Comment fonctionne l’aéroport Ben Gourion ?
Restrictions Aériennes Moyen-Orient
Transport aérien en crise dans une région sous tension
Les compagnies aériennes européennes et moyen-orientales font face à une situation exceptionnelle qui les contraint à revoir drastiquement leurs opérations. Face à l’escalade des tensions géopolitiques, de nombreuses liaisons commerciales vers les pays du Golfe Persique et du Levant subissent des interruptions temporaires ou des modifications substantielles de leurs itinéraires.
Mesures préventives des transporteurs européens
La prudence guide désormais les décisions opérationnelles des principales compagnies du continent. Air France et KLM ont choisi de suspendre temporairement leurs services vers Dubaï et Riyad pour les 22 et 23 juin, tandis que certaines rotations vers Beyrouth demeurent annulées jusqu’au 29 juin. Cette stratégie de précaution reflète l’incertitude qui règne actuellement dans l’industrie du transport aérien.
Le groupe Lufthansa a adopté une approche similaire mais plus extensive, cessant ses opérations vers Beyrouth jusqu’à la fin juillet. Les destinations d’Amman et de l’Irak voient également leurs liaisons interrompues jusqu’au 11 juillet. La compagnie allemande va plus loin en évitant complètement l’espace aérien de ces territoires, démontrant une approche particulièrement conservatrice.
British Airways maintient ses restrictions jusqu’au 30 juin pour Amman et Bahreïn, tandis que la compagnie roumaine Tarom limite ses annulations à une période plus courte, jusqu’au 24 juin, pour ses vols vers Beyrouth et Amman. Wizz Air se distingue par des mesures plus drastiques, suspendant Amman jusqu’au 15 septembre et évitant l’espace aérien israélien, irakien, iranien et syrien sans échéance précise.
Adaptation des corridors aériens internationaux
Les répercussions de cette crise touchent également les liaisons intercontinentales. Les vols reliant l’Asie à l’Europe empruntent désormais un passage étroit via le Caucase, contournant soigneusement les zones sensibles que représentent l’Iran et la Russie. Cette modification des routes aériennes traditionnelles illustre la complexité des défis logistiques auxquels font face les compagnies dans le contexte géopolitique actuel.
Réouverture contrôlée de l’aéroport Ben Gourion
Parallèlement à ces restrictions, l’aéroport Ben Gourion entame une phase de réouverture progressive avec l’opération « Retour en toute sécurité ». Cette initiative permet la reprise limitée des vols de départ, avec des contraintes opérationnelles strictes visant à minimiser les risques.
Le dispositif prévoit un maximum de cinquante passagers par vol sortant, une limitation drastique comparée aux capacités habituelles des appareils commerciaux. Les voyageurs quittant le territoire ne peuvent y revenir avant vingt et un jours minimum, une mesure qui témoigne de la nature exceptionnelle de la situation.
El Al, principal transporteur national, dessert huit destinations stratégiques : Larnaca, Athènes, Rome, Paris, Londres, New York, Los Angeles et Bangkok. Ces liaisons représentent un compromis entre maintien de la connectivité internationale et impératifs sécuritaires.
Protocoles renforcés pour les passagers
L’organisation aéroportuaire de Ben Gourion reflète les contraintes de sécurité actuelles. Seul le Terminal 3 reste opérationnel, avec un accès limité à la porte 02 du niveau inférieur. Les étages supérieurs demeurent fermés, concentrant toute l’activité sur les zones essentielles.
Les procédures d’enregistrement et de contrôle sécuritaire s’effectuent au rez-de-chaussée, avant un passage au troisième étage pour l’inspection des bagages à main et le contrôle frontalier. Cette organisation verticale optimise les flux tout en maintenant les standards de sécurité requis.
La ministre des Transports a confirmé une cadence maximale de vingt-quatre vols quotidiens, soit deux par heure, exclusivement pendant les heures diurnes. Cette limitation temporelle ajoute une contrainte supplémentaire à la reprise progressive des opérations.
Les services aéroportuaires subissent également des adaptations : fermeture des boutiques hors taxes pour éviter les rassemblements inutiles, ouverture limitée des cafés aux zones de départ et aux jetées d’embarquement. Ces mesures visent à réduire le temps de présence des voyageurs dans l’enceinte aéroportuaire.
Cette situation exceptionnelle illustre la fragilité du transport aérien face aux tensions internationales et la capacité d’adaptation des acteurs du secteur dans des circonstances extraordinaires.
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On dit qu’Israël a gagné la guerre contre l’Iran ! Balivernes et esbrouffes !!! On a affaibli le nucléaire iranien mais on ne l’a pas anéanti complètement : il demeure les centrifugeuses enrichies en uranium a 60%. On a détruit des rampes de lancement et des stocks d’obus … Ceci est du renouvelable et on tardera pas a engager la deuxième manche d’ici moins de 5 ans !!!! En Israël on a perdu une usine de pétrole a Haïfa et 28 israéliens !!!! Pour les 28 israéliens, ce n’est pas du renouvelable mais une perte DEFINITIVE !!!! Ces 28 israéliens par rapport aux 10 millions de population israélienne constituent 0,0028%. En Iran, on a tué des généraux mais combien d’iraniens sont-ils morts. En Iran ils sont 86 millions d’habitants : si je reporte le chiffre de 0,0028%, ca devrait faire pour l’Iran 2408 morts iraniens en perte DEFINITIVE non RENOUVELABLE ! Faire 2408 morts en Iran ne fait qu’égaliser le score que l’Iran a réussi a faire en Israël …. Ce serait ce qui s’appelle exæquo !!! Par contre si Israël a fait 500000 morts iraniens (par rapport a leur chiffre démographique) ce serait ce qui s’appelle une victoire pour Israël …. Ca m’étonnerait qu’Israël ait fait autant de morts en Iran : donc comme d’habitude, Israël a perdu cette guerre !!!! En pourcentage nous avons en Israël perdu plus d’hommes que l’on en a tué en Iran …. Et le matériel détruit iranien se reconstitue déjà : la bombe est a retardement et le compte a rebours se chronomètre des a présent !!!! Si vous appelez ca une victoire vous, moi non ! On n’a même pas renversé le régime dictatorial iranien et il leur reste des centaines de centrifugeuses intactes pour continuer leur bombe atomique qui sera prête d’ici peu (pour la balancer sur Tel Aviv et non point sur Washington) …. Israël aurait du continuer la guerre jusqu’à la chute du régime en place avec l’Ayatollah mort (n’en déplaise a Trump a la recherche de son prix Nobel) et jusqu’à la destruction TOTALE de la dernière centrifugeuse !!!!! C’est ca la VERITABLE victoire que l’on attendait en Israël afin que la mort des 28 israéliens ne soit pas vaine dans cette guerre encore une fois INACHEVEE !!!!