Ce mot est excessif aux yeux de M. Moshé COHEN-SABBAN, et de la rédaction. Il ne correspond pas à une réalité, où même s’il y a une censure inadmissible, où certains candidats ne peuvent pas s’exprimer librement, et où il y a une très forte entrave à être au contact avec les électeurs dans et aux alentours des synagogues comme le stipule la circulaire du Consistoire en date du 16 novembre 2009, il reste d’autre moyens d’expression qui échappent à l’institution et qui permettent un débat certes totalement inégalitaire, ce qui a pousser le rédacteur de la newsletter de se croire autorisé à employer un terme qui n’a pas notre assentiment.
La rédaction.