L’offensive aérienne contre l’Iran a commencé
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a lancé une vaste offensive aérienne contre l’Iran, marquant une escalade spectaculaire des tensions régionales. L’opération, baptisée Lion montant, a visé simultanément des installations militaires, des infrastructures nucléaires, ainsi que plusieurs hauts responsables du régime iranien. Selon des sources concordantes, ces frappes, d’une intensité sans précédent, ont profondément déstabilisé l’appareil sécuritaire iranien.
Des cibles de haut niveau éliminées
Parmi les principales figures tuées figurent des cadres supérieurs du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI). Les médias d’État iraniens ont confirmé la mort du commandant Hossein Salami lors de la frappe initiale. Plusieurs de ses gardes du corps ont également péri. Le général de division Gholam Ali Rashid aurait également été tué dans une autre frappe.
L’opération israélienne ne s’est pas limitée à l’appareil militaire. Des scientifiques de premier plan impliqués dans le programme nucléaire iranien ont également été visés. Le Dr Fereydoun Abbasi, physicien nucléaire de renom, a trouvé la mort aux côtés de son épouse et de leur enfant. D’autres chercheurs affiliés à l’Université Shahid Beheshti, notamment le doyen Abdulhamid Minouchehr et le professeur Ahmadreza Zolfaghari, ont également été tués.
Une stratégie de surprise minutieusement orchestrée
Selon une source israélienne citée par le Jerusalem Post, l’opération a été préparée dans le plus grand secret. La réunion du cabinet sécuritaire israélien tenue jeudi soir avait été officiellement annoncée comme centrée sur les négociations d’otages. En réalité, les ministres présents ont validé l’opération militaire, chacun signant un accord de confidentialité absolue. L’objectif était clair : tromper Téhéran, en dissimulant les intentions réelles de l’État hébreu.
Cette ruse a permis à Tsahal de déclencher l’opération avant l’aube, profitant d’un effet de surprise maximal. Des dizaines d’avions ont simultanément frappé plusieurs cibles sensibles. Les attaques, toujours en cours selon des sources israéliennes, pourraient durer plusieurs jours.
Réactions et tensions internationales
Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a réagi avec virulence en promettant une « punition sévère » contre Israël. Il a dénoncé une « main sanglante » et qualifié l’attaque de « crime contre l’Iran ». Il a également affirmé que plusieurs officiers et scientifiques iraniens avaient été « martyrisés », soulignant la gravité du coup porté à l’élite stratégique du pays.
L’arrogance des responsables iraniens, à commencer par Salami, est aussi pointée du doigt. Ce dernier avait affirmé la veille que toute attaque israélienne serait suivie d’une riposte sans précédent. Il avait même déclaré que l’Iran était prêt pour toute éventualité militaire. Cette confiance excessive semble avoir coûté cher au régime.
Une coordination avec les États-Unis
Si Israël a mené cette opération de manière autonome, elle n’a pas agi sans en avertir Washington. Selon un haut responsable israélien cité par le Washington Post, les preuves concernant l’avancée du programme nucléaire iranien avaient été partagées en amont avec l’administration américaine. Cette dernière aurait donné son aval tacite, tout en s’abstenant de toute implication directe dans les frappes.
Le sénateur américain Marco Rubio a confirmé que les États-Unis n’avaient pas participé aux frappes, précisant que la priorité restait la protection des troupes américaines stationnées dans la région. L’administration Trump a, de son côté, exprimé son souhait de voir l’Iran revenir à la table des négociations, tout en réitérant son opposition ferme à la possession de l’arme nucléaire par Téhéran.
Une opération qui pourrait redéfinir les équilibres
Cette frappe ciblée pourrait modifier l’équation stratégique de la région. En éliminant plusieurs figures clés du programme nucléaire iranien, Israël cherche à ralentir, voire à neutraliser, une possible montée en puissance de l’Iran dans le domaine atomique. Mais cette action comporte aussi un risque de représailles majeures, que les autorités israéliennes semblent néanmoins avoir anticipé.
Des sources proches de la défense israélienne ont indiqué que les opérations aériennes pourraient se poursuivre sans interruption pendant plusieurs jours, visant des objectifs militaires prioritaires à travers tout le territoire iranien.
Jforum.fr
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Les petits états en general sont gouvernés par la religion. Elle représente une majorité officielle. Les minorités se taisent. Elles ́n’ont pas d’autres choix. A part celui de se rapprocher de cette majorité là et parfois même en se convertissant. Se taire c’est bénéficier d’une tolérance. Puisqu’elles ́pourraient simplement ne pas être la (je pense a une simple emigration rien dautre
…). Personnellement je préfère cette forme de régime à une dictature. La raison ? Les droits de la population y sont supérieurs. Regardez en Israël les droits obtenus par les immigres. Une partie d’entre eux a obtenu la ́nationalité. L’arabe côtoie l’hébreu sur les panneaux… Sans parler de l’accès aux services publics à l’aide sociale à la culture subventionnée… Si j’avais été dirigeant j’aurais commencé par la. Réduire les droits de l’ennemi intérieur avant de le foutre en taule pour mieux l’expulser. Mais mieux vaut peut être pas. Ils nous servent de bouclier 😉 Si chaque vie prise aux Israéliens est une vie de moins pour eux ça devrait rapidement les calmer… La bas il fait chaud. Pas en prison. Et s’il n’y a pas assez de place de nombreux pays limitrophes seront ravis de louer à Israel des terrains pour y bâtir des prisons…
🙂 🙂 🙂 Rappelons que ces frappes israéliennes sur les sites nucléaires iraniens, seront accompagnées en permanence, par le choeur des faux-culs de l’opéra de l’ONU.
Jamais cet accompagnement vocal n’aura été aussi doux et harmonieux à nos oreilles !
Israel n’a pas le choix. Posez la question aux autres petits états comme le Liechtenstein, le Vatican, San Remo… Seule la majorité vous permet de gouverner. Les minorités c’est l’opportuinite des grandes nations. Et en présence de minorités dans un petit état ça devient vite ingerable. Apres je dis ça mais je n’ai peut être rien dit. En tout cas le débat est ouvert et c’est à vous de jouer 😉