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Austerlitz claque les Tories.

Bien qu’il y ait eu la paix d’Amiens entre la France et l’Angleterre en 1802, le gouvernement anglais au pouvoir des Tories, et sous l’impulsion de leur roi George III, voulut être l’arbitre absolu des océans et du commerce mondial. L’Empereur des Français devint un obstacle à leurs affaires. Napoléon voulut redonner à la France, sa puissance commerciale et sa marine… Puis arriva, en décembre, « Austerlitz », le Soleil renaissant et victorieux.

LES TORIES, COMMANDITAIRES DE LA COALITION

En 1805, les Tories ravivèrent la guerre sur le continent européen en calomniant les intentions de Napoléon. Ils ordonnèrent au ministre britannique Arthur Paget d’influencer financièrement les principaux diplomates dont le comte von Colloredo-Mansfeld, l’ambassadeur russe Andreï Kirillovitch Razoumovsky, et le vice-chancelier du Saint Empire romain Ludwig Cobenzl. Et de là, se forma la 3e coalition austro-russe contre la France, et contre l’avis de tous les princes de la famille impériale d’Autriche.

LA BARBARIE DES RUSSES ET COSAQUES

L’entrée de l’armée russe dans les états de l’empire d’Autriche, et l’entrée de l’armée autrichienne en Bavière, ainsi que la lettre de M. Cobenzl formulant la loi des Tories obligèrent Napoléon et sa Grande Armée à passer le Rhin. Pourtant, Napoléon fut prêt à oublier cette troisième agression, à condition que l’empereur d’Autriche François cesse ce conflit. Malheureusement, les militaires russes et les Cosaques se comportèrent comme des barbares. Ils incendièrent les villes, pillèrent, et martyrisèrent les habitants. Les peuples de l’empire d’Autriche se plaignirent également du gouvernement antilibéral, et des fortunes publiques ruinées par la perte de 50% du papier monnaie.

AUSTERLITZ, VICTOIRE ET PAIX CONTINENTALE

Les négociations de paix restant stériles, la Grande Armée de Napoléon remporta successivement les combats jusqu’à Vienne en Autriche, puis chassa l’ennemi à l’est de Brno en Moravie. Le génie militaire de Napoléon les conduisit à une bataille finale dans les environs d’Austerlitz, le 2 décembre 1805, premier anniversaire du sacre de l’Empereur des Français. En seulement quatre heures, l’armée ennemie de plus de 100 000 soldats, commandée par le Tsar de Russie Alexandre et l’empereur d’Autriche François fut coupée et dispersée.

Ce fut une victoire française totale, une victoire qui marqua pour toujours l’histoire militaire, causant le moins de pertes côté français, et apportant une nouvelle fois la paix sur le continent. Les Moraves furent étonnés de voir au milieu de leurs immenses plaines, des soldats d’Ukraine, du Kamtschatka, de la grande Tartarie, et les Normands, les Gascons, les Bretons, et les Bourguignons en venir aux armes, sans que leur pays ait quelque chose de commun, ou qu’il n’y ait entre eux aucun intérêt public. Le sang humain devenait une marchandise dans les mains des perfides Tories…

Source : carreimperial.fr Par LCK BOUVIER

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