Les troubles Psychiques des Palestiniens : les causes, l’unique remède

Le 22 mai 2019, « le Réseau de Santé Mentale Palestine – Belgique » a organisé sa première soirée sur le thème « violence d’Etat et travail psycho social ». Ce réseau, composé de professionnels sensibles à la santé mentale des palestiniens, s’est fixé de trouver un lien entre les dysfonctionnements mentaux des palestiniens et la politique de l’Etat d’Israël (sic). Plus précisément, la violation par l’Etat juif « des Droits des palestiniens », affecterait leur santé mentale. Bien évidemment, ce réseau (tout comme celui qui existe déjà en Grande Bretagne et aux Etats-Unis) n’est qu’un autre instrument de propagande anti-israélien. En tout état de cause, il se méprend tant sur les causes des problème psychiques des palestiniens, que sur l’unique moyen d’y remédier.

Pour mieux stigmatiser Israël, le réseau organise des conférences, communique avec les médias, parraine des tournées, présente des films, et débat « dans le monde universitaire et dans les médias grand public » sur des sujets (savamment intitulés pour salir Israël) tels : « la santé mentale sous occupation » (sic), destinés « aux médecins urgentistes, infirmières et personnels de soins de la santé mentale, psychiatres, psychologues, thérapeutes…et (sic). Le « Réseau de Santé Mentale Palestine Belgique » voudrait incarner « la prise de conscience des dégats causés par la violence étatique israélienne sur la jeunesse palestinienne ». Aussi, s’interroge-t-il sur le point de savoir s’il doit être « le relais de ce contexte socio politique opprimant »  ou s’il  doit s’en démarquer, et trouver son champ d’action (sic).

Le réseau belge rejoint en fait deux autres « réseaux sur la santé mentale des palestiniens » 
qui existent déjà, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Ceux-ci disent travailler sur 
« l’impact de l’occupation sur la santé mentale des palestiniens » (sic), 
« les traumatismes au sein de la famille et son impact sur les femmes, les hommes et les enfants » (sic), 
« la violence à l'encontre des enfants (emprisonnement et traumatismes intergénérationnels) »(sic), 
les perspectives sur la crise de la santé mentale…(Ces les réseaux organisent une tournée du 29 octobre 
au 31 octobre 2019 dans les villes israéliennes et de Cisjordanie, Bethléem, Nazareth, 
Jérusalem, Hébron, Ramallah, Naplouse, Jaffa, Tel Aviv et Haïfa, puis une autre en mars 2020.

Le discours du réseau est exclusivement orienté sur la critique d’Israël, et, tout en se présentant comme étant scientifique, il en oublie la rigueur qui sied aux recherches universitaires. Ainsi, les thèmes d’étude portent sur « la défense des droits humains du peuple palestinien » (comme s’ils étaient bafoués), « la psychologie anti-coloniale » (comme si le peuple palestinien vivait sous occupation), « les techniques de psychologie sociale dans un contexte de violence politique » (comme si Israël était l’auteur des violences subies par les palestiniens). En somme, le réseau est convaincu que « les travailleurs de la santé mentale ont un rôle important à jouer dans la mise en lumière des violations des droits humains en Palestine, compte tenu de l’engagement des professionnels pour la santé publique et les droits humains qui correspond à leur devoir même de soignants» (bien qu’il n’y ait aucune violation par Israël des Droits des palestiniens).

Pire, Israël serait à l’origine d’une rétention des informations sur les problèmes de santé mentale des palestiniens. Aussi, le « réseau USA Palestine Mental Health » tente de pallier « le manque d’informations activement cultivées par l’État d’Israël sur le libre accès aux informations, aux informations générales et aux discussions publiques sur la Palestine » (sic).

A titre d’exemple, le réseau de santé mentale Royaume-Uni-Palestine et le Centre pour l’étude des droits de l’homme incorporés de l’Université de Birkbeck ont organisé une conférence, les 8 et 9 mars 2019, sur les « enfants palestiniens ». Y ont été abordés « la complexité du climat de terreur et de traumatisme constant pour les enfants vivant en Cisjordanie ou dans une prison ouverte de Gaza » (sic), « l’absence de refuge pour ses enfants » (sic), « La violence constante, la brutalité et l’emprisonnement, principe structurant de leur vie, conçu pour détruire tout espoir sous quelque forme que ce soit » (sic)… pendant que le monde tolère cette situation sans réagir (sic). Dans sa culture du mensonge, le réseau avance même qu’Israël imposerait une pénurie de tout, même d’eau potable, à l’origine des Grandes Marches du Retour et ses répercussions brutales (sic)…

La population palestinienne vivrait donc sous la crainte et la terreur, notamment pour ceux qui résistent, et ceux qui tentent de faire face aux blessures physiques et psychiques, aux mutilations, aux meurtres, et tous ceux qui luttent pour le changement. Pour leur part, les palestiniens sont présentés comme étant animés « de courage et d’amour », déterminés pour que la violence de l’occupation israélienne prenne fin (sic).

Il s’agit de grossières erreurs. Ces professionnels de la santé mentale procèdent du sophisme et se trompe dans leur diagnostic, en tentant de poser la responsabilité israélienne exclusive, comme vérité universelle. En réalité, les troubles psychiques des palestiniens n’ont rien à voir avec une supposée violence de l’Etat d’Israël. La jeunesse de Gaza grandit dans l’idéologie du Hamas dont la Charte, particulièrement explicite, s’est fixé de structurer mentalement la population palestinienne, et notamment sa jeunesse, dans une guerre terroriste contre Israël et les juifs.

Les décideurs palestiniens dans la bande de Gaza manipulent ainsi, mentalement, la jeunesse, et l’éduquent dans la guerre contre un ennemi désigné (qu’elle ne connait pas). C’est bien, évidemment, ce qui est à l’origine de la déstructuration mentale de la jeunesse palestinienne. Par ailleurs, le Hamas a construit son projet politique autour de la destruction de l’Etat d’Israël, mène (tout comme comme le font les autres organisations terroristes palestiniennes) ses attaques en attendant la riposte de l’Etat juif, pour mieux se plaindre du rapport de force disproportionné. Ce mode opératoire a un effet : générer une frustration de la jeunesse palestinienne manipulée. Autrement dit , en frustrant la jeunesse palestinienne et en détournant l’argent de la communauté internationale qui leur revient, le Hamas plonge les palestiniens dans le plus grand dénuement. Il devient alors possible de les conditionner de sorte qu’ils imputent à Israël, la cause exclusive de leurs malheurs.

Bien évidemment, il existe un remède aux dysfonctionnement de la santé mentale des palestiniens : la vérité, rien que la vérité, toute la vérité. Lorsque les palestiniens comprendront qu’ils ne sont pas occupés, que la Palestine en tant qu’entité étatique  souveraine n’a jamais existé, et qu’Israël est prêt à leur tendre la main s’ils renoncent à leur projet de sa destruction, ils pourront commencer à se soigner.

En 1968, la Charte Olp a inventé le concept de « palestinien » (avant il s’agissait des arabes de Palestine), l’existence d’un lien indéfectible entre « le palestinien » et la Palestine du mandat Britannique, et une obligation pour tous les palestiniens de détruire Israël pour la libérer. Le Hamas a repris le principe en 1987, sur un fondement religieux. Depuis, les générations de palestiniens grandissent dans ce mensonge fabriqué, ce qui permet de les instrumentaliser, et des les déstructurer psychiquement. Les Réseau de santé mentale pro palestiniens devraient se pencher sur cette problématique, seule origine des problèmes de la jeunesse palestinienne.

Par Maître Bertrand Ramas-Muhlbach

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[…] entre les « dysfonctionnements mentaux des Palestiniens et la politique de l’État d’Israël (JForum). » L’unique objet du ressentiment de ce réseau est l’État juif et son unique sujet […]

Madredios

Ils n’ont qu’à prendre Palestixiline (pendant 7 jours) ou du Palestinol (en pastille ou en comprimé).
Parait que ca calme les ardeurs du slogan « Wallah ou Akbar ».
Les effets indésirables pourraient être : Diarrhées en ligne pointillée, quinte de toux pendant le coulage de bronzes.

alexandra

La victimologie palestinienne n’est que la prolongation de la mentalité colonialiste occidentale qui les considère comme des débiles irresponsables.

galil308

Les arabes de palestine sont effectivement malades, et leurs pathologies se résument en deux mots, maux : OLP et Hamas..
La haute contagiosité infectieuse doit commencer par une mise en quarantaine et une désinfection à grande échelle ..

ixiane

Dès qu’il s’agit des dits « palestiniens » il n’y a que des absurdités qui sont déblatérées !!! Sous quelle occupation vivent les gazaouis ???? Que font les israéliens ? ils lancent des roquettes ? ils envoient des ballons incendiaires ???
Quelle est la Santé mentale de ce réseau de la santé mentale ??? ils n’ont pas des pois chiches dans le cerveau à la place des neurones ??