L’Occident discute des options pour faire face aux « progrès nucléaires » de l’Iran.

Mais le journal note les contacts entre responsables occidentaux et leurs homologues iraniens ces derniers mois, dont une rencontre à Oslo en mars entre des responsables français, allemands et britanniques (E3) et Ali Bagri, le porteur et donateur iranien. Des diplomates et des analystes affirment que l’envoyé américain en Iran, Rob Mali, a rencontré à plusieurs reprises l’ambassadeur de Téhéran à l’ONU, Amir Saeed Irwani, qui était un haut responsable du Conseil suprême de sécurité nationale avant d’être nommé ambassadeur en septembre.

Les pourparlers seraient le premier contact direct entre les responsables américains et iraniens depuis que l’ancien président Donald Trump s’est retiré en 2018 de l’accord nucléaire que Téhéran a signé avec les puissances mondiales, connu sous le nom de Plan d’action global conjoint, après quoi Trump a imposé des centaines de sanctions et L’Iran a répondu en augmentant son activité nucléaire.

Une source proche de l’administration américaine a déclaré que les discussions portaient principalement sur la possibilité d’un échange de prisonniers avec l’Iran, Téhéran détenant au moins trois citoyens américains d’origine iranienne en détention.

La semaine dernière, Téhéran a accepté un échange de prisonniers avec la Belgique et a libéré séparément deux citoyens autrichiens détenus en Iran. Un échange de prisonniers réussi avec les États-Unis pourrait « améliorer l’atmosphère pour toute négociation nucléaire », selon le Financial Times.

Diplomates et analystes soulignent que les options devant les parties comprennent une forme d’accord intérimaire selon lequel l’Iran réduira les niveaux d’enrichissement d’uranium en échange d’un allègement de certaines sanctions.

Un haut responsable américain a déclaré au journal que Washington « a toujours cru que la diplomatie était le meilleur moyen de s’assurer que l’Iran n’obtiendrait jamais l’arme nucléaire », ajoutant : « Mais nous n’avons rien à annoncer, et nous n’avons pris aucune option sur le tableau. »

L’Iran enrichit de l’uranium à 60 % et en janvier dernier, l’Agence internationale de l’énergie atomique a découvert des particules enrichies à environ 84 %, qui sont presque des matériaux adaptés aux armes, sur le site nucléaire secret de Purdue.

Dans les semaines qui ont suivi, les responsables israéliens ont averti que leur pays ferait tout ce qui était en son pouvoir pour empêcher l’Iran de développer des armes nucléaires.

Ali Vaez, un expert de l’Iran à l’International Crisis Group, a déclaré que « les membres du groupe E3 » se tournent principalement vers Washington pour voir si l’administration Biden a pris une décision… « Mais ils sont frustrés parce que Washington veut juste éviter le problème jusqu’après les élections de 2024… Leur principale préoccupation est la réélection du président ».

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Joseph

L’esprit munichois est toujours présent en Europe et chez les démocrates américains. Il serait temps, que les organisations juives américaines et européennes tapent du poing sur la table et exigent,, que leurs gouvernements affichent un soutien réel a Israël et ne contentent pas de mots.

Moshé

Vous écrivez n’importe quoi. Il y a régulièrement des exercices militaires conjoints avec Tsahal , les Occidentaux, et même certaines monarchies du Golfe Persique

KIGEM

Comment la Maison Blanche est devenue l’EPAD la plus chic du monde.
USA RÉVEILLE TOI