L’armée israélienne étend sa guerre terrestre au Liban alors que Beyrouth cherche à obtenir un cessez-le-feu
Par Hana Levi Julian
Opérations de Tsahal au Sud-Liban. Photo : Unité des porte-paroles de Tsahal
Le chef d’état-major de l’armée israélienne, Herzi Halevi, a autorisé l’expansion de la guerre terrestre d’Israël dans le sud du Liban, selon un rapport publié dimanche soir par la chaîne publique KAN News .
Des milliers de soldats en service actif et de réserve devraient participer aux nouvelles manœuvres, qui visent à permettre à Tsahal d’approfondir ses réalisations actuelles et d’atteindre des zones supplémentaires où le Hezbollah opère encore.
Le média a également rapporté que la Russie a accepté de persuader la Syrie d’empêcher l’envoi de personnel militaire supplémentaire au Hezbollah au Liban depuis son territoire.
En outre, le média a rapporté que même si la Russie ne jouera aucun rôle dans ce qui se passe au Liban, Moscou « travaillera avec la Syrie » pour empêcher la contrebande d’armes vers le Hezbollah et fera pression sur le président syrien Bachar al-Assad pour qu’il s’assure que les armes iraniennes ne transitent pas par son territoire.
Les médias libanais se sont emparés de cette nouvelle, qui survient alors que des inondations à Beyrouth dues à de fortes pluies ont été signalées et que des victimes ont été tuées suite aux attaques israéliennes dans le sud du Liban.
Un responsable occidental a déclaré à KAN News : « Les gens ici sont fatigués et veulent déjà mettre fin à cette guerre. »
Un autre rapport du média libanais Al Jadid cite le Premier ministre libanais Najib Mikati plaidant pour la mise en œuvre de la résolution 1701, l’accord de cessez-le-feu signé entre Israël et le Hezbollah qui a mis fin à la deuxième guerre du Liban en 2006, mais qui a été totalement ignoré par l’organisation terroriste, les Nations Unies et le gouvernement libanais dès le moment où l’encre a séché sur le papier.
« Aujourd’hui, l’occasion est offerte de ramener tout le monde dans le giron de l’État et de permettre à l’État d’être le premier et le dernier décideur dans tous les domaines », a déclaré Mikati lors d’une rencontre à l’ambassade avec la communauté libanaise en Arabie saoudite. Ce commentaire semble être une allusion indirecte à la défaite lente mais constante du Hezbollah face aux forces israéliennes dans le sud du Liban.
Le dirigeant libanais a déclaré qu’il espérait que « nous surmonterions cette étape difficile le plus rapidement possible et parviendrions à un cessez-le-feu et à mettre en œuvre les résolutions internationales, dont la base est la résolution 1701 et le renforcement de la présence de l’armée dans le sud et qu’il n’y aura pas d’armes sauf les armes de la légitimité ».
JForum.fr avec www.jewishpress.com
LA FRANCE NE SAIT QUE FAIRE DES DISCOURS CREUX QUI N ABOUTISSENT À RIEN, QUANT AU PREMIER MINISTRE LIBANAIS IL FAUT QU IL SOIT CONSCIENT QU ISRAEL NE SE LAISSERA PAS BERNER PAR LA RESOLUTION 1701 COMME LA PREMIÈRE FOIS.QUE LES LIBANAIS LIBRES PRENNENT TOUTE LEUR PLACE S ÉLOIGNENT DU HEZBOLLAH QUI N A ÉTÉ QUE DESOLATION.
C’est bizarre mais on ne sait pas où sont passés Le Drian et les Roquets d’Orsay.
Nous tenons la preuve que la France n’a plus aucune influence au Liban, et que malgré sont insistance à « en être » elle est nulle part.
Voilà où a mené la politique serpillière menée par des pieds nickelés qui ont tout raté, mais qui ont quand même versé des millions d’euros au pays du cèdre.
C’est sûr que provoquer un incident diplomatique en Israël, est quand même plus facile que de s’attaquer aux représentants du hezbollah le terroriste.
Il va bien falloir qu’un jour cette politique arabe de la France prenne fin….