En quarante jours de conflit à Gaza, le président français a fait considérablement évoluer son discours. Critiqué pour son tropisme pro-israélien au début de l’opération militaire, François Hollande a durci le ton après les bombardements de deux écoles. Dans les colonnes du Monde, mercredi 20 août, il appelle clairement à la levée du blocus de Gaza. « Solidarité face aux roquettes »

Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et le président français, François Hollande, lors d’une conférence de presse conjointe organisée le 31 octobre 2012 à l’Elysée. | REUTERS/PHILIPPE WOJAZER

9 JUILLET Au lendemain du lancement de l’opération israélienne « Bordure protectrice » à Gaza, François Hollande est univoque. Lors d’un entretien téléphonique, il indique au premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, que « la France condamne fermement les agressions » et qu’il appartient à Israël de « prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces ».

Ce communiqué exprimant la « solidarité de la France face aux tirs de roquettes », élaboré, selon les informations du Monde, après des démarches insistantes du cabinet de M. Nétanyahou, reste en travers de la gorge de plusieurs dirigeants socialistes.

10 JUILLET Le lendemain, le président français décide d’appeler le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. L’Elysée en tire un communiqué exprimant « son inquiétude concernant la situation à Gaza » et déplorant que « les opérations militaires en cours aient déjà fait de nombreuses victimes palestiniennes ».

13-28 JUILLET Trois jours plus tard, alors que le bilan s’élève à 168 morts palestiniens et que l’hypothèse d’une intervention au sol de l’armée israélienne se profile, François Hollande appelle à « l’établissement d’un cessez-le-feu sans délai ».

Un mot d’ordre qui donnera le ton à la plupart de ses interventions sur la question gazaouie pendant près de quinze jours, alors que les dirigeants européens ont davantage les yeux rivés sur la crise ukrainienne, où un avion civil a été abattu le 17 juillet, faisant près de trois cents morts. Lors de sa traditionnelle interview télévisée du 14-Juillet, il remet la balle au centre, en se disant « pour la paix » : « Israël a droit à sa sécurité, Israël peut se défendre s’il est attaqué, et en même temps, Israël doit avoir de la retenue, doit avoir de la réserve par rapport à des actions ».

30 JUILLET Après trois semaines de conflit, le bombardement d’une école gazaouie des Nations unies, dans le camp de Jabaliya, impose à François Hollande un changement de ton : il « condamne » cette action israélienne et « exige » à nouveau un cessez-le-feu « immédiat ».

3 AOÛT Trois jours plus tard, quand une deuxième école onusienne est bombardée par Tsahal, à Rafah, le président français appelle pour la première fois à ce que « les responsables de cette violation du droit international répondent de leurs actes », actes jugés « inadmissibles ».

4 AOÛT Au lendemain du bombardement à Rafah, le président de la République change subitement de ton. Lors d’un déplacement en Belgique pour commémorer la première guerre mondiale, il ne pèse plus ses mots et déclare : « Quand nous savons qu’il se passe des massacres tous les jours au Proche-Orient, nous devons agir. »

18 AOÛT Alors que le cessez-le-feu observé depuis le 11 août tient encore entre Israéliens et Palestiniens, le président commémore l’anniversaire du débarquement en Provence. Il change alors de cible dans son discours et demande la levée des « blocus et des entraves » « à mesure que la confiance peut revenir » entre les deux parties.

20 AOÛT C’est dans son interview au Monde que François Hollande se montre pour la première fois aussi clair sur ses intentions : « L’objectif doit être une démilitarisation et en même temps une levée du blocus de Gaza »>Article original », tranche-t-il, proposant l’aide de la France et de l’Europe sur la réouverture du point de passage de Rafah, entre l’Egypte et Gaza. Sans le citer, le président français intensifie la pression sur le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, sans toutefois exiger des pourparlers directs avec le Hamas : « Mahmoud Abbas et l’Autorité palestinienne doivent être considérés comme l’interlocuteur principal ».

Par Manon Rescan, Alexandre Léchenet et Maxime Vaudano – Décodeurs des faits Article original

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saoud

lui president c pas possible pour international c la qatin de la republique et du qatar c pire que sarko lui president qui voulait bonbarder la syrie de quoi se mel il les droit de homme ont as vue la libye c pire maintenant oui est la democratie ils devrait occuper de la nation aux lieux de faire les gros bras et se mettre a quatre patte aux qatar ou arabie a force alimenter les terroriste sa nous tomberas un de c joursc president c plus que rien novice en tout ils devrait occuper de c maitresse parait il qui est a la hauteur

pascale

et les autres vrais massacres …ceux là il n’en parle pas??

Chrétiens brûlés vifs par centaines au Nigéria ( PAS UN MOT DANS la presse FRANCAISE),
YEZIDIS massacrés dans la minute même où ils se sont « convertis »
Coptes d’ÉGYPTE Chrétiens D’IRAK …

Où sont les manifestations de soutien à ces peuples là avec nos bien-pensant en tête de manif( BESANCENOT MELANCHON…..et même CAZENEUVE qui y serait allé s’il n’était pas ministre

me font tous vomir

Richard

Le FN avec ses petits copains Ayatollahs. C’est de plus en plus « LA BARBE » en France…..

DANIELLE

Qui sera le gagnant ?

Le FN

KM

Je signale quand même que des Politicards de l’UMP ont eux aussi viré leur cuti en faveur des palos.
Normal, ils ont tous virés leur argent au QATAR ! La FRANCE et le Français qui se fait agresser ils s’en foutent, mais leur pognon sûrement pas !
De plus HOLLANDE vise une réélection en 2017 (LOL), non pas pour sauver la FRANCE de la crise économique (ça il s’en fout avec ses Sociétés il ne paye pas d’impôts ou presque), mais parce s’il n’est pas réélu, il traîne tellement de casseroles derrière lui que ce sera sa fête quand il sera redevenu un citoyen lambda.
Bref, nos Politiques toutes classes politiques confondues (à part quelques JUSTES), font un concours de lèche cul aux Arabes, le QATAR en tête ! Qui sera le gagnant ?

DANIELLE

Je ne veux pas défendre François Hollande mais la droite on ne l’entend pas beaucoup sur des actes aussi odieux ? Elle préfère se faufiler en catimini !
lâches que des lâches vous dites !

Je pense que le problème de Hollande c’est………..non
c’est son équipe gouvernementale qui est pro-arabe en grande majorité.

Voilà tout est dit.

Roberto

Mais que peut il comprendre cet imbécile heureux, il n’est déjà pas capable de résoudre les problèmes en France, pour essayé de résoudre les problèmes du Moyen Orient. Les rues de Paris faisaient penser aux rues de Gaza, avec des violences, des saccages de vitrines et des violences physiques contre des passants d’origine « supposées » Juives, et Monsieur HOLLANDE a fait quoi ? rien. Notre Président accro de sexe, incapable de régler les problèmes de notre pays peut il avoir un avis sur un problème qui dure depuis plusieurs décennies. Vraiment, c’est un doux rêveur, qui sourit bêtement, et qui ressemble à un petit demeuré. Physiquement, et de profil, il a un arrière train d’africaine, et un ventre de femme en fin de grossesse. Quand on est tellement critiqué, on fait profil bal, et on se fait discret. Et bien non, pas lui !!!!!.

madeleine

François Hollande, (bien) rémunéré pour ses services par le Qatar est la honte de la France. Non seulement il n’a pas réagi lors des tentatives de pogroms envers les Juifs, pas de réaction non plus pour les cris de haine antisémite lors des manifestations antisémites et propalestiniennes, et enfin aucune protestation lorsque des petits merdeux islamistes se sont assis sur la tête de la statue place de la République à Paris et lui ont recouvert le visage avec un drapeau « palestinien ». Le sol entourant la statue était jonché de canettes vides. Je regrette mais ce « Président » ne fait pas son boulot et il est payé avec notre argent. Remplacer des drapeaux français par ceux de l’Algérie ou de la « Palestine » est une provocation, un manque de respect pour le pays qui a accueilli ces racailles, et n’avoir pas réagi à ce « test » arabo-musulman n’est pas digne du dirigeant d’un pays. Un tel manque d’honneur est dommageable pour les Français qu’on ne peut « gifler » inpunément. Ces actes provocateurs en effet sont des soufflets qui, lorsque la France avait encore de l’honneur, se traduisaient par des duels dont l’un des deux participants savait qu’il allait y laisser sa vie. Monsieur le capitaine du pédalo, alias pépère, alias braguette toujours ouverte, alias gros lard, alias scooter, nous comprenons tous que le pognon refilé par le Qatar a son importance pour vous mais il y a des limites. Nous attendons votre démission.

DANIELLE

Je trouve les réponses de François Hollande fidèles à la politique française.

Je ne vois pas ce que vous lui reprochez ?

Par contre que l’on ne réagisse pas au mot MASSACRE c’est grave.

Cherchez ce mot dans le Larousse, un massacre c’est tuer de sang froid plusieurs personnes comme malheureusement le carnage du Rawnda.

A Gaza c’est une guerre et dans toute guerre il y a des dommages collatéraux.

Netanyaou n’aurait jamais dû accepter ce terme !

Ratfucker

Quand les islamopithèques attaquent les synagogues à Paris ou Sarcelles, on dissout la LDJ: la logique est la même. Derrière FH, on renifle l’haleine nauséabonde des bobos keffiéh nostalgiques de l’antisémitisme d’état de Vichy.

Armand Maruani

{{lass par contre toi tu as 70 ans de retard , tu es encore autant de Pétain et de Vichy . Tout poussièreux et puant .}}

{{Oui tu pues l’antisémitisme à plein nez . Tu dois regretter la  » Carlingue  » de la rue Lauriston ainsi que tes  » amis  » Lafond et Bonny .}}

{{J’espère que tu finiras comme eux espèce de pourriture . Amen}}

lass77

A quoi sert de durcir un discours sans effet . ? Hollande sait c’est qu’il doit faire comme tous ses dirigeants européens qui se cachent derrière un effet de conscience victimaire dés l’instant qu’il s’agit d’israél . Sinon comment comprendre les mesures prises contre la Russie et pour israél c’est la promenade de santé il faut circuler ça n’a rien à voire

Armand Maruani

{{MDR : Un mou qui durcit ses discours .}}