Le Hezbollah essaie de se positionner dans le sud de la Syrie, non seulement, pour ouvrir un autre «front contre Israël», mais pour une autre raison, qui est l’argent généré par le trafic de stupéfiants.

Depuis que l’accord nucléaire a été abandonné par Trump, la subvention de l’Iran au Hezbollah a diminué, en plus de la crise économique au Liban, ce qui a incité le parti à chercher d’autres moyens de récolter des bénéfices.

Ainsi, le Hezbollah a introduit en Syrie et en particulier dans le sud de la Syrie ce qu’il fait depuis de nombreuses années au Liban et en Amérique du Sud – la drogue.

Le Hezbollah a créé un réseau de trafiquants de drogue dans le sud de la Syrie, et certains sont d’anciens rebelles comme Imad Abu Bakr, certains ne sont que des citoyens pauvres achetés par le Hezbollah avec de l’argent, et bien sûr les forces de sécurité liées à l’Iran et même des soldats de la 4ème division qui ont pris beaucoup d’argent comme pots-de-vin.

Ainsi, le Hezbollah réussit dans plusieurs domaines: sur le plan économique, il transforme la population du sud de la Syrie en toxicomanes et en trafiquants, et nuit également à la Jordanie en y introduisant de la drogue.

D’après des informations provenant de Quneitra, al-Erin (al-Bustan Charity Association) aide le Hezbollah à faire passer de la drogue, non seulement vers la Jordanie et le sud de la Syrie, mais aussi du sud de la Syrie vers Damas.

Crédit: Un membre du groupe des observateurs