En dépit des atouts et des considérations stratégiques et militaires du plateau du Golan, de nombreuses tractations ont été entreprises avec la Syrie dans le but d’aboutir à un accord de paix. Toutes les tentatives n’ont pas réussi à entamer une véritable et directe négociation pour la signature d’un traité, à la seule exception de l’initiative du Premier ministre Ehoud Barak en 1999-2000.Lors de ces négociations, les deux parties ont discuté sur plusieurs points et sur les arrangements de sécurité qui pourront compenser Israël d’avoir abandonné le Golan. Ces discussions n’ont pas marqué des divergences profondes sur les questions de sécurité mais elles n’ont pas abouti à la signature d’un traité de paix. Les négociations indirectes entamées en 2008, sous les auspices de la Turquie, ont été conduites par la présomption syrienne que seule l’option militaire serait la meilleure solution au retrait d’Israël du plateau du Golan.

Ce document tente de clarifier les enjeux et de prouver qu’un retrait d’Israël de ce territoire est extrêmement dangereux car la donne stratégique et opérationnelle au Moyen-Orient a aussi changé.

Ce document est composé de 7 chapitres:

– Les caractéristiques géographiques et historiques du plateau du Golan.
– Un Traite de paix- la vérité face aux illusions.
– Les conceptions sécuritaires.
– Le concept de la profondeur stratégique.
– Les arrangements de sécurité élaborés en 1999-2000.
– Les changements intervenus depuis l’an 2000.

Les implications diplomatiques et militaires à la suite d’un retrait éventuel du Golan

Dans le contexte actuel et à court terme, il est clair que les Syriens exigeront le retrait complet d’Israël du plateau du Golan. Un tel accord est possible et il est obtiendrait probablement le soutien de la communauté internationale et notamment celui de l’Iran. Un traité de paix avec la Syrie n’affectera pas non plus la force politique et militaire du Hezbollah car ce mouvement chiite est essentiellement soutenu par l’Iran et la communauté chiite libanaise.

Un accord avec la Syrie obligerait Israël a se retirer d’un territoire de 1200 km carrés qu’il contrôle depuis 1967. Le litige concernant le tracé des frontières celui de 1923, selon la position israélienne, et celui de 1967, selon la position syrienne, sera difficile d’aplanir.

En échange d’un retrait israélien du plateau du Golan, les deux pays établiront des relations diplomatiques complètes. Les arrangements de sécurité, comprendront: la démilitarisation du territoire et l’installation de système d’alerte avancée et un contrôle international. Cependant, ces dispositifs ne pourront garantir une protection adéquate dans le cas où la Syrie déciderait de bafouer un jour cet accord. Ce traité sera probablement respecté par le régime actuel de Damas mais celui-ci est fragile pour la principale raison qu’il est dirigé par la communauté Alawite qui ne représente que 14 pour cent de la population syrienne. La prise du pouvoir par des éléments radicaux sunnites sous l’impulsion des Frères Musulmans mettrait en péril l’accord signé avec Israël.

Paradoxalement, la présence de Tsahal sur le plateau du Golan, est bénéfique pour le régime actuel car elle sert de prétexte pour renforcer les mesures de sécurité et d’opprimer les sunnites et les tentatives d’un coup d’état.

Contrairement au conflit israélo-palestinien, le conflit avec la Syrie est territorial entre deux Etats souverains. Il existe dans le monde des dizaines de conflits de ce genre, certains ont été réglés, d’autres toujours pas, tel que le conflit entre l’Inde et le Pakistan concernant le Cachemire.

Dans le contexte avec la Syrie, le statu quo est préférable à des règlements incompatibles et dangereux. Cela dit, il est possible de trouver des alternatives comme la location du territoire pour une longue période, une copropriété et une souveraineté associée ou un retrait partiel et une compensation d’un échange triangulaire de territoire avec la Jordanie.

Un accord de paix officiel entre Israël et la Syrie n’est possible que si Israël accepte de se retirer du Golan jusqu’à la ligne du 4 juin 1967 et de ramener les forces syriennes sur les rives du lac de Tibériade. Il est plausible qu’avec des conditions supplémentaires offertes par le soutien des Etats-Unis, les Syriens seraient sincèrement intéressés par un tel accord.

Un tel accord de paix comprendrait quatre composants :

1. Le transfert de l’ensemble du Golan à la souveraineté syrienne
2. Le maintien des relations diplomatiques entre la Syrie et Israël
3. Une résolution sur la question de l’eau
4. Le maintien des dispositifs de sécurité qui sont destinés à compenser Israël pour la perte du territoire

Toutefois, indépendamment de la façon dont un tel accord pourrait se faire dans la perspective israélienne, et sans rapport avec les futures dispositions de sécurité (qui sont le principal objectif de cette analyse) une dangereuse tendance a été créée ces dernières années en favorisant la conviction qu’un accord de paix avec la Syrie aurait des répercussions positives dans sept domaines supplémentaires. Malheureusement, ce serait une illusion dangereuse de croire que ces sept assertions seraient assurées par l’établissement d’un accord de paix israélo-syrien.

1. « Un accord de paix israélo-syrien creuserait un fossé entre la Syrie et l’Iran.»

Même en admettant pour les besoins de l’argumentation, que les relations irano-syriennes pourront être endommagées à la suite d’un accord de paix avec Israël (qui est loin d’être garanti depuis que les Syriens insistent officiellement sur le fait que ce ne serait pas le cas, alors que l’Iran n’est pas opposé à de tels accords avec Israël tant qu’ils résultent des concessions territoriales israéliennes), cette question est totalement indépendante du problème majeur que pose l’Iran- ses efforts d’obtenir des armes nucléaires.

La Syrie souhaite s’allier actuellement à l’Iran, mais la Syrie n’est pas importante aux yeux de Téhéran. La plus grande menace stratégique est basée sur les armes nucléaires qui sont en possession de l’Iran. L’existence d’une telle menace ne sera pas influencée par la question de savoir s’il y aura un accord de paix entre Israël et la Syrie.

2. « Un accord de paix entre la Syrie et Israël affaiblirait le Hezbollah »

Au cours des négociations en 1990-2000, les Syriens ont été les maîtres au Liban. Ils ont gouverné de facto le pays. Pendant ce temps, Damas ne pouvait pas échapper à sa responsabilité au Liban et elle a été donc obligée de convenir que l’accord de paix entre Israël et la Syrie était également un accord de paix avec le Liban. Un accord de paix avec le Liban obligerait les Syriens à garantir le démantèlement du Hezbollah en tant que force combattante.
Actuellement cette situation a été modifiée. Sous la pression internationale, la Syrie a été contrainte en 2005 de retirer ses forces du Liban et aujourd’hui elle n’a pas de responsabilité sur cet Etat. Depuis ce retrait, la Syrie peut sans difficultés majeures, renforcer le Hezbollah, et un accord de paix avec Israël ne pourra pas empêcher le mouvement chiite de continuer à constituer une menace pour Israël à partir du Liban. Il ne faut pas oublier qu’une relation étroite avec le Hezbollah syrien est cruciale pour la Syrie afin que Damas puisse sauvegarder ses intérêts au Liban, qui ont été de toujours une considération primordiale pour le régime syrien.

3. « Un accord de paix israélo-syrien éviterait l’armement du Hezbollah »

Le Hezbollah obtient son aide essentiellement de l’Iran, un soutien politique, économique et militaire. L’Iran peut transférer des armes au Hezbollah par la Syrie mais aussi par d’autres voies. Etant donné que les intérêts syriens sont de continuer à étayer le Hezbollah même après la signature d’un accord de paix avec Israël, on peut s’attendre que le flux des armes de la Syrie au Hezbollah persiste ; même si les méthodes de l’acheminement des armes et des munitions deviendront clandestines. Il est utile de rappeler que l’Egypte a rencontré des difficultés similaires dans la prévention de la contrebande d’armes à partir de son territoire vers la bande de Gaza, malgré le fait que la frontière entre Gaza et l’Egypte n’est que de 12 kms seulement. La frontière de la Syrie avec le Liban s’étend sur des centaines de kms. Contrairement au désert plat de la bande Gaza, la plus grande partie de la frontière syro-libanaise est un terrain montagneux. Tant que la volonté mutuelle de maintenir l’acheminement des armes existera, le transit des armes pourra se poursuivre par tous les moyens.

4. « Un accord de paix avec la Syrie devrait aider à résoudre le problème israélo-palestinien »

On peut supposer le contraire. Compte tenu de l’hypothèse qu’il serait difficile pour Israël de gérer à la fois les deux volets, syrien et palestinien, les Palestiniens seront susceptibles à croire qu’ils sont réduits à une priorité secondaire. Il est plausible que cela engendrera une certaine frustration qui pourrait éventuellement conduire à un déclenchement d’une « troisième Intifada ».

5. « Un accord de paix entre la Syrie et Israël obligerait la Syrie à fermer le Bureau du Hamas à Damas »

Cela pourrait peut-être se produire, mais pourquoi est-il si important de savoir où Khaled Mashal, le chef en exil de l’aile politique du Hamas, réside t-il ? En outre, dans le cadre d’un accord de paix entre Israël et la Syrie n’est-il pas préférable de garder le bureau du Hamas à Damas plutôt qu’au Yémen, au Soudan ou en Somalie.

6. « L’accord améliorerait les relations israéliennes avec le monde arabe »

Le monde arabe est attaché à la question palestinienne, mais pas à la question syrienne, dans la même mesure. Tout comme l’accord de paix israélo-égyptien et par la suite l’accord de paix israélo-jordanien n’ont pas changé d’attitude des autres pays arabes envers Israël, un accord avec la Syrie ne ferait pas la différence. En outre, le monde arabe est divisé, d’une part, entre un axe pro-iranien comprenant la Syrie, le Qatar, le Hezbollah et le Hamas et d’autre part, un axe anti- iranien basé principalement sur l’Egypte, l’Arabie saoudite et la Jordanie.

Dans le cadre des conditions actuelles, l’Egypte et l’Arabie saoudite sont intéressées actuellement à isoler le régime syrien et ne répondraient à aucune démarche diplomatique qui donnerait à Béchar el Assad une légitimité internationale renforcée.

7. « L’accord de paix renforcerait le soutien international à Israël »

Le monde est en colère contre Israël en raison de « l’occupation » sur les Palestiniens et voudraient voir ce problème résolu. L’influence d’un accord de paix avec la Syrie sur la légitimité d’Israël serait négligeable. Certains soutiennent qu’en concédant le Golan, le risque stratégique pour Israël serait grand, compte tenu des avantages politiques majeurs qu’un accord de paix avec la Syrie pourrait fournir. Or en fait, de tels avantages stratégiques sont minimes et sont loin d’être garantis.

Changement dans l’équilibre des forces

Depuis la guerre de Kippour, l’équilibre des forces entre Israël et la Syrie a été modifié considérablement. Dans le domaine conventionnel, l’avantage quantitatif syrien a été compensé par les améliorations militaires qualitatives.

Actuellement, l’écart en faveur d’Israël a été augmenté dans presque tous les domaines. Le danger d’une invasion de divisions blindées syriennes, une menace tangible en 1973, a diminué sensiblement en raison de la grande mise en valeur de la capacité d’Israël de détruire des véhicules blindés et des chars de combats par des frappes aériennes et terrestres.

Les avantages relatifs de l’aviation israélienne et de sa marine sur les Syriens ont aussi sensiblement augmenté. Le système de défense aérien qui était un point fort de la Syrie continue à présenter un défi à Tsahal, mais n’a pas été suffisamment amélioré par rapport aux capacités de la force aérienne israélienne.

Le concept israélien de défense

Dans son concept de combat contre la Syrie, Tsahal tente de renforcer ses avantages relatifs, reposés sur sept principes :

1. Dans l’hypothèse qu’une guerre avec la Syrie, est aussi un conflit armé contre le Liban (Hezbollah) vaincre la Syrie serait la première priorité.

2. L’actuelle ligne de défense sur le plateau du Golan est presque optimale, elle permet à Israël de défendre le plateau du Golan avec une force relativement faible, tout en se déplaçant vers une position offensive dans des conditions confortables. En outre, le terrain permet à la défense israélienne d’envoyer l’essentiel de sa force aérienne au départ des combats pour assurer une supériorité totale plutôt que de fournir un appui aérien partiel pour poursuivre la bataille terrestre. La supériorité aérienne dés le déclenchement des hostilités est une condition nécessaire pour contrer les missiles sol-sol syriens, ainsi que pour soutenir le combat sur terre et d’infliger de graves dégâts sur les infrastructures.

3. Une victoire sur la Syrie serait obtenue d’abord et avant tout en raison de la capacité israélienne de détruire une partie importante des forces syriennes sur le terrain, en air et en mer.

4. Une victoire éclair nécessite une capacité de manœuvre pour pouvoir créer une menace terrestre sur la région de Damas en espace de quelques jours.

5. Israël doit contrecarrer toute tentative syrienne d’utiliser son armement chimique en frappant fort ou en obtenant une dissuasion.

6. Israël doit éviter toutes les tentatives syriennes d’occuper des parcelles de territoires sur le sol israélien jusqu’a la fin de la guerre.

7. Israël est incapable d’empêcher les tirs massifs de missiles sol-sol et des roquettes sur Israël, y compris les tirs syriens envers la zone arrière stratégique israélienne. En s’attribuant de vastes ressources, Israël peut réduire d’une manière significative la quantité de tirs destinés directement sur la zone arrière et d’empêcher la Syrie à atteindre une quelconque victoire. La victoire israélienne sera obtenue en neutralisant l’essentiel de la force militaire syrienne, en portant atteinte aux intérêts du régime syrien, en détruisant leurs objectifs stratégiques et en créant une menace sur le terrain à la capitale syrienne.

L’importance de la profondeur stratégique

Les caractéristiques géostratégiques demeurent un facteur clé dans la détermination de la capacité du pays à se défendre. La Grande Bretagne n’a jamais été conquise non pas parce que son armée est forte, mais parce qu’elle est entourée par la mer. La Russie n’a pas été vaincue par Napoléon, ni par l’Allemagne en raison de la taille de sa profondeur stratégique. L’Union soviétique durant les années 80, et les Etats-Unis actuellement se trouvent en difficulté pour pouvoir contrôler l’Afghanistan en raison de sa taille et de ses caractéristiques topographiques.

Israël est menacé par le Hezbollah à partir du Liban et du Hamas de la bande de Gaza, non pas en raison de leur force, mais parce que la donne géographique leur permet d’attaquer Israël en profondeur avec des armes primitives. Si le Hezbollah, par exemple, avec le même arsenal, était situé à 200 kms de la frontière israélienne, Il ne serait pas défini comme une menace.
Alors que l’armée égyptienne est excessivement supérieure à l’armée syrienne, nous supposons que même si un changement de régime venait à se produire en Egypte, et le nouveau régime était orienté vers une guerre, Israël possède une capacité plausible de faire face à ce changement. La raison principale est de 280 kms (120 miles) de distance entre le canal de suez (avec une armée égyptienne localisée seulement du côté ouest) et la frontière israélienne.

Le principal avantage de l’attaquant sur le défenseur est sa capacité de masser ses forces et de concentrer son effort militaire. Alors que le défenseur doit être déployé le long de l’entière largeur du théâtre des opérations (parce qu’il ne sait pas où l’attaque va se produire) Comment peut-on se défendre ? Le premier principe de défense est « la profondeur et les réservistes ».

Le défenseur doit déployer ses forces de manière efficace, et pour cela, il a besoin de profondeur. La situation est réversible tant que l’attaquant ne menace pas par sa présence la zone stratégique de l’arrière, et tant qu’il n’est pas situé dans une position qui empêchera les forces de réserve de se déployer.

Sur les Hauteurs du Golan, la distance de la ligne de front à l’arrière est minimale. En raison de la structure du terrain, tout mouvement vers l’ouest de la ligne dégraderait de manière significative la capacité de défendre le territoire.

En somme, la ligne de frontière actuelle, est la seule plausible. Elle créée une profondeur stratégique, même minime, et elle exerce un contrôle profond en territoire syrien. Tout mouvement vers l’ouest par Israël créerait une dépréciation considérable de la capacité de défense israélienne, en raison de la nature du terrain.

Dans ce contexte et vu la seule exigence des Syriens de tout ou rien, il est préférable de laisser la situation murir et gérer le conflit actuel tel qu’il existe aujourd’hui.

Guiora Eiland
Major-général (réserviste)

Israël et la notion de “frontières défendables”

D’accord pour un Etat palestinien (53% des Israéliens étaient déjà pour, selon un sondage de INSS , avant le discours de Benyamin Nétanyahou.) Mais où?

Le 14 juin, le premier ministre israélien a posé comme un principe pour tracer les frontières d’un éventuel Etat: “Israël a besoin de frontières sûres et défendables” . Un think-tank israélien plutôt marqué à droite, le Jerusalem Center for Public Affairs, a publié en 2008 un rapport consacré à ce sujet, qui rappelait les fondamentaux en la matière et notamment les impératifs militaires.

Après la conquête de la Cisjordanie et de Gaza, la “vision sécuritaire” israélienne a longtemps été marquée par le “plan Allon”. A l’époque (la Jordanie revendiquait alors la Cisjordanie), le général Igal Allon avait conçu un plan de partage qui prévoyait l’annexion d’environ 30% de la Cisjordanie pour assurer la sécurité d’Israël.

En dépit du traité de paix survenu avec la Jordanie en 1994 qui ne fait plus théoriquement de la vallée du Jourdain une frontière “chaude”, cette zone reste considérée comme stratégique comme en atteste la propositions faite en 2000 par le premier ministre israélien Ehoud Barak au chef de l’OLP, Yasser Arafat, qu’Israël conserve pour un temps le contrôle de cette vallée.

Mais le développement de l’armement pourtant très rudimentaire des milices palestiniennes fait désormais apparaître pour l’armée israélienne une autre menace: la portée des roquettes déjà tirées de Gaza, si elles venaient à être utilisées à partir de la Cisjordanie.

Selon ces critères strictement militaires, où tracer des “frontières défendables”?

Peut-on envisager réellement la restitution de ces territoires ?

L’aviation civile, serait en danger car à porter de n’importe quel missile de faible portée. L’aviation militaire qui manque déjà d’espace oblige les chefs de l’armée de l’air à programmer des exercices en pays étranger (Grèce, Roumanie et il y a peu Turquie)

Tout porte à croire que cette restitution est quasi impossible. Dès lors « l’Etat Palestinien » serait au mieux un territoire indépendant économiquement mais certainement doté d’une force militaire indépendante, et encore moins contrôlant la vallée du Jourdain et la frontière Est d’Israël.

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Armand Maruani

Je n’ai aucune confiance en la Syrie. Voilà 60 ans que ce pays avait l’occasion de faire la paix. Il a toujours posé des conditions inacceptables . Ce pays allié de l’Iran , du hezbollah ne pense qu’à la destruction d’Israël. Toute conquête dans n’importe quelle guerre reste acquise définitivement au vainqueur. Israêl à chaque fois joue son existence , il n’a pas les moyens de s’affaiblir géographiquement pour une paix provisoire et aléatoire .

Aschkel

Merci de remettre en ligne cet article de 2009 publié par le Cape du M.G Guiora Eiland qui est on ne plus actuel..

Aschkel

http://www.aschkel.info/