chicago. Un crime qui n’est malheureusement pas isolé. Ainsi, cette nouvelle stratégie de lutte contre l’islamophobie devrait être développée très prochainement, en lien avec les communautés concernées, des activistes et des parlementaires.

Le gouvernement de Joe Biden a déjà, depuis la reprise du conflit israélo-palestinien, lancé un grand plan contre l’antisémitisme sur son territoire. Les musulmans et les juifs américains sont aujourd’hui au centre d’un déferlement d’hostilité. Et, la rencontre entre Joe Biden et Benjamin Netanyahu n’a pas arrangé les choses. En promettant son soutien sans faille au Premier ministre israélien, le président des États-Unis s’est attiré de nombreuses critiques, renforçant les tensions déjà présentes.

 

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o.icaros

Cela n’a rien qui surprend. Nos sociétés occidentales, à forte immigration et, à fortiori musulmane, sont prises en otages. On voit la même chose avec Macron qui, marchant sur les oeufs, a inversé son discours. On ne peut rien faire contre les groupes de pression présents en France. On n’est plus maître de notre diplomatie. Ce sont les banlieues qui fixe le calendrier.

Alain

L’un est un psychopathe, l’autre un sénile. Les deux sont dans le « en même temps », le c… entre deux chaises. Il est temps qu’ils tombent entre les deux.

Damran

Après être venu en Israël pour faire l’accolade à Bibi et lui promettre un engagement total des Etats-Unis après les horreurs commises par les ordures du hamas, nous avons du mal à situer le comportement de Biden.
Une chose est sûre, il n’a pas les facultés mentales en bon état de fonctionnement, nous l’avons vu lors de son discours avec les ministres israéliens, au cours duquel il a avoué qu’il avait du mal à lire son texte, mais l’essentiel a été dit.
Depuis, nous assistons à des déclarations contradictoires difficiles à déchiffrer.
Il semblerait que ceux qui tirent ses ficelles cherchent à ce qu’il se libère de ses promesses et à l’obliger à exiger de nouvelles obligations.
Blinken est venu en Israël pour demander un cessez le feu « provisoire » et que Tsahal surveille ses engagements pour éviter des tirs sur les populations civiles.
En fin de compte, il apparaît de plus en plus clair que ceux tirent ses ficelles cherchent avant tout, à obtenir la libération des otages/prisonniers américains toujours négociée avec le Qatar, ce qui procurerait une victoire diplomatique très attendue, avant les élections présidentielles américaines.
Tsahal est déjà restée immobilisée pendant trois semaines avant d’entrer à Gaza, toujours pour le même motif, il s’agit d’une ingérence inadmissible.
Pire encore, l’ONU continue à cracher sa haine sur Israël en répétant sans cesse, que les « palestiniens » sont en grand danger et qu’il y aurait un risque de crimes contre l’humanité, rien que ça.
Nous attendons toujours de la part des ordures onusiennes qu’elles nous expliquent comment faire pour reconnaître un terroriste d’un civil.
Lorsqu’un djihadiste du hamas qui sort d’un tunnel en jean, tee shirt et baskets, armé d’un lance roquette et qu’il tire sur un char ou qu’il vise un soldat de Tsahal : lorsqu’il dépose son arme pour se diluer parmi la population, est-il un terroriste ou un civil ?
Il n’est pas sûr qu’il soit capable de comprendre ce genre de problèmes…..