Rien qu’entre hier soir et ce matin, nous avons eu droit à un lot d’inepties islamiques :
Soi-disant réconciliation entre la Syrie et l’Arabie saoudite.
Soi-disant réconciliation entre le Fatah et le Hamas.
Tout cela pour mieux cacher la Troisième Intifada qui se prépare.Depuis que Obama s’est montré pro-islamique (ou simplement islamique) dans son ‘Discours du Caire’, les dirigeants mahométans (en terre d’origine judéochrétienne, dite « terre d’islam ») sentent que le mandat présidentiel de Barack Hussein représente, pour eux, une occasion unique d’avancer leurs pions comme peut-être jamais auparavant. Il est vrai, à cet égard, que Obama est, aussi, le premier locataire de la Maison Blanche à avoir baisé la main d’un roi wahhabite, un geste de soumission réservé exclusivement aux mahométans (baiser la main d’un wahhabite, ça ne s’invente pas…).

A titre indicatif, les informations diffusées (par des sources vérifiables qui sont aussi nos alliées face à la palopropagande relayée sans discernement dans nos propres médias…), ces informations diffusées entre hier soir et ce matin illustrent à elles seules – et à merveille – le double et même le triple langage utilisé, plus que jamais, par les dirigeants mahométans. C’est là un des fruits mauvais issus de la mauvaise politique étrangère de Obama.

Ainsi, sur a7fr.com, Shraga Blum, hier soir mercredi 7 octobre, à 22:28, écrit, dans une dépêche : « A l’issue de leur rencontre, les dirigeants saoudien et syrien ont fait des déclarations qui prouvent qu’au Proche-Orient arabe, ce sont toujours les pays radicaux (ndmg : la dictature syrienne) qui influent sur ceux qualifiés de ‘modérés’ (ndmg : la monarchie absolutiste d’Arabie saoudite). Dans leur communiqué final, le Roi Abdallah et le Président Bachar El-Assad appellent les Etats arabes ‘à s’unir pour faire front et forcer Israël à ouvrir le blocus de Gaza, à cesser de construire dans les implantations, et pour empêcher Israël de porter atteinte aux lieux saints de l’Islam’ (ndmg : il s’agit ici de lieux saints judéochrétiens occupés par l’armée turque pendant 400 ans, soit huit jubilés, de 1517 à 1917). Le président syrien et le roi Abdallah d’Arabie Saoudite ont aussi affirmé leur volonté de renforcer les relations bilatérales après des années de froid, et ont souligné que l’amélioraton de ces liens se répercutera d’une manière positive sur les questions régionales », précise la dépêche de Shraga Blum.

On appréciera ici le double ou même triple langage du dictateur syrien. « Après des années de froid » est en revanche une formule exacte, car la dictature laïque et alaouïte syrienne est – pour l’instant – une courtisane de la théocratie intégriste chiite qui règne en Iran depuis exactement trente ans. Ce qui révèle une fois de plus le cynisme du moustachu alaouïte de Damas, qui bien que laïc, n’hésite pas à se prostituer avec les mollahs chiites de Téhéran tout en amorçant une drague intéressée avec la monarchie sunnite des Saoud. Sans parler de l’ignominieuse politique des Assad – depuis 1975 – à l’égard des chrétiens du Liban et la non moins ignominieuse collaboration des Assad avec la milice légionnaire Hezbollah, milice téléguidée par le Guide suprême d’Iran, l’ayatollah Khamenei.

Guysen International News, ce matin jeudi 8 octobre 2009, à 9:55 informe : « Le Fatah appelle les Palestiniens à manifester massivement vendredi. Ceci, afin d’exprimer leur soutien à la mosquée d’Al Aqsa et à Jérusalem  »capitale éternelle de l’Etat palestinien indépendant », selon les termes du communiqué publié ».

Là encore, nous sommes submergés par le mensonge du Fatah. Lors de son récent congrès, le Fatah a refusé de renoncer au terrorisme. Et maintenant, il prépare quasi ouvertement – et sous des prétexte fallacieux – une troisième Intifada pour occuper à nouveau Jérusalem, baptisée pour l’occasion – par le Fatah – « capitale éternelle de l’Etat palestinien »…

A 10:55, Guysen International News informe dans une dépêche : « Un cadre du Hamas à Damas appelle à ‘faire chuter le régime de Mahmoud Abbas’ (ndmg : président virtuel de la virtuelle autorité palestinienne et chef du bien réel Fatah). Talal Nasser a exhorté ce jeudi ‘le Fatah à lancer une intifada contre le président de l’Autorité palestinienne, afin de le destituer’, sur fond de report de l’examen du rapport Goldstone à l’ONU. Il a qualifié M. Abbas de ‘paradygme de la trahison arabe et islamique’ « , précise Guysen International News.

Notons que le terroriste hammassoïde Talal Nasser parle depuis Damas, où viennent de se rencontrer les Syriens et les Saoudiens pour fêter leur lune de miel. Notons aussi que tandis qu’au Caire, on se gargarise avec « l’imminente réconciliation » (mdr) du Hamas et du Fatah, le même Hamas, à Damas, annonce exactement le contraire, à savoir la destitution du leader du Fatah.

Dans le Jerusalem Post de hier, Hilary Leila Krieger souligne que « il s’avère difficile pour Obama de prendre une décision quand rien n’est plus opaque qu’une promesse de Téhéran : l’Iran revient peu à peu sur un accord passé avec Steinberg jeudi dernier à Genève. Le régime chiite avait accepté de se fournir en uranium enrichi à l’étranger pour son réacteur nucléaire, mais semble changer d’avis. Rien d’autant à ce que l’opinion publique américaine soutienne ses leaders : un nouveau sondage Pew montre qu’environ 61% des Américains cautionnent une action militaire contre l’Iran si les négociations doivent échouer. Seulement 24% refusent toute attaque », précise Hilary Leila Krieger, citant le sondage Pew.

L’analyse de Hilary Leila Krieger est on ne peut plus réaliste. Les Iraniens, depuis des années, nous mènent en bateau, soufflent le chaud et la foid, promettent tout et son contraire, gagnant ainsi un précieux temps pour fabriquer leur première bombe atomique, destinée exclusivement à rayer les Israéliens de la carte, selon le leitmotiv du nabot nazislamiste de service à Téhéran.

Encore dans le Jerusalem Post de hier, Abe Selig, de son côté, écrit : « La récente vague de violence dans la capitale et, plus précisément, les tensions constantes sur le Mont du Temple pourraient être à l’origine d’une troisième Intifada, selon un représentant officiel du Fatah, Hatem Abdel Kader. ‘La situation est très délicate’, ajoute l’ancien ministre de l’Autorité palestinienne chargé de Jérusalem. Plusieurs représentants de la branche Nord du Mouvement islamique en Israël – dont le leader, Sheikh Raed Salah – ont manifesté cette semaine (…) Les violences ont débuté dimanche dernier, lorsqu’une centaine de musulmans ont jeté des pierres en direction des pèlerins juifs venus se recueillir au Mur occidental à l’occasion de la traditionnelle bénédiction des Cohanim », ajoute Abe Selig.

Nous y voilà donc : convaincus de la faiblesse – ou de la complicité – de Barack Hussein Obama, le Fatah palestinien, notamment par la bouche de Hatem Abdel Kader, annonce une troisième Intifada. Tandis que les Syriens et les Saoudiens font mine de coucher ensemble. Et tandis que le Hamas veut mettre à mort le Fatah. Et pendant ce temps, nos médias nous saoulent tous les jours du matin au soir avec ce purée de rapport Goldstone à la noc.

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