Mais comme il le dit si bien, avec sourire, la meilleure arme « c’est d’essayer de parler pour désamorcer les conflits ». Et si cela ne marche pas, « courir ! », lance celui qui tient une académie de krav maga à Marseille, après avoir fait durant de nombreuses années de la boxe anglaise et française.
Calme, affable et ouvert d’esprit, ce sportif au physique « baraqué » veut avant tout former les gens à ne pas être des victimes. « Le krav maga ne vise pas à former des bêtes de guerre.
Il sert à savoir se défendre », explique le sportif invité par le club de krav maga de Calvi, dirigé par Sylvain Pelloux-Prayer, qui officie comme préparateur physique au centre Acquavital.
Généralisée notamment par l’armée israélienne, puisqu’elle permet de former rapidement les gens, cette méthode de self-defense s’emploie à repousser les attaques, les armes, en visant par exemple des points bien précis : yeux, gorge, parties génitales.
D’ailleurs, « une proportion non négligeable de femmes le pratique de plus en plus », explique Sylvain Pelloux-Prayer du club de Calvi, où s’entraîne une dizaine de personnes deux fois par semaine.
Lors de sa formation intensive de quatre heures, la deuxième à Calvi, Najim Elkebar a insisté sur la nécessité d’avoir « une maîtrise de soi », « de laisser son ego au vestiaire » : « Si on est bien dans sa tête, il faut toujours tout faire pour éviter les conflits. »
Source [Corse matinArticle original
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Bonjour, comment commenter un « art martial »???
Les paroles du « petit dragon » résonnent si fort en moi quand il dépeint avec le verbe: » l’art de combattre sans vraiment combattre ».
Cela se fait par le « verbe » conjugué avec un de ces « regards » qui vous croisent et que vous n’oubliez pas. Cette détermination est et doit être sans aucune faille, cette « foi » qui est vôtre est éternelle et rien ni personne ne peut la « polluer », aucune attaque en « coin » n’est possible face à un esprit dans ce corps qui est le vôtre comme le mien. Quand le corps obéis au feu de la volonté de l’esprit qui est en lui, ce n’est plus un humain, c’est une épée.
Les arts martiaux japonais ont bien failli disparaitre au lendemain de la capitulation du Japon, mais les maîtres savaient des choses que nous ignorons et dans le plus grand secret ils ont continuer à pratiquer et à développer uniquement dans le but d’améliorer une « voie » qui ne peut être tracée comme jalonnée.
Il est si difficile d’exprimer ce qu’est « la voie » et considérant que déjà j’en ai trop écris, je vous remercie d’avoir lu et vous renvoie a vos certitudes interrogatives.
Cordialement. poid lourd.