“Il ne faut pas donner aux forces du mal plus de vitalité dont elles ont besoin.” (Rabbi Na’hman de Breslev, Liqouté Moharan I, 17)
Les forces du mal – c’est-à-dire tout ce qui nous entraîne loin du Divin – tirent leur vitalité de nos mauvaises actions ou de notre stupidité. Le plus nous fautons, le plus nous leur donnons de vitalité.
Si nous minimisons au maximum nos fautes, nous donnons un minimum de vitalité aux forces du mal. C’est dans ce cas où le choix entre le bien et le mal – nos désirs et la volonté de D-ieu – représente un attrait équilibré.
Cependant, si nous fautons souvent, nous donnons un surplus de vitalité aux forces du mal. Cela nous place dans une situation où le choix pour le bien devient extrêmement difficile et notre attirance pour le mal une seconde nature, que D-ieu nous préserve.
David-Yits’haq Trauttman
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