Photo : Selfie de jeunes employées palestiniennes avec leur patron Daniel Birnbaum, le jour de leur séparation
Des centaines de Palestiniens perdent leur emploi à cause du mouvement de boycott d’Israël.
Des centaines de Palestiniens découvrent que le mouvement de boycott d’Israël leur cause bien plus de tourments qu’Israël.
L’entreprise de production de boisson douce SodaStream a mis à pied les derniers de ses travailleurs palestiniens le 29 février. L’entreprise, sous la pression de mouvement Boycott, Désinvestissement, Sanctions (BDS), avait déjà fermé son usine présente dans une implantation de Judée-Samaei en octobre 2015.
Au total, plus de 500 Palestiniens se sont retrouvés au chômage.
Mahmoud Nawajaa, le coordinateur de BDS en Judée-Samarie, dans la ville de Ramallah, a déclaré, concernant la perte d’emplois des Palestiniens chez SodaStream, que « c’est le prix à payer dans le processus consistant à mettre fin à l’occupation ».
De nombreux ex-employés palestiniens de SodaStream, cela dit, sentent que le « prix » à payer est trop lourd.
« Il n’y a aucun espoir en Palestine. Il y a trop peu de travail », accuse, amer, un employé congédié.
Un autre travailleur démis, Bassel Salhaya, affirme n’avoir aucun projet de poste de travail en perspective en Judée-Samarie/Cisjordanie.
« Nous étions ensemble 12 heures par jour, plus de temps que je ne vois ma femme et mon fils », dit-il « nous étions devenus comme des frères ».
SodaStream, qui fabrique une machine permettant de faire soi-même des boissons gazeuses à la maison, a annoncé, fin 2014, que l’entreprise fermait son site de Judée-Samarie à la suite de la campagne BDS qui a, entre autres, pris pour cible l’actrice d’Hollywood Scarlett Johansson, quand elle a commencé à faire de la publicité pour les produits SodaStream.
Quand le site de Judée-Samarie/Cisjordanie a fermé, 74 travailleurs palestiniens expérimentés ont déménagé avec leur entreprise vers sa nouvelle localisation dans la ville de Levahim située au sud et des centaines d’Israéliens ont été embauchés. Les derniers des travailleurs palestiniens ont été lâchés le 29 février.
Selon le COGAT, l’organisme du Ministère de la Défense chargé de la coordination des activités du gouvernement israélien dans les territoires palestiniens, 58.000 Palestiniens disposent d’un permis de travailler en Israël, alors que 27 autres Palestiniens travaillent pour des entreprises israéliennes dans les implantations et zones industrielles de Judée-Samarie.
Adaptation : Marc Brzustowski.
Mais Daniel Birnbaum ne s’en tient pas là : après avoir négocié jusqu’au bout avec le Gouvernement des permis « spéciaux » pour ses employés palestiniens, il milite pour qu’Israël accueille « 1.000 réfugiés syriens », pour les mêmes arguments de coexistence, dans un Moyen-Orient où Israël deviendrait une sorte de colonne vertébrale quand tout va mal, éclairant comme un phare dans la tempête. Point de vue qui s’attirera bien sûr la réprobation des réalistes.
Loss of hundreds of Palestinians’ jobs blamed on boycott Israel movement
la tempête
Loss of hundreds of Palestinians’ jobs blamed on boycott Israel movement
« Des centaines de Palestiniens découvrent que le mouvement de boycott d’Israël leur cause bien plus de tourments qu’Israël. »
Les islamo-gauchistes, émules du communisme, savent mieux que le peuple ce qui est bon pour lui…
« Des centaines de Palestiniens découvrent que le mouvement de boycott d’Israël leur cause bien plus de tourments qu’Israël. »
Les islamo-gauchistes, émulent du communisme, savent mieux que le peuple ce qui est bon pour lui…
PETITION IMPORTANTE POUR INTERDIRE BDS
http://www.europe-israel.org/2016/03/petition-pour-linterdiction-du-mouvement-antisemite-et-islamiste-bds-en-france-et-en-europe/