Si le week-end a été marqué par la venue de George Clooney, son amusant Suburbicon ne se retrouvera sans doute pas au palmarès de cette 74e Mostra, samedi prochain.
Ce n’est pas le cas de Foxtrot. Huit ans après avoir obtenu le Lion d’or pour son premier film « Lebanon », l’Israélien Samuel Maoz peut clairement rêver de d’en décrocher un second ! A mi-chemin de la compétition, son deuxième film est en effet l’un des plus impressionnants du festival.

« Foxtrot » s’ouvre de façon magistrale par l’exploration de la douleur et le choc d’un couple à qui l’armée israélienne vient apprendre la mort de leur fils. Mais quand on leur apprend qu’il n’est pas mort, qu’il s’agissait en fait d’un homonyme, le film bascule alors sans prévenir vers l’absurde, suivant alors le quotidien morne du jeune soldat cantonné sur check-point perdu dans le désert…
Comme dans « Lebanon », Samuel Maoz creuse la question du destin, du hasard. Pourquoi la mort frappe-t-elle un tel plutôt qu’un autre, à tel moment plutôt qu’un autre?

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