Le chef général des forces de sécurité du Liban, Abbas Ibrahim, a fait savoir lundi qu’il excluait l’éventualité d’une guerre entre le Liban et Israël, assurant toutefois que le Liban était prêt à la guerre si elle survenait, selon les médias locaux.

“Nous ne souhaitons pas la guerre mais nous y sommes préparés tandis qu’Israël n’est pas préparé à la guerre alors même qu’il la souhaite”, a déclaré M. Ibrahim, cité par National News Agency.

Faouzi Ahmed

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

3 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Azar

L’armée libanaise n’a pas d’aviation, ni de marine, ni de missiles de croisière, ni de systèmes anti-missiles, etc … vouloir affronter Israël dans une guerre est suicidaire pour son pays. Cela s’appelle de l’esbroufe qui n’émeut personne en Israel.
Certes il y a la Hezbollah avec ses centaines de milliers de roquettes et peut-être aussi beaucoup de missiles, mais en cas de guerre le Liban rejoindra l’antiquité. SI c’est cela que veut ce monsieur, why not ?

Miraël

Le simple fait de dire « Israël n’est pas préparé à la guerre » montre qu’ils ignorent totalement de quoi ils parlent… c’est affligeant.

Marc

C’est un argument de propagande pour se donner du courage : ça repose sur un semi-fait réel, l’impréparation constatée de 2006 avec un balagan de contre-ordres qui a donné un résultat mitigé, mais instauré la dissuasion pour 13 ans jusqu’à présent. très certainement en grande partie et sans plus aucune validité 12 ans après et 11 ans après la mort de leur chef et principal cerveau, Moughniyeh.
Et ça repose aussi sur le fameux rapport Brick qui donne du relief au mécontentement de certains sous-officiers de logistique, sur les entrepôts, les vieux camions américains REO, le manque de perspective d’évolution pour certains, mais qui a été contredit par une contre-enquête.