L’Etat a récolté quelques 600 millions de NIS supplémentaires, plus qu’on ne s’y attendait en avril, ajoutant un surplus de 3 milliards de shekels accumulés depuis janvier jusqu’en mars, l’essentiel résultant des impôts.
Le Ministre des Finances entrant, Moshe Kahlon tombe sur une surprise agréable qui lui a été réservée par le Trésor : depuis le début de l’année – a appris le Yediot Ahronoth, la publication papier de Ynet -les coffres dévbordent d’un surplus de prélèvement d’impôt totalisant 3, 6 milliards de shekels.
Les efforts de l’Autorité de la perception des impôts sont payants, puisque l’Etat récolte 600 millions de shekels supplémentaires, par rapport à ce qui était prévu en avril. Cela fait suite au surplus de 3 milliards accumulé entre janvier et mars. Ce surplus provient presque uniquement des impôts directs – impôt sur le revenu et, ensuite, taxe immobilière.
Moshe Khalon. Un bonus inespéré (Photo: Motti Kimchi)
Ce surplus résultant des impôts est certainement une source de satisfaction pour les responsables du Trésor. Le recueil d’impôts prévu pour 2015, à la suite d’ajustements découlant de l’annulation de l’action législative, à cause des élections anticipées, était de l’ordre de 261, 8 milliards de shekels.
Le revenu total de l’Autorité chergée des impôts, au cours de la période de janvier à avril 2015 était de 88, 8 milliards de shekels, comparés aux 84, 5 milliards de NIS durant la période correspondante de 2014 – une augmentation réelle de 6, 4 %. L’augementation des revenus provient de l’impôt sur les revenus pesant sur les sociétés et les particuliers, des déductions et d’une augmentation du revenu tiré des impôts sur l’immobilier.
D’un autre côté, alors que les revenus de la TVA et des taxtes d’importation ont réellement permis une augmentation, cette élévation ne s’est pas étendue au-delà de l’estimation réalisée.
This indicates that the increase in tax revenues does not stem from increased economic activity. Instead, the spike in revenues is down to increased enforcement on the part of the tax authorities.
Cela indique que l’augmentation du fruit de l’impôt sur les revenus ne signale pas qu’il découlerait d’une augmentation de l’activité économique. Ce pic dans les revenus est plutôt en baisse, mais l’augmentation résulte plutôt des mesures prises de la part des autorités des impôts
Par Gad Lior
|
Adaptation : Marc Brzustowski
Une bonne surprise .
Surveiller les portes et les fenetres cote Gaza , surtout les bourricots qui s’aventureraient devant la salle des coffres .